[Collet, Magali] Comme une image
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[Collet, Magali]
Comme une image
ISBN 9782372581080
245 pages
Présentation de l’éditeur
Lalie a 9 ans, un teint de pêche et des joues roses. Elle a aussi deux frères et des chatons, une belle-mère et deux maisons.
C'est une enfant intelligente et vive, une grande sœur attentionnée et une amie fidèle.
C'est la petite fille que chacun aimerait avoir.
D'ailleurs, tout le monde aime Lalie.
Tout le monde doit aimer Lalie.
C'est une évidence.
Il le faut.
Mon avis
Eulalie, Eulalie…
Autant le dire tout de suite, je n’ai pas eu de coup de cœur et pourtant j’ai adoré ma lecture ! Il m’a manqué un petit quelque chose dans cette lecture qui m’a tenu en haleine et que j’ai dévoré en moins de 24h. Mais je déteste cette jeune fille ma parole. Bon ok, c’est tout de même grâce à elle que se fait toute l’histoire et cette noirceur.
Tout le monde appelle cette petite fille de 9 ans (qui atteint ses 10 ans durant l’histoire) Lalie. Cette jeune fille est vue comme un ange, une petite fille modèle et on se demande si elle n’est pas HPI (haut potentiel intelligent).
Mais cette facette cache un tout autre visage. Celui d’une fille manipulatrice, égoïste, vicieuse et même violente. Professeur, belle-mère et jusqu’à sa propre mère commence à se poser des questions sur son comportement ou ses attitudes, sur des phénomènes se passant autour d’elle ou arrivant durant les moments où la petite est présente.
Son entourage va chercher à aider cette fille qui malgré elle traverse de terriblee événements dans sa vie familiale. Mais tous ces signes seront-ils pris à leurs justes mesures ? Et surtout seront-ils relevés à temps ?
Vous voulez vous aussi découvrir le vrai visage de Lalie et tomber dans l’horreur que traverse sa famille, ses amis ? Alors n’attendez plus et lisez ce livre !
Merci à notre forum ainsi qu’aux éditions Taurnada pour cet excellent moment de noirceur et de lecture
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ISBN 9782372581080
245 pages
Présentation de l’éditeur
Lalie a 9 ans, un teint de pêche et des joues roses. Elle a aussi deux frères et des chatons, une belle-mère et deux maisons.
C'est une enfant intelligente et vive, une grande sœur attentionnée et une amie fidèle.
C'est la petite fille que chacun aimerait avoir.
D'ailleurs, tout le monde aime Lalie.
Tout le monde doit aimer Lalie.
C'est une évidence.
Il le faut.
Mon avis
Eulalie, Eulalie…
Autant le dire tout de suite, je n’ai pas eu de coup de cœur et pourtant j’ai adoré ma lecture ! Il m’a manqué un petit quelque chose dans cette lecture qui m’a tenu en haleine et que j’ai dévoré en moins de 24h. Mais je déteste cette jeune fille ma parole. Bon ok, c’est tout de même grâce à elle que se fait toute l’histoire et cette noirceur.
Tout le monde appelle cette petite fille de 9 ans (qui atteint ses 10 ans durant l’histoire) Lalie. Cette jeune fille est vue comme un ange, une petite fille modèle et on se demande si elle n’est pas HPI (haut potentiel intelligent).
Mais cette facette cache un tout autre visage. Celui d’une fille manipulatrice, égoïste, vicieuse et même violente. Professeur, belle-mère et jusqu’à sa propre mère commence à se poser des questions sur son comportement ou ses attitudes, sur des phénomènes se passant autour d’elle ou arrivant durant les moments où la petite est présente.
Son entourage va chercher à aider cette fille qui malgré elle traverse de terriblee événements dans sa vie familiale. Mais tous ces signes seront-ils pris à leurs justes mesures ? Et surtout seront-ils relevés à temps ?
Vous voulez vous aussi découvrir le vrai visage de Lalie et tomber dans l’horreur que traverse sa famille, ses amis ? Alors n’attendez plus et lisez ce livre !
Merci à notre forum ainsi qu’aux éditions Taurnada pour cet excellent moment de noirceur et de lecture
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Lecture en cours :
Silo de Hugh Howey
La Princesse des glaces de Camilla Läckberg
Re: [Collet, Magali] Comme une image
Merci Tchezare pour cette critique.
