[Messenger, Shannon] Gardiens des cités perdues - Tome 2 : Exil
Page 1 sur 1
Votre avis
[Messenger, Shannon] Gardiens des cités perdues - Tome 2 : Exil
Titre : Les gardiens des cités perdues - Tome 2 : Exil
Auteur : Shannon Messenger
éditeur : Pocket
Nombre de pages : 572 pages
Présentation de l’éditeur :
Télépathe depuis l’enfance, Sophie a découvert qu’elle devait ses pouvoirs à son héritage elfique. La jeune fille vit désormais au manoir de Havenfield, où elle a trouvé sa place auprès de ses deux parents adoptifs, même s’il lui reste beaucoup à apprendre pour s’intégrer au monde des Cités perdues. Elle fait une découverte unique le jour où elle croise le chemin de Silveny, la seule alicorne femelle connue, et se retrouve aussitôt chargée de l’éducation de l’animal, dont l’apparition représente un signe d’espoir pour tous les elfes. Mais les ravisseurs de Sophie complotent toujours dans l’ombre, et de nouveaux messages du mystérieux Cygne Noir viennent compliquer le mystère. Tandis que la tension monte, la jeune prodige se retrouve contrainte de prendre un risque immense pour protéger l’un de ses proches d’une mort certaine… Deuxième tome de la série Gardiens des Cités perdues, Exil pousse Sophie à explorer les recoins les plus sombres d’un univers baigné de magie et bourré de trouvailles rafraîchissantes. Retrouvez la plume vive et endiablée de Shannon Messenger, plus ensorcelante que jamais !
Mon avis :
J’ai lu les tomes 2 à 4 au moins de janvier, j’ai commencé le tome 5, et je me dis qu’il est temps que je rédige mes avis. Je remercie l’élève qui a la gentillesse de me les prêter.
Dans ce tome 2, Sophie poursuit son apprentissage, tente d’en découvrir plus sur le passé de ceux qui l’ont conçu (oui, je sais, c’est parfois compliqué) et s’entend bien avec ses parents adoptifs, Grady et Eudaline. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, dans une école super et….
Stop ! Oui, nous sommes dans une série jeunesse, mais une série jeunesse à la tonalité relativement sombre. Oui, Grady et Eudaline ont adopté Sophie, ce n’est pas pour autant qu’ils ont oublié Jolie, leur fille unique, morte dans un incendie 17 ans plus tôt. Incendie accidentel ou criminel ? Qui aurait pu vouloir assassiner Jolie ? En savait-elle trop ? Mais trop sur quoi ? De même, les cours qui sont distillés à l’école sont loin d’être gentillet, ils sont même parfois extrêmement douloureux – et ils n’ont même pas de quidditch pour se détendre.
Le monde des elfes est un monde idéal, rien ne doit rompre son équilibre, et pourtant, j’ai l’impression que les elfes s’en chargent très bien tout seul. Briser l’esprit d’une personne sans sourciller est bien pire qu’une condamnation à perpétuité. Mais les elfes sont tellement habitués à ses sentences que rares sont ceux qui s’en émeuvent. De même, il est des pouvoirs qu’il est bon d’avoir, il en est d’autres qui sont « interdits » et ceux qui les possèdent pourtant sont condamnés à les cacher. Les elfes ne pourraient-ils tout bonnement pas, vu qu’ils sont quasiment immortels, se pencher sur la question, trouver des moyens, des méthodes, pour apprendre à canaliser et à utiliser ces pouvoirs ? Pas vraiment. Je ne parlerai pas non plus de cette société de caste, où les sans-pouvoirs sont regardés de très haut par les autres elfes.
Et Sophie ? Elle a de lourdes charges, et se demande bien pourquoi on lui en demande autant, finalement, elle qui n’a rien demandé. Heureusement, sa route croisera celle d’une alicorne, Silveny, dont elle devra prendre soin, moyennant quelques incidents pailletés. Même si Sophie et Silveny sont menacés, les moments qu’elles passent ensemble sont des moments heureux.
