[Malte, Marcus] Garden of love
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Votre avis sur "Garden of love" de Marcus Malte
[Malte, Marcus] Garden of love
Garden of Love
de Marcus Malte
[Littérature française XXIe]
Editeur : Zulma
Publication : 4/1/2007
Prix éditeur : 18.5 euros Nombre de pages : 336 pages ISBN : 978284304389
Résumé du livre:
Alexandre Astrid reçoit un jour par la poste un manuscrit anonyme intitulé 'Garden of Love', placé ainsi sous le signe du grand poète anglais William Blake. Vite, entre les lignes, Alex, flic paumé sur la touche, y lit une version troublante, et même diabolique, de sa propre vie. À travers les 'liaisons dangereuses' d'un trio de jeunesse - amours trahies, blessures d'enfance, fantômes et monstres d'antan - le mystérieux auteur omniscient brouille les pistes avec une grande perversion et ouvre, comme aux échecs, un jeu de manipulations. Alexandre est renvoyé à ses souvenirs les plus douloureux, ses plus grands vertiges. Le voilà à revivre un épisode déterminant pour lui : son affrontement avec Edouard Dayms, jeune homme aussi brillant que déséquilibré, d'une impressionnante emprise sur les autres. Alex fait alors ce qu'il sait faire : il enquête, fouille, fouine. Mais cette fois, sa matière, c'est son propre passé.
Mon avis:
Sur le conseil de mon bibliothécaire, en attendant mes réservation , je me suis lancée dans ce petit roman,qui ne laisse pas indifférent!!!il est complexe à comprendre car on touche à la psychologie humaine (...et tous ses "labyrinthes" métaphysico-compliqués ...), mais franchement il est à la limite d'un coup de cœur ;
si vous avez l'occasion de le piocher, ouvrez-le!!
8/10
de Marcus Malte
[Littérature française XXIe]
Editeur : Zulma
Publication : 4/1/2007
Prix éditeur : 18.5 euros Nombre de pages : 336 pages ISBN : 978284304389
Résumé du livre:
Alexandre Astrid reçoit un jour par la poste un manuscrit anonyme intitulé 'Garden of Love', placé ainsi sous le signe du grand poète anglais William Blake. Vite, entre les lignes, Alex, flic paumé sur la touche, y lit une version troublante, et même diabolique, de sa propre vie. À travers les 'liaisons dangereuses' d'un trio de jeunesse - amours trahies, blessures d'enfance, fantômes et monstres d'antan - le mystérieux auteur omniscient brouille les pistes avec une grande perversion et ouvre, comme aux échecs, un jeu de manipulations. Alexandre est renvoyé à ses souvenirs les plus douloureux, ses plus grands vertiges. Le voilà à revivre un épisode déterminant pour lui : son affrontement avec Edouard Dayms, jeune homme aussi brillant que déséquilibré, d'une impressionnante emprise sur les autres. Alex fait alors ce qu'il sait faire : il enquête, fouille, fouine. Mais cette fois, sa matière, c'est son propre passé.
Mon avis:
Sur le conseil de mon bibliothécaire, en attendant mes réservation , je me suis lancée dans ce petit roman,qui ne laisse pas indifférent!!!il est complexe à comprendre car on touche à la psychologie humaine (...et tous ses "labyrinthes" métaphysico-compliqués ...), mais franchement il est à la limite d'un coup de cœur ;
si vous avez l'occasion de le piocher, ouvrez-le!!
