[Balzac, Honoré (de)] Le Père Goriot

Titre : Le Père Goriot
Auteur : Honoré de Balzac
Edition : Larousse
Nombre de pages : 261


Quatrième de couverture :

Entre un pauvre père pris de passion pour ses filles, une femme du monde jetant ses derniers feux avant de quitter l'arène et un inquietant prédateur, philosophe de l'obscur à ses heures, un jeune provincial apprend jusqu'au dégoût l'âpre chemin de la réussite. Car le parcours qui mène d'une sordide pension au Paris aristocratique passe par la pauvreté, l'ingratitude, le crime, la vanité et l'égoïsme. Est-ce donc cela la vie humaine, "un zoo d'où l'espoir a fui" ?


Mon avis :

Tout d'abord, je dois dire que j'ai lu le livre par obligation et non par choix parce que les classiques ça ne m'attire pas du tout !
Pour ce qui est du livre, il faut attendre un certain temps, assez long quand même, pour rentrer dans l'histoire. En effet, le début est principalement de la description de tout les moindres détails. Mais quand on arrive dans l'histoire, ça dévient plus interressant.
Au fond, même s'il est pas forcément facile à lire, il y a une histoire interressante derrière. Les sujets abordés sont diverses mais ils montrent principalement la société du XIXe siècle avec la difficultés d'insertion d'un jeune qui eut faire fortune et aussi les difficultés des riches, des mariages et des amants.

Je l'ai aussi lu en lecture obligatoire pour la seconde et j'ai eu beaucoup, beaucoup de mal à le lire. Il y a beaucoup de description qui m'ont assez vite ennuyé. Je ne l'avais pas fini.

un classique que je pense beaucoup d'entre nous a lu pour les cours de Français, je me souviens plus de tout mais j'en garde un bon souvenir

Bonjour , j'ai beaucoup aimé le livre et j'aimerais savoir si le film etait asser proche du livre , car j'aimerais bien le voir , pour aussi voir comment joue charles aznavour
merci

Je n'ai pas vu le film, désolée.
Je l'ai lu à la fac et j'en garde un bon souvenir. J'ai suivi la montée de Rastignac dans la société avec grand intérêt.
Je vais bientôt lire Peau de chagrin. Quelqu'un qui l'a lu pourrait-il me donner ses impressions?

Honte à moi : je ne l'ai jamais lu ! Mais quand, en cours, j'ai étudié l'excipit du livre, j'étais tellement énervée de savoir la fin avant de lire l'oeuvre que j'ai boudé ma prof pendant toute l'heure ^_^ !

Mais je m'y mettrai un jour ou l'autre peut-être...

J'ai lu Le Père Goriot en cinquième, lecture de cours obligatoire : j'ai détesté !

J'ai relu Le Père Goriot vers vers l'âge de 35 ans (oui il a fallu du temps pour me decider ) et là j'ai adoré, une excellente lecture

Comme quoi !

Cerisia a écrit:J'ai lu Le Père Goriot en cinquième, lecture de cours obligatoire : j'ai détesté !

J'ai relu Le Père Goriot vers vers l'âge de 35 ans (oui il a fallu du temps pour me decider ) et là j'ai adoré, une excellente lecture

Comme quoi !

Moi j'ai eu le même tour que toi pour Diderot avec Jacques le fataliste. Je l'ai lu au lycée, j'ai détesté. Je l'ai relu à la FAC, j'ai adoré. Par contre le Père Goriot j'ai adoé tout de suite. Comme quoi on a chacun sa sensibilité;

l'un de mes classiques préféré.
Encore de la description en veux tu en voila, mais moi cela ne me dérange pas, c'est BALZAC.
Une histoire émouvante d'un père abandonnée par ses filles dans une pension sordide.
Morceau de vie, tjs très bien écrit, des descriptions réalistes où le lecteur à l'impression de rentrer dans l'histoire.

je n'ai lu que les première page mais j'ai vu le film et j'ai bien aimé
C. AZNAVOUR y joue particulièrement bien

J’ai commencé à lire ce livre sous le format roman et je l’ai abandonné très vite. Puis j’ai lu ce roman en bande-dessinée qui m’a permis de découvrir cette œuvre de Balzac sans ses interminables descriptions et j’ai vraiment beaucoup aimé. La description de la socité du XIXème siècle est fine, et nature humaine est bien dépeinte.

Personnellement, j'ai bien aimé le livre, et je n'ai pas vu le film: je préfère souvent le livre au film.

Je l'ai lu il y a bien longtemps et j'avais beaucoup aimé.

Je l'ai lu lorsque j'étais au lycée, j'avais adoré! c'est le roman que je préfère chez Balzac.

Mon avis

Le personnage très attachant du Père Goriot, un pauvre vieillard devenu le bouc émissaire de la maison Vauquer et dont le triste destin fut de se ruiner pour ses filles, des filles ingrates qui l’ont laissé mourir seul. Rastignac, ce jeune homme de petite noblesse, venu à Paris pour faire fortune, m’a paru assez niais et crédule. Vautrin avec ses machinations mystérieuses que j’ai trouvé méprisant. Mme Vauquer la tenancière avare de la pension de famille miteuse ou logent les personnages cités et d’autres qui viennent y prendre leur repas. J’ai lu ce livre comme un vaudeville mais comme souvent le style de Balzac est assez lent en descriptions des lieux et des personnages qu’il rend grotesques, cela est sans doute dû à l’époque ou ce roman fut écrit. Je me suis amusée lors de cette lecture sauf la fin du père Goriot que j’ai trouvé émouvante. Le désintéressement, la médisance, l’ingratitude et le mépris sont les principaux thèmes repris dans ce livre que j’ai apprécié...4/5

J'ai mis "bien", j'ai dû le lire l'an dernier pour le BAC. Il est vrai que les descriptions m'ont beaucoup ennuyé et il a fallu m'accrocher pour ne pas refermer le livre et lui dire au revoir. Au final, j'ai bien fait, car une fois l'intrigue lancée, on ne s'ennuie plus ! Nombreux sont les termes abordés : Rastignac, un jeune ambitieux prêt à beaucoup pour réussir, Le Père Goriot, qui souffre d'un amour destructeur pour ses filles etc.
Véritablement un classique à lire !

Bonjour, je ne comprends pas pourquoi le narrateur parle de médisances dans les premières lignes "Mme Vauquer, née de Conflans, est une vielle femme qui, depuis quarante ans, tient à Paris une pension bourgeoise établie rue Neuve-Sainte-Genevieve, entre le quartier latin et le faubourg Saint-Marceau. Cette pension, connue sous le nom de la Maison Vauquer, admet également des hommes et des femmes , des jeunes gens et des vieillards, sans que jamais la médisance ait attaqué les mœurs de ce respectable établissement."

Rack a écrit:Bonjour, je ne comprends pas pourquoi le narrateur parle de médisances dans les premières lignes "Mme Vauquer, née de Conflans, est une vielle femme qui, depuis quarante ans, tient à Paris une pension bourgeoise établie rue Neuve-Sainte-Genevieve, entre le quartier latin et le faubourg Saint-Marceau. Cette pension, connue sous le nom de la Maison Vauquer, admet également des hommes et des femmes , des jeunes gens et des vieillards, sans que jamais la médisance ait attaqué les mœurs de ce respectable établissement."

Nous ne sommes, malheureusement pas, un site d'aide aux devoirs, il va falloir chercher par vous-même.....