[Meyer, Renaud] Terre étrangère
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[Meyer, Renaud] Terre étrangère
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[Meyer, Renaud]
Terre étrangère
Editions Buchet - Chastel 17 août 2023
214 pages
Quatrième de couverture
Khatia Steiner, violoncelliste virtuose promise à un brillant avenir, voit sa carrière internationale brusquement interrompue lorsqu'on lui découvre un cancer du sein. Cette maladie va modifier le rapport de la jeune femme à son corps, à la musique, à son couple, jusqu'à remettre en cause sa vision de l'existence lorsque lui apparaît cette question troublante : Qui suis-je réellement ?
Tandis qu'elle entame son parcours de soins sous le regard d'Antoine, son compagnon photographe, Khatia est amenée à s'occuper de son grand-père, Lucas Steiner, un vieux juif qui perd peu à peu la mémoire. Une relation inattendue se noue avec cet homme avare de confidences et réfractaire à la musique. C'est pourtant la photo d'une violoncelliste au visage effacé qu'il transmet à sa petite-fille avant de disparaître.
Persuadée que cette photo mystérieuse est un message de Lucas, Khatia part à la recherche de ce secret où l'attend sa renaissance. Dans ce roman, où la musique accompagne le lecteur, se mêlent la petite et la grande histoire, le rire et les larmes, la quête des origines et de soi-même.
Mon avis
Je dois avouer que la première partie du roman m’a intéressée, l’ayant vécue, cela m’a émue, j’ai compris la souffrance de Khatia et l’accompagnement de Antoine. J’ai aimé la relation de Khatia avec son grand-père, elle pense que pour tenir tête à la maladie, elle voudrait retrouver ses racines juives, hélas son grand-père âgé perd la mémoire, alors il va falloir faire des recherches de toute urgence. Et nous allons vers une véritable enquête sur les traces de ses ancêtres, de Paris à l’Israël, de petites découvertes en petites découvertes, passant même par Auchwitz-Birkenau avec toujours une petite photo de sa grand-mère, une photo couleur sépia des années 1930, une jeune femme jouant du violoncelle. N’oublions pas que la musique imprègne le roman, elle devient d’ailleurs progressivement la jonction entre les deux parties du roman, ce qui va permettre à Khatia avec l’amour que Antoine a pour elle, de supporter sa maladie et penser sereinement aux disparus. Un tout gros coup de cœur pour ce petit livre…..
Terre étrangère
Editions Buchet - Chastel 17 août 2023
214 pages
Quatrième de couverture
Khatia Steiner, violoncelliste virtuose promise à un brillant avenir, voit sa carrière internationale brusquement interrompue lorsqu'on lui découvre un cancer du sein. Cette maladie va modifier le rapport de la jeune femme à son corps, à la musique, à son couple, jusqu'à remettre en cause sa vision de l'existence lorsque lui apparaît cette question troublante : Qui suis-je réellement ?
Tandis qu'elle entame son parcours de soins sous le regard d'Antoine, son compagnon photographe, Khatia est amenée à s'occuper de son grand-père, Lucas Steiner, un vieux juif qui perd peu à peu la mémoire. Une relation inattendue se noue avec cet homme avare de confidences et réfractaire à la musique. C'est pourtant la photo d'une violoncelliste au visage effacé qu'il transmet à sa petite-fille avant de disparaître.
Persuadée que cette photo mystérieuse est un message de Lucas, Khatia part à la recherche de ce secret où l'attend sa renaissance. Dans ce roman, où la musique accompagne le lecteur, se mêlent la petite et la grande histoire, le rire et les larmes, la quête des origines et de soi-même.
Mon avis
Je dois avouer que la première partie du roman m’a intéressée, l’ayant vécue, cela m’a émue, j’ai compris la souffrance de Khatia et l’accompagnement de Antoine. J’ai aimé la relation de Khatia avec son grand-père, elle pense que pour tenir tête à la maladie, elle voudrait retrouver ses racines juives, hélas son grand-père âgé perd la mémoire, alors il va falloir faire des recherches de toute urgence. Et nous allons vers une véritable enquête sur les traces de ses ancêtres, de Paris à l’Israël, de petites découvertes en petites découvertes, passant même par Auchwitz-Birkenau avec toujours une petite photo de sa grand-mère, une photo couleur sépia des années 1930, une jeune femme jouant du violoncelle. N’oublions pas que la musique imprègne le roman, elle devient d’ailleurs progressivement la jonction entre les deux parties du roman, ce qui va permettre à Khatia avec l’amour que Antoine a pour elle, de supporter sa maladie et penser sereinement aux disparus. Un tout gros coup de cœur pour ce petit livre…..
lalyre- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 07/04/2010
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