ça doit être horrible d'avoir des doutes comme ça sur son propre enfant
Je me laisserai peut être tenter par cette lecture !
ça doit être horrible d'avoir des doutes comme ça sur son propre enfant
Je me laisserai peut être tenter par cette lecture !
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Lecture de novembre
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- Arpenter la nuit de Leila Mottley
- Un Noël sans fin de Christina Lauren
- Tata de Valérie Perrin
mes livres lus en 2023
mes livres lus en 2024
Jeetca- Grand sage du forum
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Re: [Collet, Magali] Comme une image
Il était une fois Eulalie douce Eulalie que tout le monde appelle Lalie, petite fille de 10 ans, des yeux de couleur noisette, des cheveux longs. Petite fille bien sage, bien polie, toujours bien habillés mais pas très à la mode, mais qu'importe du moment que la couleur correspond au jour de la semaine, rouge le vendredi, violet le samedi ...
On pourrait même dire, au premier abord que c'est un petit ange; sage comme une image ...
Si vous voulez croire à ce conte de fée, libre à vous mais ....
Ici on est plongé dans la noirceure pure, d'une petite diablesse, qui sait manipuler à la perfection son entourage, capable des pires choses, capable de dire des choses horribles à quelqu'un les yeux dans les yeux en finissant sa phrase par " tu peux le dire à papa, il ne te croira pas ". Elle calcule tout, quand faut sourire, quand faut pleurer, quand faut être gentille, quand faut être méchante, et c'est pas un Charlot et un chien qui vont l'empêcher de mener à bien ses objectifs. Car son papa n'aime qu'elle, c'est une évidence ... Qui ose se mettre en travers payera le prix fort ....
J'ai beaucoup aimé ce roman, j'ai frissonné du début jusqu'à la fin. Les personnages sont bien travaillés, Lalie est détestable à tout point de vue, même quand elle est gentille on sent très bien que c'est tout du semblant, c'est le diable en personne. Et la fin on voit bien qu'elle prépare un sale coup, mais on ne sait pas quoi et quand ça arrive c'est une bombe qui est lâchée. Et j'ai eu envie de dire nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn !!!!!!
J'ai beaucoup beaucoup apprécié cette lecture, mais ce ne sera pas un coup de coeur, car j'aurais voulu un autre épilogue, je n'en dirai pas plus pour pas spoiler. Mais c'est juste cette partie qui m'a dérangée, après peut-être qu'il n'y avait pas d'autre épilogue possible.
Un grand merci aux éditions Taurnada et au forum Partage/Lecture pour ce partenariat
On pourrait même dire, au premier abord que c'est un petit ange; sage comme une image ...
Si vous voulez croire à ce conte de fée, libre à vous mais ....
Ici on est plongé dans la noirceure pure, d'une petite diablesse, qui sait manipuler à la perfection son entourage, capable des pires choses, capable de dire des choses horribles à quelqu'un les yeux dans les yeux en finissant sa phrase par " tu peux le dire à papa, il ne te croira pas ". Elle calcule tout, quand faut sourire, quand faut pleurer, quand faut être gentille, quand faut être méchante, et c'est pas un Charlot et un chien qui vont l'empêcher de mener à bien ses objectifs. Car son papa n'aime qu'elle, c'est une évidence ... Qui ose se mettre en travers payera le prix fort ....
J'ai beaucoup aimé ce roman, j'ai frissonné du début jusqu'à la fin. Les personnages sont bien travaillés, Lalie est détestable à tout point de vue, même quand elle est gentille on sent très bien que c'est tout du semblant, c'est le diable en personne. Et la fin on voit bien qu'elle prépare un sale coup, mais on ne sait pas quoi et quand ça arrive c'est une bombe qui est lâchée. Et j'ai eu envie de dire nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn !!!!!!
J'ai beaucoup beaucoup apprécié cette lecture, mais ce ne sera pas un coup de coeur, car j'aurais voulu un autre épilogue, je n'en dirai pas plus pour pas spoiler. Mais c'est juste cette partie qui m'a dérangée, après peut-être qu'il n'y avait pas d'autre épilogue possible.
Un grand merci aux éditions Taurnada et au forum Partage/Lecture pour ce partenariat
louloute- Grand sage du forum
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Genre littéraire préféré : thriller, historique, policier
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Re: [Collet, Magali] Comme une image
Mon avis :
Lalie est adorable, Lalie a toutes les qualités, tout le monde l’aime, tout le monde prend soin d’elle.
