[Pouchairet, Pierre] Les trois brestoises - Tome 8 : Du sang sur le quai
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[Pouchairet, Pierre] Les trois brestoises - Tome 8 : Du sang sur le quai
Titre : Les trois brestoises - Tome 8 : Du sang sur le quai
Auteur : PIerre Pouchairet
éditeur : édition du Palémon
Nombre de pages : 327 pages.
Présentation de l’éditeur :
Au cours du célèbre salon dédié aux polars, Le Goéland Masqué à Penmarc’h, un auteur est retrouvé mort, assassiné. Puis un autre meurtre quelques mois plus tard dans un autre salon aussi fameux, Le Chien Jaune à Concarneau.
Les deux victimes avaient en commun d’avoir été lauréats de Prix du Quai des Orfèvres. C’est cette direction que prend l’enquête menée par Léanne Vallauri, cheffe de la police judiciaire du Finistère, assistée de ses deux amies Vanessa psycho-criminologue et Élodie médecin-légiste et de toute son équipe d’enquêteurs de Brest et Quimper et notamment Isaac qui aura même l’opportunité d’aller en Russie pour interroger un suspect.
Mon avis :
Non mais franchement ? Qui aurait pu croire qu’être auteur de romans policiers puisse être dangereux ? A croire qu’ils seront bientôt classés dans les professions à risque, que plus personne n’osera écrire des polars, et que l’on devra se contenter de romans à l’eau de rose ou pire, de séries télévisées dont j’aurai la charité de taire le nom. Les victimes ont plusieurs points communs : elles participent à des salons du polar (et ils sont nombreux !) et ils ont été lauréat du prix Quai des orfèvres comme… Pierre Pouchairet lui-même. Reste à savoir qui peut bien vouloir leur mort !
L’enquête ne prend pas son temps, elle prend du temps et emmènera nos enquêtrices très loin, bien plus loin qu’elles ne l’auraient pensé. Elles renoueront aussi avec un auteur de polar qu’elles avaient déjà croisé lors d’une précédente enquête (le tome 5, de mémoire) et elles se seraient presque passées de le revoir, tant celui-ci peut être un peu, beaucoup horripilant, loin des personnages qu’il campe dans ses propres romans. Je ne veux rien dire, mais j’ai eu l’impression qu’il se repentait de tous les crimes sanglants qu’il avait commis à la pointe de son stylo ! Un autre auteur, un autre lauréat devrais-je plutôt dire, a lui décidé de vivre le plus normalement du monde – il ne s’agit pas de provocation, non, c’est simplement, de ne pas se laisser abattre, dans tous les sens du terme, par quelqu’un qui veut vous faire vivre dans la peur.
Je terminerai en disant simplement qu’il existe des truands honnêtes, des truands qui rappellent qu’il est bon de faire son métier de truand sans chercher à truander autrement que dans les règles prescrites par le patron, le second travail malhonnête pour mettre du beurre demi-sel dans les épinards, on oublie !
Et c’est sur cette note que je vous quitte en cette veille de Noël, en espérant vous avoir donné envie de découvrir ce roman !
Sharon- Modérateur
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Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
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