[Martin, Faith] Feu d'artifice mortel
Page 1 sur 1
Votre avis
[Martin, Faith] Feu d'artifice mortel
Titre :Feu d'artifice mortel
Auteur :Faith Martin
Éditions : Harper Collins
Collection : Noir
Nombre de pages : 283
ISBN : 9-791033-911456
Date de parution : février 2022
Quatrième de couverture:
Une enquête de Loveday & Ryder
5 novembre 1961 : la famille Hughes se prépare à célébrer Bonfire Night avec pétards et feux d'artifice. Tou le monde est rassemblé dans le jardin, quand le cabanon dans lequel sont entreposées les fusées s'embrase, causant la mort du patriarche, Thomas Hughes, enfermé à l'intérieur. L'autopsie conclut rapidement au décès par asphyxie et le coroner, Clement Ryder, classe l'affaire sans suite.
Mais le lendemain, Duncan Gillingham, un journaliste ambitieux, publie dans l'Oxford Tribune un article accusateur : la justice aurait bâclé le dossier. Selon lui, la famille cacherait la vérité.
Pour calmer l'opinion, l'inspecteur Jennings confie l'enquête à la jeune policière Trudy Loveday. Très vite, celle-ci se tourne vers Clement Ryder. Ils n'auront pas trop de leurs forces réunies pour tenter de percer les mystères du clan Hughes…
Traduit de l' anglais (Royaume-Uni) par Benjamin Kuntzer.
Mon avis
Une commémoration au cours de laquelle les britanniques tirent des feux d’artifice, un homme meurt brulé , assommé ? Accident décide la justice et le coroner Ryder. Un journaliste, Duncan Gilligham, lève un lièvre et la famille de Thomas Hugues se retrouve au cœur d’une enquête policière.
Encore une façon agréable pour le capitaine Jenning de se débarrasser de sa jeune et jolie policière.
Le duo sympathique se reforme, Loveday prend plus d’initiatives.
Charmée par le journaliste, elle perd parfois pied, et c’est heureusement Ryder qui remet les choses au point.
J’ai trouvé dommage que Loveday ne demande pas à Ryder de quoi il souffre, les symptômes s’aggravant. Une véritable amitié se soucie de ces détails-là, trop de discrétion parait indifférence. Ryder lui laisse les rennes pour qu’elle finalise sa formation.
Se plonger dans les années soixante, c’est se souvenir que les rapports entre hommes et femmes sont différents, nous sommes à une époque où le patriarcat domine, et il faut à toutes nos jeunes femmes beaucoup de caractère pour s’imposer.
J’ai aimé ce roman davantage pour cette incursion dans les années soixante que pour son enquête.
Comme pour les précédents romans, j'ai aimé la couverture.
Elle est de l'illustratrice Djorh (Guedra).
Le bleu sombre de la nuit, les feux d’artifices (orange et bleu clair)
Le cabanon, en flamme, la main tendue, désespérée au cœur du O,
Le rouge, toujours pour le meurtre, le orange, pour le feu !
Elle est parfaite pour ce roman.
Les lectures de Joëlle.
joëlle- Modérateur
-
Nombre de messages : 9709
Localisation : .
Date d'inscription : 30/09/2013
Sujets similaires
» [Martin, Faith] Le corbeau d'Oxford
» [Martin, Faith] Le secret de Briar's Hall
» [Martin, Faith] Réception funeste à Oxford
» [Martin, Faith] Loveday et Ryder - Tome 2 : Un pique-nique presque parfait
» [Kean, Faith] Les chroniques de Ren - Tome 1: Prisonnier /!\ Public averti
» [Martin, Faith] Le secret de Briar's Hall
» [Martin, Faith] Réception funeste à Oxford
» [Martin, Faith] Loveday et Ryder - Tome 2 : Un pique-nique presque parfait
» [Kean, Faith] Les chroniques de Ren - Tome 1: Prisonnier /!\ Public averti
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum