[Schulte vor, Stefanie] Garçon au coq noir
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[Schulte vor, Stefanie] Garçon au coq noir
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[Schulte vor, Stefanie]
Garçon au coq noir
Editions Héloïse d’ Ormesson 28 août 23022
203 pages
Quatrième de couverture
Martin, onze ans, n’a qu’une chemise sur le dos et un coq noir sur l’épaule lorsqu’il emboîte le pas d’un peintre itinérant pour fuir le village où, depuis toujours, on se méfie de lui. Aux côtés de cet homme qui ne dessine que le beau, il déjoue les complots, traverse les rivières, se confronte aux loups, à la faim, à l’épuisement. Fort de sa ruse et de la complicité de son ami à plumes, le garçon secourt ceux qui, plus vulnérables encore, se laissent submerger par les ténèbres. Au terme de cette quête, parviendra-t-il à percer le mystère qui se dissimule derrière la légende du cavalier noir, ravisseur d’enfants ?
Grâce à une écriture simple et captivante, Stefanie vor Schulte entoure chacun de ses mots d’une atmosphère saisissante. Brutale et merveilleuse, cette fable contemporaine aux accents gothiques montre à chacun de nous que l’espoir perce partout, même au cœur de la nuit.
Mon avis
Ce roman me rappelle les contes de jeunesse tel Till l’Espiègle ou Andersen et d’autres, j’ai vraiment aimé le jeune Martin avec son indécrottable bonté et son courage, qui a vu sa famille décimée, il s’enfuit pour suivre un peintre itinérant et pour tenter de sauver ceux qui sont plus vulnérables que lui, il ne pourra compter que sur sa force d’esprit, sa bravoure et son seul ami, un coq noir qui à certaines occasion, n’hésite pas à prendre la parole. Cet enfant au visage innocent et au regard d’ange se questionne face aux réalités sociales, car dans ce pays en guerre ou seule la survie compte et l’intelligence s’étant perdue, ces pauvres gens ravagés par la famine, ne savent comment faire face à ce mystérieux cavalier noir qui enlève leurs enfants. On peut imaginer que nous sommes au Moyen-Âge avec l’injustice des sombres jours ou la magie et le mystère y trouvent leur place, est-ce une fable, un conte ou un récit ou notre imagination nous emmène lutter contre le mal avec ce jeune garçon qui se cherche. Et justement qu’apprendra t-il sur lui et que trouvera t-il au bout de son chemin périlleux ? Cependant que ces questions se posent on trouve tout de même un peu d’humour et comme dans ce genre de lecture on sait aussi que tout se termine bien. A mon avis il est très rare de lire une histoire qui sort des sentiers battus, une belle réussite pour un premier roman….4,5/5
Garçon au coq noir
Editions Héloïse d’ Ormesson 28 août 23022
203 pages
Quatrième de couverture
Martin, onze ans, n’a qu’une chemise sur le dos et un coq noir sur l’épaule lorsqu’il emboîte le pas d’un peintre itinérant pour fuir le village où, depuis toujours, on se méfie de lui. Aux côtés de cet homme qui ne dessine que le beau, il déjoue les complots, traverse les rivières, se confronte aux loups, à la faim, à l’épuisement. Fort de sa ruse et de la complicité de son ami à plumes, le garçon secourt ceux qui, plus vulnérables encore, se laissent submerger par les ténèbres. Au terme de cette quête, parviendra-t-il à percer le mystère qui se dissimule derrière la légende du cavalier noir, ravisseur d’enfants ?
Grâce à une écriture simple et captivante, Stefanie vor Schulte entoure chacun de ses mots d’une atmosphère saisissante. Brutale et merveilleuse, cette fable contemporaine aux accents gothiques montre à chacun de nous que l’espoir perce partout, même au cœur de la nuit.
Mon avis
Ce roman me rappelle les contes de jeunesse tel Till l’Espiègle ou Andersen et d’autres, j’ai vraiment aimé le jeune Martin avec son indécrottable bonté et son courage, qui a vu sa famille décimée, il s’enfuit pour suivre un peintre itinérant et pour tenter de sauver ceux qui sont plus vulnérables que lui, il ne pourra compter que sur sa force d’esprit, sa bravoure et son seul ami, un coq noir qui à certaines occasion, n’hésite pas à prendre la parole. Cet enfant au visage innocent et au regard d’ange se questionne face aux réalités sociales, car dans ce pays en guerre ou seule la survie compte et l’intelligence s’étant perdue, ces pauvres gens ravagés par la famine, ne savent comment faire face à ce mystérieux cavalier noir qui enlève leurs enfants. On peut imaginer que nous sommes au Moyen-Âge avec l’injustice des sombres jours ou la magie et le mystère y trouvent leur place, est-ce une fable, un conte ou un récit ou notre imagination nous emmène lutter contre le mal avec ce jeune garçon qui se cherche. Et justement qu’apprendra t-il sur lui et que trouvera t-il au bout de son chemin périlleux ? Cependant que ces questions se posent on trouve tout de même un peu d’humour et comme dans ce genre de lecture on sait aussi que tout se termine bien. A mon avis il est très rare de lire une histoire qui sort des sentiers battus, une belle réussite pour un premier roman….4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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