[Yûsuke, Kishi] La maison noire
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[Yûsuke, Kishi] La maison noire
[Yûsuke, Kishi] La maison noire
[Yûsuke Kishi]
La maison noire
Editions Belfond 2 février 2024
303 pages
Quatrième de couverture
Dans le cabinet d’assurances où il travaille, Shinji Wakatsuki fait figure d’employé modèle. Méticuleux, rigoureux, il traque sans relâche les incohérences dans les avis de décès. Car Wakatsuki le sait : nombre d’assurés sont prêts à faire de fausses déclarations pour obtenir un dédommagement.
Jusqu’au jour où un certain Komoda le sollicite pour un constat dans sa maison.
Sur place, le choc. Le corps d’un enfant de douze ans se balance au bout d’une corde. Suicide L’instinct de Wakatsuki lui dicte qu’il s’est passé autre chose dans cette demeure lugubre où flotte l’odeur de la mort.
Wakatsuki n’a jamais laissé un dossier sans réponse. Mais celui-ci pourrait bien le mener aux confins de la noirceur de l’âme humaine…
Toujours plus sombre, toujours plus dérangeant, toujours plus culte ! Après La Leçon du mal, une nouvelle plongée horrifique et jubilatoire dans les méandres de la psyché humaine, avec en arrière-plan une vision acide de la société japonaise
.
Mon avis
Shinji Wakatsuki travaille au département du déblocage des fonds d’assurance de Kyoto, compulsant des centaines de formulaires de décès, pour débusquer les arnaques à l’assurance-vie et rien n’échappe à sa vigilance, car il décèle facilement les fraudeurs qui ont, de l’imagination pour obtenir un dédommagement. L’appel d’un certain Komoda qui l’invite à venir chez lui pour établir un constat, ce qu’il découvre dans cette malsaine et sinistre maison, ce qu’il découvre le stupéfie, il pense directement a une mise en scène, il décide alors de mener sa propre enquête, angoissé mais déterminé de faire la lumière et c’est alors que d’autres faits vont surgir qui mettront sa vie en danger et c’est alors qu’il va faire l‘expérience de la noirceur humaine. Je n’aime pas trop les romans noirs, mais il faut dire que Yûsuke Kishi à vraiment l’art de captiver le lecteur, même si le livre débute lentement, la tension monte petit à petit et on angoisse au côté de Shinji, harcelé par un homme vénal qu’il soupçonne d’être un tueur, il faut aussi dire qu’il ne faut être trop sensible pour pouvoir supporter les descriptions très réalistes de ce redoutable meurtrier….
La maison noire
Editions Belfond 2 février 2024
303 pages
Quatrième de couverture
Dans le cabinet d’assurances où il travaille, Shinji Wakatsuki fait figure d’employé modèle. Méticuleux, rigoureux, il traque sans relâche les incohérences dans les avis de décès. Car Wakatsuki le sait : nombre d’assurés sont prêts à faire de fausses déclarations pour obtenir un dédommagement.
Jusqu’au jour où un certain Komoda le sollicite pour un constat dans sa maison.
Sur place, le choc. Le corps d’un enfant de douze ans se balance au bout d’une corde. Suicide L’instinct de Wakatsuki lui dicte qu’il s’est passé autre chose dans cette demeure lugubre où flotte l’odeur de la mort.
Wakatsuki n’a jamais laissé un dossier sans réponse. Mais celui-ci pourrait bien le mener aux confins de la noirceur de l’âme humaine…
Toujours plus sombre, toujours plus dérangeant, toujours plus culte ! Après La Leçon du mal, une nouvelle plongée horrifique et jubilatoire dans les méandres de la psyché humaine, avec en arrière-plan une vision acide de la société japonaise
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Mon avis
Shinji Wakatsuki travaille au département du déblocage des fonds d’assurance de Kyoto, compulsant des centaines de formulaires de décès, pour débusquer les arnaques à l’assurance-vie et rien n’échappe à sa vigilance, car il décèle facilement les fraudeurs qui ont, de l’imagination pour obtenir un dédommagement. L’appel d’un certain Komoda qui l’invite à venir chez lui pour établir un constat, ce qu’il découvre dans cette malsaine et sinistre maison, ce qu’il découvre le stupéfie, il pense directement a une mise en scène, il décide alors de mener sa propre enquête, angoissé mais déterminé de faire la lumière et c’est alors que d’autres faits vont surgir qui mettront sa vie en danger et c’est alors qu’il va faire l‘expérience de la noirceur humaine. Je n’aime pas trop les romans noirs, mais il faut dire que Yûsuke Kishi à vraiment l’art de captiver le lecteur, même si le livre débute lentement, la tension monte petit à petit et on angoisse au côté de Shinji, harcelé par un homme vénal qu’il soupçonne d’être un tueur, il faut aussi dire qu’il ne faut être trop sensible pour pouvoir supporter les descriptions très réalistes de ce redoutable meurtrier….
lalyre- Grand sage du forum
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