Stop, je rembobine : les adultes sont trop occupés par leur propre conflit pour faire attention à elle, et quand je dis « les adultes », je devrais dire « ses parents » qui, lors de leur séparation, ont oublié qu’ils étaient des parents. Son père a eu une maîtresse, ils ont eu un fils ensemble. La mère de Lalie a eu elle aussi un enfant, elle qui ne semblait pas vouloir d’un deuxième rejeton, pour tenter de ramener/garder son mari. Peine perdue. Oui, il est encore des femmes qui sont persuadées qu’un enfant est le meilleur ciment pour un couple, et que si l’on a un enfant avec lui, un homme ne vous quittera jamais.
Passons. Lalie, elle, n’a pas l’intention de laisser passer certaines choses. Elle n’a que neuf ans, et pourtant, elle sait déjà manipuler les autres. Intelligente ? Oui, très. Indifférente à ce que les autres peuvent penser d’elle ? Oui. Ecrit ainsi, on pourrait se dire que c’est formidable. C’est sans compter les projets de Lalie, qu’elle sait parfaitement mettre en œuvre, parce que les adultes qui l’entourent s’en tiennent aux clichés, aux apparences, n’imaginent même pas que des pensées, des projets aussi sombres puissent naitre dans l’esprit d’une enfant. Le lecteur, lui, saura tout, et ce n’en sera que plus glaçant.
Un livre court, oui, mais qui a été tout sauf facile à lire pour moi.
Lalie est adorable, Lalie a toutes les qualités, tout le monde l’aime, tout le monde prend soin d’elle.
Stop, je rembobine : les adultes sont trop occupés par leur propre conflit pour faire attention à elle, et quand je dis « les adultes », je devrais dire « ses parents » qui, lors de leur séparation, ont oublié qu’ils étaient des parents. Son père a eu une maîtresse, ils ont eu un fils ensemble. La mère de Lalie a eu elle aussi un enfant, elle qui ne semblait pas vouloir d’un deuxième rejeton, pour tenter de ramener/garder son mari. Peine perdue. Oui, il est encore des femmes qui sont persuadées qu’un enfant est le meilleur ciment pour un couple, et que si l’on a un enfant avec lui, un homme ne vous quittera jamais.
Passons. Lalie, elle, n’a pas l’intention de laisser passer certaines choses. Elle n’a que neuf ans, et pourtant, elle sait déjà manipuler les autres. Intelligente ? Oui, très. Indifférente à ce que les autres peuvent penser d’elle ? Oui. Ecrit ainsi, on pourrait se dire que c’est formidable. C’est sans compter les projets de Lalie, qu’elle sait parfaitement mettre en œuvre, parce que les adultes qui l’entourent s’en tiennent aux clichés, aux apparences, n’imaginent même pas que des pensées, des projets aussi sombres puissent naitre dans l’esprit d’une enfant. Le lecteur, lui, saura tout, et ce n’en sera que plus glaçant.
Un livre court, oui, mais qui a été tout sauf facile à lire pour moi.
Sharon- Modérateur
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Age : 46
Localisation : Normandie
Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
Re: [Collet, Magali] Comme une image
Un partenariat exceptionnel avec le forum Partage Lecture, les EditionsTaurnada et Magalie Collet, je vous remercie encore de cette offre de partenariat.
Glaçant, effroyable, gênant....les premiers qualificatifs qui viennent en découvrant ce thriller.
Plongée dans les abymes des pensées d'une enfant - monstre, qui sous un visage d'ange, de bon élève se révèle être une personnalité quasi - démoniaque et machiavélique, prête à tout pour se retrouver seule avec son père qui a quitté mère, fils pour une autre femme.
Partagée entre deux foyers, elle vit chez sa mère qui ne cesse d'entretenir la haine de la rivale pour laquelle son père est parti. Lalie cultive une image d'enfant / élève idéale, s'improvisant tutrice d'élève plus faible mais en fait pour mieux le martyriser. Cette capacité de bourreau, elle le cultive aussi, sous la meilleure façade, envers son petit frère. Ce dernier ; elle le considère comme l'obstacle à vivre seule près de sa maman, elle va aller jusqu'au pire pour y arriver et susciter enfin les premières failles dans sa perception de sa petite Lalie si mignonne... D'abord défenseuse de sa mère, elle va tromper son monde en jouant sur l'amour paternel qu'on lui voue et l'escalade dans le sordide ne cessera de susciter chez les lecteurs ; malaise et volonté d'aller jusqu'au bout de sa lecture.