8/10
Invité- Invité
Re: [Malte, Marcus] Garden of love
Je n'ai personnellement jamais entendu parlé de ce livre, ça a l'air en effet du domaine psycho mais ca me tente bien
Invité- Invité
Re: [Malte, Marcus] Garden of love
Mon avis :
Le début a été difficile mais intrigant, beaucoup de questions en suspend. La narration se fait à la première personne du singulier. Un certain Mathieu nous raconte sa vie présente puis revient sur son passé avec Ariel, personnage sombre et mystérieux, dangereux. Puis, d'un seul coup, nouvelle scène : un flic à la dérive, mis au placard suite à une bavure, seul. Le lecteur sait qu'un drame est survenu. Que s'est-il passé entre la scène de liesse de Noël en famille, avec ses deux enfants, Etienne, Mattéo et sa femme Florence ? D'autant que finalement, nous apprenons qu'il s'appelle désormais Alexandre Astrid. Mathieu, Alexandre... Même personnage ou deux êtres distincts ? Les similitudes sont troublantes mais le doute s'installe. Passé, présent, réalité et fiction se mélangent, me plongeant dans la confusion, au moins jusqu'à l'arrivée de Marie, l'amie d'enfance, la confidente, toujours présente même dans les pires moments. A partir de ce moment, on dénoue les fils. Enfin ! Je commençais à trouver le temps un peu long, totalement perdue car on passe de Mathieu à Alexandre sans aucune transition, aucun repère. Difficile de faire la part des choses. Cette manière de faire est admirable en soi, l'auteur balade son lecteur, le laisse sciemment plongé dans la confusion mais bizarrement, j'ai aimé et j'ai détesté cela en même temps : on entre sans préambule dans l'histoire et j'ai eu tout du long une drôle de sensation, l'impression de nager en eaux troubles. C'est voulu, j'ai bien compris mais cela m'a quelque peu dérangée à la longue... Une lecture en demi-teinte donc... mais plutôt bien appréciée dans l'ensemble.
Le début a été difficile mais intrigant, beaucoup de questions en suspend. La narration se fait à la première personne du singulier. Un certain Mathieu nous raconte sa vie présente puis revient sur son passé avec Ariel, personnage sombre et mystérieux, dangereux. Puis, d'un seul coup, nouvelle scène : un flic à la dérive, mis au placard suite à une bavure, seul. Le lecteur sait qu'un drame est survenu. Que s'est-il passé entre la scène de liesse de Noël en famille, avec ses deux enfants, Etienne, Mattéo et sa femme Florence ? D'autant que finalement, nous apprenons qu'il s'appelle désormais Alexandre Astrid. Mathieu, Alexandre... Même personnage ou deux êtres distincts ? Les similitudes sont troublantes mais le doute s'installe. Passé, présent, réalité et fiction se mélangent, me plongeant dans la confusion, au moins jusqu'à l'arrivée de Marie, l'amie d'enfance, la confidente, toujours présente même dans les pires moments. A partir de ce moment, on dénoue les fils. Enfin ! Je commençais à trouver le temps un peu long, totalement perdue car on passe de Mathieu à Alexandre sans aucune transition, aucun repère. Difficile de faire la part des choses. Cette manière de faire est admirable en soi, l'auteur balade son lecteur, le laisse sciemment plongé dans la confusion mais bizarrement, j'ai aimé et j'ai détesté cela en même temps : on entre sans préambule dans l'histoire et j'ai eu tout du long une drôle de sensation, l'impression de nager en eaux troubles. C'est voulu, j'ai bien compris mais cela m'a quelque peu dérangée à la longue... Une lecture en demi-teinte donc... mais plutôt bien appréciée dans l'ensemble.
Invité- Invité
Re: [Malte, Marcus] Garden of love
Je viens de le finir. Je constate qu'alexielle63 déjà posté une critique sur ce livre...et que nos avis se rejoignent (comme pour Robe de marié ! Chouette !)
Je n'ai pas aimé le premier chapitre : scène de sexe poétisée, presque ennuyeuse malgré sa violence. Je me suis demandé si j'allais m'arrêter là. Et puis non...Dès le deuxième chapitre, j'ai commencé à m'attacher à Mathieu, à sa famille, au mystérieux Ariel, à Alexandre Astrid (moins à lui qu'aux autres)...J'ai compris que c'était un puzzle. J'adore les romans labyrinthiques et les puzzles à reconstituer. Or là, on a une vraie histoire, une imbrication intéressante, un jeu sur la narration, avec des phénomènes d'écho. J'ai été baladée, je n'ai pas compris où le livre allait m'amener et j'ai trouvé qu'au niveau du suspense, c'est parfait. J'ai compris pourquoi le livre est recouvert d'une jaquette "Le roman virtuose plus de 10 fois lauréat".
