[Corbucci, Pierre] La disparition d'Aristoteles Sarr
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[Corbucci, Pierre] La disparition d'Aristoteles Sarr
[Corbucci, Pierre] La disparition d'Aristoteles Sarr
[Corbucci, Pierre]
La disparition d’Aristoteles Sarr
Editions Paulsen 2024
369 PAGES
Au coeur de la jungle, un roman initiatique aux accents tragiques qui nous rappelle que l'homme ne domine pas toujours la nature. Colombie, années 1920. Lieutenant de l'armée de libération nationale, le jeune Aristoteles Sarr est investi d'une mission : aménager une piste d'atterrissage au coeur de la forêt amazonienne, à La Huanca, où le tout-puissant Casar a fondé son empire. Grâce au survol de cette zone qui n'a jamais été cartographiée, le chemin de fer pourrait se prolonger, permettant d'intensifier l'exploitation des ressources naturelles.
Convaincu du bien-fondé de sa mission, le jeune Aristoteles Sarr n'a pas conscience que la forêt est animée d'une vie propre, que ses ténèbres fourmillent de dangers, et qu'à vouloir la dominer on a tôt fait de s'attirer ses foudres. Aux abords de l'extravagant palais de Casar, folie des grandeurs et dernière enclave humaine avant l'inconnu, d'étranges disparitions se multiplient. Un roman picaresque aux mille nuances de vert, aussi puissant qu'une tragédie antique.
Mon avis
Aristoteles Sarr est chargé d’aménager une piste d’atterrissage au cœur de la forêt amazonienne. Le survol de cette zone jamais cartographiée, doit permettre de prolonger le chemin de fer, Cependant notre héros est un homme fragile face à la nature et il n’a pas conscience que la forêt est plus forte que lui, qu’elle est animée d’une vie importante et que ces ténèbres fourmillent de mille dangers. Tout n’y est que profusion, mouvements et putréfaction, tout nous rappelle que la jungle est angoissante et qu’elle rappelle à l’homme qui l’a traverse, qu’il n’est que de passage et que si l’on y reste, elle dépasse les limites de l’entendement et ou qu’il se porte, le regard est saisi de vertige car la jungle est une effervescence angoissante. Et pourtant, aux abords de l’extravagant palais de Casar, folie des grandeurs de cet homme et dernière enclave avant l’inconnu, d’étranges disparitions se multiplient. Ce roman tragique nous laisse bien comprendre l’impact humain sur ce qui l’entoure….
Les trois premières pages nous donnent un aperçu de la mythologie guaranie à laquelle se rattache le roman
La disparition d’Aristoteles Sarr
Editions Paulsen 2024
369 PAGES
Au coeur de la jungle, un roman initiatique aux accents tragiques qui nous rappelle que l'homme ne domine pas toujours la nature. Colombie, années 1920. Lieutenant de l'armée de libération nationale, le jeune Aristoteles Sarr est investi d'une mission : aménager une piste d'atterrissage au coeur de la forêt amazonienne, à La Huanca, où le tout-puissant Casar a fondé son empire. Grâce au survol de cette zone qui n'a jamais été cartographiée, le chemin de fer pourrait se prolonger, permettant d'intensifier l'exploitation des ressources naturelles.
Convaincu du bien-fondé de sa mission, le jeune Aristoteles Sarr n'a pas conscience que la forêt est animée d'une vie propre, que ses ténèbres fourmillent de dangers, et qu'à vouloir la dominer on a tôt fait de s'attirer ses foudres. Aux abords de l'extravagant palais de Casar, folie des grandeurs et dernière enclave humaine avant l'inconnu, d'étranges disparitions se multiplient. Un roman picaresque aux mille nuances de vert, aussi puissant qu'une tragédie antique.
Mon avis
Aristoteles Sarr est chargé d’aménager une piste d’atterrissage au cœur de la forêt amazonienne. Le survol de cette zone jamais cartographiée, doit permettre de prolonger le chemin de fer, Cependant notre héros est un homme fragile face à la nature et il n’a pas conscience que la forêt est plus forte que lui, qu’elle est animée d’une vie importante et que ces ténèbres fourmillent de mille dangers. Tout n’y est que profusion, mouvements et putréfaction, tout nous rappelle que la jungle est angoissante et qu’elle rappelle à l’homme qui l’a traverse, qu’il n’est que de passage et que si l’on y reste, elle dépasse les limites de l’entendement et ou qu’il se porte, le regard est saisi de vertige car la jungle est une effervescence angoissante. Et pourtant, aux abords de l’extravagant palais de Casar, folie des grandeurs de cet homme et dernière enclave avant l’inconnu, d’étranges disparitions se multiplient. Ce roman tragique nous laisse bien comprendre l’impact humain sur ce qui l’entoure….
Les trois premières pages nous donnent un aperçu de la mythologie guaranie à laquelle se rattache le roman
lalyre- Grand sage du forum
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