Les adultes qui gravitent autour d'elle, sont partagés entre le fait de la considérer comme une victime, une affabulatrice, un ange mais n'arrivent que trop tardivement à débusquer la véritable nature de Lalie, souvent à leur propre détriment quand et s' ils y arrivent. Tout son petit monde d'adultes ; belle-mère, tante, enseignantes, directrice d'école, psychanalyste, pour une part responsable de ce qu'il en advient, vont se perdre dans leur volonté de vraiment connaitre cette si gentille petite fille modèle à bien des égards
Cette première marche dans l'abjection et l'horreur est le début d'une descente en enfer des plus proches de Lalie, découvrant avec horreur quel être manipulateur, sans scrupule et meurtrier cette enfant peut être... En fait c'est le portrait d'une tueuse psychopathe, manipulatrice et sans morale.
Les faits et le scénario se succèdent, implacables, froids... Une écriture au scalpel, un talent confirmé dans la création de personnages
Glaçant, effroyable, gênant....les premiers qualificatifs qui viennent en découvrant ce thriller.
Plongée dans les abymes des pensées d'une enfant - monstre, qui sous un visage d'ange, de bon élève se révèle être une personnalité quasi - démoniaque et machiavélique, prête à tout pour se retrouver seule avec son père qui a quitté mère, fils pour une autre femme.
Partagée entre deux foyers, elle vit chez sa mère qui ne cesse d'entretenir la haine de la rivale pour laquelle son père est parti. Lalie cultive une image d'enfant / élève idéale, s'improvisant tutrice d'élève plus faible mais en fait pour mieux le martyriser. Cette capacité de bourreau, elle le cultive aussi, sous la meilleure façade, envers son petit frère. Ce dernier ; elle le considère comme l'obstacle à vivre seule près de sa maman, elle va aller jusqu'au pire pour y arriver et susciter enfin les premières failles dans sa perception de sa petite Lalie si mignonne... D'abord défenseuse de sa mère, elle va tromper son monde en jouant sur l'amour paternel qu'on lui voue et l'escalade dans le sordide ne cessera de susciter chez les lecteurs ; malaise et volonté d'aller jusqu'au bout de sa lecture.
Les adultes qui gravitent autour d'elle, sont partagés entre le fait de la considérer comme une victime, une affabulatrice, un ange mais n'arrivent que trop tardivement à débusquer la véritable nature de Lalie, souvent à leur propre détriment quand et s' ils y arrivent. Tout son petit monde d'adultes ; belle-mère, tante, enseignantes, directrice d'école, psychanalyste, pour une part responsable de ce qu'il en advient, vont se perdre dans leur volonté de vraiment connaitre cette si gentille petite fille modèle à bien des égards
Cette première marche dans l'abjection et l'horreur est le début d'une descente en enfer des plus proches de Lalie, découvrant avec horreur quel être manipulateur, sans scrupule et meurtrier cette enfant peut être... En fait c'est le portrait d'une tueuse psychopathe, manipulatrice et sans morale.
Les faits et le scénario se succèdent, implacables, froids... Une écriture au scalpel, un talent confirmé dans la création de personnages
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Lectures en cours :
Elise ou la vraie vie de Claire Etcherelli
Pourquoi le saut des baleines de Nicolas Cavaillés
Un loup quelque part d'Amélie Cordonnier.
La pensée du moment :
"Les Hommes sont malheureux parce qu'ils ne réalisent pas les rêves qu'ils ont" Jacques Brel.
Re: [Collet, Magali] Comme une image
Ce roman va decrescendo, Eulalie ou plutôt Lalie, si douce, agréable à vivre la fierté de ses parents et de sa maîtresse, mais petit à petit on déchante. La gamine devient une peste, des coups bas par derrière, des moqueries. Lalie domine et dirige son monde à la baguette. Puis encore un cran au dessus et tout bascule dans l'horreur.
J'ai bien aimé lire ce roman, la plume est fluide , les pages se tournent vite.
J'ai bien aimé aussi le fait que ce soit Lalie qui prenne la narration, ça permet d'être dans sa tête .
J'ai bien aimé lire ce roman, la plume est fluide , les pages se tournent vite.
J'ai bien aimé aussi le fait que ce soit Lalie qui prenne la narration, ça permet d'être dans sa tête .
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