C'est très complexe et à réserver aux "hardcore gamers" qui n'aiment pas deviner la solution de l'énigme dans les cent premières pages...(et là, on est comblé : on ne devine rien du tout. On erre dans le brouillard.)
Mais...il y a un "mais"...si le roman est virtuose, il pêche par excès de virtuosité. L'auteur sait qu'il veut en mettre plein la vue et en met plein la vue. Sauf que c'est parfois lassant. Ainsi, dans le premier chapitre (celui que j'aime le moins), on a des métaphores à rallonge : "ce bout de chair à vif pendouillant, luisant au milieu d'une sombre toison et d'où gouttait quelquefois l'ultime larme d'un elixir soi-disant miraculeux" (?). C'est tout sauf érotique. Pour moi, c'est de l'esbrouffe gratuite et c'est dommage. Même impression avec les répétitions, l'image de la mer reflétant le ciel plusieurs fois reprise (alors qu'on comprend la première fois...) ou les référence appuyées aux poètes Blake et Shelley (jusqu'à la fin du roman alors que pour un final, ce n'est pas de l'érudition qui est attendue, mais de l'action). D'ailleurs, avec tout ça, je me demande encore si j'ai bien compris la fin (il y a un élément qui m'a fait douter...mais comme le final est poétique plus qu'explicatif, je n'ai pas trop su si j'avais tout compris ou non).
Tout ça fait que j'ai aussi eu une lecture en demi-teinte. J'ai trouvé que ce livre avait toutes les qualités d'un très bon roman (d'ailleurs lu rapidement, presque d'une traite), mais avec un auteur qui au lieu de s'éclipser passe son temps à souligner "Eh oh lecteur, tu as vu comme j'écris bien ?" C'était un peu lourd, à la longue. Du coup, ce n'est qu'un bon roman.
Note : 7/10.
Je n'ai pas aimé le premier chapitre : scène de sexe poétisée, presque ennuyeuse malgré sa violence. Je me suis demandé si j'allais m'arrêter là. Et puis non...Dès le deuxième chapitre, j'ai commencé à m'attacher à Mathieu, à sa famille, au mystérieux Ariel, à Alexandre Astrid (moins à lui qu'aux autres)...J'ai compris que c'était un puzzle. J'adore les romans labyrinthiques et les puzzles à reconstituer. Or là, on a une vraie histoire, une imbrication intéressante, un jeu sur la narration, avec des phénomènes d'écho. J'ai été baladée, je n'ai pas compris où le livre allait m'amener et j'ai trouvé qu'au niveau du suspense, c'est parfait. J'ai compris pourquoi le livre est recouvert d'une jaquette "Le roman virtuose plus de 10 fois lauréat".
C'est très complexe et à réserver aux "hardcore gamers" qui n'aiment pas deviner la solution de l'énigme dans les cent premières pages...(et là, on est comblé : on ne devine rien du tout. On erre dans le brouillard.)
Mais...il y a un "mais"...si le roman est virtuose, il pêche par excès de virtuosité. L'auteur sait qu'il veut en mettre plein la vue et en met plein la vue. Sauf que c'est parfois lassant. Ainsi, dans le premier chapitre (celui que j'aime le moins), on a des métaphores à rallonge : "ce bout de chair à vif pendouillant, luisant au milieu d'une sombre toison et d'où gouttait quelquefois l'ultime larme d'un elixir soi-disant miraculeux" (?). C'est tout sauf érotique. Pour moi, c'est de l'esbrouffe gratuite et c'est dommage. Même impression avec les répétitions, l'image de la mer reflétant le ciel plusieurs fois reprise (alors qu'on comprend la première fois...) ou les référence appuyées aux poètes Blake et Shelley (jusqu'à la fin du roman alors que pour un final, ce n'est pas de l'érudition qui est attendue, mais de l'action). D'ailleurs, avec tout ça, je me demande encore si j'ai bien compris la fin (il y a un élément qui m'a fait douter...mais comme le final est poétique plus qu'explicatif, je n'ai pas trop su si j'avais tout compris ou non).