Auteur : Shannon Messenger
éditeur : Pocket
Nombre de pages : 572 pages
Présentation de l’éditeur :
Télépathe depuis l’enfance, Sophie a découvert qu’elle devait ses pouvoirs à son héritage elfique. La jeune fille vit désormais au manoir de Havenfield, où elle a trouvé sa place auprès de ses deux parents adoptifs, même s’il lui reste beaucoup à apprendre pour s’intégrer au monde des Cités perdues. Elle fait une découverte unique le jour où elle croise le chemin de Silveny, la seule alicorne femelle connue, et se retrouve aussitôt chargée de l’éducation de l’animal, dont l’apparition représente un signe d’espoir pour tous les elfes. Mais les ravisseurs de Sophie complotent toujours dans l’ombre, et de nouveaux messages du mystérieux Cygne Noir viennent compliquer le mystère. Tandis que la tension monte, la jeune prodige se retrouve contrainte de prendre un risque immense pour protéger l’un de ses proches d’une mort certaine… Deuxième tome de la série Gardiens des Cités perdues, Exil pousse Sophie à explorer les recoins les plus sombres d’un univers baigné de magie et bourré de trouvailles rafraîchissantes. Retrouvez la plume vive et endiablée de Shannon Messenger, plus ensorcelante que jamais !
Mon avis :
J’ai lu les tomes 2 à 4 au moins de janvier, j’ai commencé le tome 5, et je me dis qu’il est temps que je rédige mes avis. Je remercie l’élève qui a la gentillesse de me les prêter.
Dans ce tome 2, Sophie poursuit son apprentissage, tente d’en découvrir plus sur le passé de ceux qui l’ont conçu (oui, je sais, c’est parfois compliqué) et s’entend bien avec ses parents adoptifs, Grady et Eudaline. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, dans une école super et….
Stop ! Oui, nous sommes dans une série jeunesse, mais une série jeunesse à la tonalité relativement sombre. Oui, Grady et Eudaline ont adopté Sophie, ce n’est pas pour autant qu’ils ont oublié Jolie, leur fille unique, morte dans un incendie 17 ans plus tôt. Incendie accidentel ou criminel ? Qui aurait pu vouloir assassiner Jolie ? En savait-elle trop ? Mais trop sur quoi ? De même, les cours qui sont distillés à l’école sont loin d’être gentillet, ils sont même parfois extrêmement douloureux – et ils n’ont même pas de quidditch pour se détendre.
Le monde des elfes est un monde idéal, rien ne doit rompre son équilibre, et pourtant, j’ai l’impression que les elfes s’en chargent très bien tout seul. Briser l’esprit d’une personne sans sourciller est bien pire qu’une condamnation à perpétuité. Mais les elfes sont tellement habitués à ses sentences que rares sont ceux qui s’en émeuvent. De même, il est des pouvoirs qu’il est bon d’avoir, il en est d’autres qui sont « interdits » et ceux qui les possèdent pourtant sont condamnés à les cacher. Les elfes ne pourraient-ils tout bonnement pas, vu qu’ils sont quasiment immortels, se pencher sur la question, trouver des moyens, des méthodes, pour apprendre à canaliser et à utiliser ces pouvoirs ? Pas vraiment. Je ne parlerai pas non plus de cette société de caste, où les sans-pouvoirs sont regardés de très haut par les autres elfes.
Et Sophie ? Elle a de lourdes charges, et se demande bien pourquoi on lui en demande autant, finalement, elle qui n’a rien demandé. Heureusement, sa route croisera celle d’une alicorne, Silveny, dont elle devra prendre soin, moyennant quelques incidents pailletés. Même si Sophie et Silveny sont menacés, les moments qu’elles passent ensemble sont des moments heureux.
Sharon- Modérateur
-
Nombre de messages : 13271
Age : 46
Localisation : Normandie
Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
Sujets similaires
» [Messenger, Shannon] Gardiens des cités perdues Tome 1
» [Messenger, Shannon] Gardiens des cités perdues - Tome 6 : Nocturna
» [Messenger, Shannon] Gardiens des cités perdues - Tome 8 : Héritages
» [Messenger, Shannon] Gardiens des cités perdues - Tome 7 : Reminiscences
» [Messenger, Shannon] Gardiens des cités perdues - Tome 4 : Les invisibles
» [Messenger, Shannon] Gardiens des cités perdues - Tome 6 : Nocturna
» [Messenger, Shannon] Gardiens des cités perdues - Tome 8 : Héritages
» [Messenger, Shannon] Gardiens des cités perdues - Tome 7 : Reminiscences
» [Messenger, Shannon] Gardiens des cités perdues - Tome 4 : Les invisibles
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum