[Duval, Jean-François] L'année où j'ai appris l'anglais
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Votre avis sur "L'année où j'ai appris l'anglais" de Jean-François Duval
[Duval, Jean-François] L'année où j'ai appris l'anglais
L'année où j'ai appris l'anglais
265 pages édité chez Ramsay en 2006
Résumé
Chris, dix-huit ans, passe l'année à Cambridge, où il apprend l'anglais. Miraculeusement réchappé d'un accident de voiture, il saisit son existence à bras le corps pour explorer tous les possibles qui s'offrent à lui. En bande-son de cette quête intense, Rock Around the Clock - l'horloge qui tourne, la diabolique fuite du temps. C'est l'âge des amitiés fondatrices : Mike, le talentueux compositeur de protest songs, Simon l'amateur de voitures anciennes, Barbara la tigresse, Harry le fragile colosse, Suliman jailli du désert saoudien, tous vibrent en écoutant les Beatles, les Stones oules Creams, au hasard des pubs, des folk blues clubs, des salles de cinéma où l'on échange des baisers brûlants, et des bals pop du mois de mai. Au printemps 1968, ils ne connaîtront rien des émeutes en France, leur révolution est ailleurs, intime, musicale. Toute cette bande, réunie par la magie d'une langue étrangère, le génie d'un lieu et le jeu des illusions adolescentes, Chris sait qu'il ne l'oubliera jamais. Car c'est aussi le temps des amours qui se cherchent. Sans même en avoir conscience, Chris s'éprend de Maybelene, dix-sept ans, découvre peu à peu le désir partagé, veut croire à l'absolu de la passion. Derrière la souriante légèreté du propos se joue un drame universel, doux et amer : la perte de l'enfance et le passage à l'âge adulte. Sous la plume de l'auteur, ces instants d'éternité et d'exaltation mêlés de mélancolie resurgissent avec une grâce désinvolte mais minutieusement restituée, dans l'Angleterre des sixties, au rythme d'une musique très personnelle.
Mon avis
avoir 18 en 1968.. période mythique, que je n'ai pas connu (j'avais 3 ans !!!) mais quelque soit l'époque où l'on a 18 ans, nous sommes tous à peu près les mêmes... la légèreté de l'être, l'insouciance, la découverte de l'autre (dans tous les sens du terme), refaire le monde jusqu'à pas d'heure, se faire une fête du sourire de son amoureuse ou amoureux comme si, c'était tout l'or du monde... oser ou ne pas oser...
AU travers d'évènement, musique, livre ou cinéma, le lecteur suit avec bonheur ces jeunes gens en se remémorant ces (ou ses )moments idylliques, ce passage vers la maturité qui nous fait découvrir d'autres facettes de la vie...
Arrivé au mot fin, je dis simplement merci, pour m'avoir permis le temps de la lecture de retrouver des odeurs, des mots, des images, des moments de mes 18 ans...
A découvrir
265 pages édité chez Ramsay en 2006
Résumé
Chris, dix-huit ans, passe l'année à Cambridge, où il apprend l'anglais. Miraculeusement réchappé d'un accident de voiture, il saisit son existence à bras le corps pour explorer tous les possibles qui s'offrent à lui. En bande-son de cette quête intense, Rock Around the Clock - l'horloge qui tourne, la diabolique fuite du temps. C'est l'âge des amitiés fondatrices : Mike, le talentueux compositeur de protest songs, Simon l'amateur de voitures anciennes, Barbara la tigresse, Harry le fragile colosse, Suliman jailli du désert saoudien, tous vibrent en écoutant les Beatles, les Stones oules Creams, au hasard des pubs, des folk blues clubs, des salles de cinéma où l'on échange des baisers brûlants, et des bals pop du mois de mai. Au printemps 1968, ils ne connaîtront rien des émeutes en France, leur révolution est ailleurs, intime, musicale. Toute cette bande, réunie par la magie d'une langue étrangère, le génie d'un lieu et le jeu des illusions adolescentes, Chris sait qu'il ne l'oubliera jamais. Car c'est aussi le temps des amours qui se cherchent. Sans même en avoir conscience, Chris s'éprend de Maybelene, dix-sept ans, découvre peu à peu le désir partagé, veut croire à l'absolu de la passion. Derrière la souriante légèreté du propos se joue un drame universel, doux et amer : la perte de l'enfance et le passage à l'âge adulte. Sous la plume de l'auteur, ces instants d'éternité et d'exaltation mêlés de mélancolie resurgissent avec une grâce désinvolte mais minutieusement restituée, dans l'Angleterre des sixties, au rythme d'une musique très personnelle.
Mon avis
avoir 18 en 1968.. période mythique, que je n'ai pas connu (j'avais 3 ans !!!) mais quelque soit l'époque où l'on a 18 ans, nous sommes tous à peu près les mêmes... la légèreté de l'être, l'insouciance, la découverte de l'autre (dans tous les sens du terme), refaire le monde jusqu'à pas d'heure, se faire une fête du sourire de son amoureuse ou amoureux comme si, c'était tout l'or du monde... oser ou ne pas oser...
AU travers d'évènement, musique, livre ou cinéma, le lecteur suit avec bonheur ces jeunes gens en se remémorant ces (ou ses )moments idylliques, ce passage vers la maturité qui nous fait découvrir d'autres facettes de la vie...
Arrivé au mot fin, je dis simplement merci, pour m'avoir permis le temps de la lecture de retrouver des odeurs, des mots, des images, des moments de mes 18 ans...
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Pinky- Grand sage du forum
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Age : 61
Localisation : Les Sables d'Olonne (85)
Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
Genre littéraire préféré : Je lis de tout en littérature mais j'ai beaucoup de mal avec les policiers... j'en lis 1 ou 2 dans l
Date d'inscription : 04/06/2008
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