Tout ça fait que j'ai aussi eu une lecture en demi-teinte. J'ai trouvé que ce livre avait toutes les qualités d'un très bon roman (d'ailleurs lu rapidement, presque d'une traite), mais avec un auteur qui au lieu de s'éclipser passe son temps à souligner "Eh oh lecteur, tu as vu comme j'écris bien ?" C'était un peu lourd, à la longue. Du coup, ce n'est qu'un bon roman.
Note : 7/10.
Invité- Invité
Re: [Malte, Marcus] Garden of love
lectiole a écrit:Je viens de le finir. Je constate qu'alexielle63 a déjà posté une critique sur ce livre...et que nos avis se rejoignent (comme pour Robe de marié ! Chouette !)
Va falloir que je surveille tes avis alors On doit avoir à peu près les mêmes goûts en matière de policiers/ thrillers !
Invité- Invité
Re: [Malte, Marcus] Garden of love
Mais comme je ne suis pas là depuis longtemps, je vais d'abord aller voir tes avis déjà postés !
Invité- Invité
Re: [Malte, Marcus] Garden of love
un puzzle avec plein de pièces et au bout pas un tableau magnifique, juste une reproduction de carte postale !
je partage l'avis de Lectiole : l'auteur veut nous en mettre plein la vue, c'est souvent pompeux avec des formules lyriques, il se veut virtuose des mots ( comme Lena ? ) mais çà dérape parfois dans le trivial.
Qui parle ? à chaque chapitre la question se repose, après on se repère ...fantasme ou réalité ? l'auteur cherche à nous perdre mais pourquoi finalement ?
les personnages sont peu attachants et j'ai lu l'ensemble du roman sans émotion
A la fin se dénouent les fils de la pelote avec visites et révélations et c'est un peu laborieux , quant aux derniers propos de Marie ( je dirais rien!) on se demande bien ce que cela vient faire !
je partage l'avis de Lectiole : l'auteur veut nous en mettre plein la vue, c'est souvent pompeux avec des formules lyriques, il se veut virtuose des mots ( comme Lena ? ) mais çà dérape parfois dans le trivial.
Qui parle ? à chaque chapitre la question se repose, après on se repère ...fantasme ou réalité ? l'auteur cherche à nous perdre mais pourquoi finalement ?
les personnages sont peu attachants et j'ai lu l'ensemble du roman sans émotion
A la fin se dénouent les fils de la pelote avec visites et révélations et c'est un peu laborieux , quant aux derniers propos de Marie ( je dirais rien!) on se demande bien ce que cela vient faire !
Invité- Invité
Re: [Malte, Marcus] Garden of love
Quelques mots sur l’auteure :
Né dans le Var en 1967. Après un bac littéraire, Marcus Malte (Marc Martiniani) passe un CAP de projectionniste et obtient une Licence d'études cinématographiques. Puis il devient musicien de rock, de jazz et de variétés dans les bals de village et projectionniste pour la Fédération des Œuvres Laïques - Ciné 83 avant de se consacrer finalement à la littérature.
Lorsqu’il n’écrit pas pour les enfants ou les adolescents, Marcus Malte cultive, dans ses œuvres, un univers tourmenté et mystérieux, porté par une maîtrise singulière de l’art du récit. [Source Babelio]
Maintenant, place au livre !
Ce livre est un OVNI ! (Œuvre Visuelle Non Identifiée !)
Une force stylistique incroyable, écheveau d’esprits, chacun malade à sa manière.
Une belle œuvre dans le message, dans la manière et dans le style.
Farfelue, déjantée et pleine de réalisme…
L’œuvre est toute azimute : une prostituée qui se donne à corps perdu pour ses clients, un homme Matthieu qui revoit un vieil ami Ariel, la femme de Matthieu : Florence qui ne veut surtout pas revoir ou entendre parler d’Ariel… Alexandre flic, Léna sa femme, etc.
Alexandre Astrid, flic mis au placard ! L’histoire se passe de nos jours …
Celui-ci reçoit un beau jour un manuscrit où l’auteur est anonyme, mais pas pour longtemps ! Alex charge une arme et fonce à Saintes-sur-Mer. Il va reprendre l’enquête.
Pourquoi ? Pas pour l’honneur, il l’a paumé en route ! Pas pour le salut de son âme, elle a quitté le navire… juste pour savoir, savoir la vérité !
Arrivé à Saintes, il découvre un cadavre, vraisemblablement l’auteur du manuscrit … Il n’aura pas laissé la chance à Alex de le tuer lui-même… Edouard Dayms. Un gars qu’Alexandre a cherché longtemps, un gars qu’il voulait tuer lui-même… Mais il s’est tué avant qu’Alex en ait ce plaisir !
Alors le vieux flic replonge dans le manuscrit pour démêler les nœuds. Pour comprendre les mots, les esprits de toutes ses personnes, de tous ces noms, de sa vie et de celles des autres …
Il faut savoir qu’Alex a plongé dans les enfers lorsqu’il a perdu sa femme, ses fils Etienne, Mattéo et Nathan dans un accident de voiture.
C’est l’histoire schizophrénique d’Edouard Dayms et d’Alex Astrid qui nous emporte dans une enquête à la manière d’un roman policier, bien ficelé et avec des messages d’espoir…
L’espoir de l’amour, l’espoir d’un bonheur, l’espoir de s’ouvrir…
Né dans le Var en 1967. Après un bac littéraire, Marcus Malte (Marc Martiniani) passe un CAP de projectionniste et obtient une Licence d'études cinématographiques. Puis il devient musicien de rock, de jazz et de variétés dans les bals de village et projectionniste pour la Fédération des Œuvres Laïques - Ciné 83 avant de se consacrer finalement à la littérature.
Lorsqu’il n’écrit pas pour les enfants ou les adolescents, Marcus Malte cultive, dans ses œuvres, un univers tourmenté et mystérieux, porté par une maîtrise singulière de l’art du récit. [Source Babelio]
Maintenant, place au livre !
Ce livre est un OVNI ! (Œuvre Visuelle Non Identifiée !)
Une force stylistique incroyable, écheveau d’esprits, chacun malade à sa manière.
Une belle œuvre dans le message, dans la manière et dans le style.
Farfelue, déjantée et pleine de réalisme…
L’œuvre est toute azimute : une prostituée qui se donne à corps perdu pour ses clients, un homme Matthieu qui revoit un vieil ami Ariel, la femme de Matthieu : Florence qui ne veut surtout pas revoir ou entendre parler d’Ariel… Alexandre flic, Léna sa femme, etc.
Alexandre Astrid, flic mis au placard ! L’histoire se passe de nos jours …
Celui-ci reçoit un beau jour un manuscrit où l’auteur est anonyme, mais pas pour longtemps ! Alex charge une arme et fonce à Saintes-sur-Mer. Il va reprendre l’enquête.
Pourquoi ? Pas pour l’honneur, il l’a paumé en route ! Pas pour le salut de son âme, elle a quitté le navire… juste pour savoir, savoir la vérité !
Arrivé à Saintes, il découvre un cadavre, vraisemblablement l’auteur du manuscrit … Il n’aura pas laissé la chance à Alex de le tuer lui-même… Edouard Dayms. Un gars qu’Alexandre a cherché longtemps, un gars qu’il voulait tuer lui-même… Mais il s’est tué avant qu’Alex en ait ce plaisir !
Alors le vieux flic replonge dans le manuscrit pour démêler les nœuds. Pour comprendre les mots, les esprits de toutes ses personnes, de tous ces noms, de sa vie et de celles des autres …
Il faut savoir qu’Alex a plongé dans les enfers lorsqu’il a perdu sa femme, ses fils Etienne, Mattéo et Nathan dans un accident de voiture.
C’est l’histoire schizophrénique d’Edouard Dayms et d’Alex Astrid qui nous emporte dans une enquête à la manière d’un roman policier, bien ficelé et avec des messages d’espoir…
L’espoir de l’amour, l’espoir d’un bonheur, l’espoir de s’ouvrir…
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