[Massarotto, Cyril] Cent pages blanches
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Re: [Massarotto, Cyril] Cent pages blanches
je l'ai lu dés qu'il est sortit en poche et comme tous les romans de cet auteur, je l'ai adoré! je vous le conseille pour flâner au soleil cet été!
Invité- Invité
Re: [Massarotto, Cyril] Cent pages blanches
Un petit livre sans prétention, une idée originale, une lecture détente.
Il y manque un peu plus de profondeur, n'empêche j'ai passé un bon moment!
Il y manque un peu plus de profondeur, n'empêche j'ai passé un bon moment!
chocolette- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 13/05/2011
Re: [Massarotto, Cyril] Cent pages blanches
Courte critique, chocolette.
Tu nous laisses sur notre faim.
Mais bon, je comprends.
Parfois, pour certains livres, on n'a pas grand chose à dire, ou pas envie de s'attarder...
Tu nous laisses sur notre faim.
Mais bon, je comprends.
Parfois, pour certains livres, on n'a pas grand chose à dire, ou pas envie de s'attarder...
Invité- Invité
Re: [Massarotto, Cyril] Cent pages blanches
Mon avis :
100 pages blanches est un roman qui ne déroge pas au style de Cyril Massarotto.
Trois adultes, frères et sœurs, héritent de leur grand-père. Les jumelles se partagent le compte en banque et les propriétés immobilières, le frère récupèrent un carnet avec cent pages, vierges de toutes inscriptions. Il est vrai que le grand-père perdait un peu la temps ces derniers temps, mais de là à se moquer du garçon qu'il a élevé comme son propre fils.
Rapidement, le carnet se révèle être un héritage plus grand et plus précieux que quelques centaines de milliers d'euros. Et lui seul peut accéder à son pouvoir. Celui de ressusciter les souvenirs enfouis dans la mémoire pour les revivre une dernière fois.
Le roman entre immédiatement dans l'histoire, les présentations se font avec les personnages et l'héritage arrive avec son lot de déceptions et de découvertes. L'histoire fait place à la magie de la nostalgie, celle que vous avez peut-être quand vous feuilletez de vieux albums de photos ou quand vous ouvrez une vieille boîte de chaussures où sont enfouis des objets qui vous font revivre votre madeleine de Proust.
Les personnages sont intéressants et les deux amis sont attachants, et d'autres sont irritants. Bien décrits, on s'en fait une image très proche de celle que l'auteur avait.
L'écriture est facile et très fluide. Le roman est court et en un rien de temps il se dévore.
L'histoire est belle, avec des rebondissements crédibles, cohérents, malgré l'aspect fantastique du carnet.
Le roman possède une morale, que peut-être vous vous appliquez consciemment ou inconsciemment, mais pour les autres qui se refusent à vivre vers l'avenir, les souvenirs ne se remémorent que s'ils sont vécus. Mon passage préféré dans ce roman est assez court, mais je l'ai trouvé intense ; c'est lorsque Mick et Louise offre la montre.
En somme, Cyril Massarotto nous offre un magnifique roman comme il sait si bien les écrire, bourré d'émotions, de rires, de larmes, et aussi de candeur, de naïveté, et beaucoup d'amour.
100 pages blanches est un roman qui ne déroge pas au style de Cyril Massarotto.
Trois adultes, frères et sœurs, héritent de leur grand-père. Les jumelles se partagent le compte en banque et les propriétés immobilières, le frère récupèrent un carnet avec cent pages, vierges de toutes inscriptions. Il est vrai que le grand-père perdait un peu la temps ces derniers temps, mais de là à se moquer du garçon qu'il a élevé comme son propre fils.
Rapidement, le carnet se révèle être un héritage plus grand et plus précieux que quelques centaines de milliers d'euros. Et lui seul peut accéder à son pouvoir. Celui de ressusciter les souvenirs enfouis dans la mémoire pour les revivre une dernière fois.
Le roman entre immédiatement dans l'histoire, les présentations se font avec les personnages et l'héritage arrive avec son lot de déceptions et de découvertes. L'histoire fait place à la magie de la nostalgie, celle que vous avez peut-être quand vous feuilletez de vieux albums de photos ou quand vous ouvrez une vieille boîte de chaussures où sont enfouis des objets qui vous font revivre votre madeleine de Proust.
Les personnages sont intéressants et les deux amis sont attachants, et d'autres sont irritants. Bien décrits, on s'en fait une image très proche de celle que l'auteur avait.
L'écriture est facile et très fluide. Le roman est court et en un rien de temps il se dévore.
L'histoire est belle, avec des rebondissements crédibles, cohérents, malgré l'aspect fantastique du carnet.
Le roman possède une morale, que peut-être vous vous appliquez consciemment ou inconsciemment, mais pour les autres qui se refusent à vivre vers l'avenir, les souvenirs ne se remémorent que s'ils sont vécus. Mon passage préféré dans ce roman est assez court, mais je l'ai trouvé intense ; c'est lorsque Mick et Louise offre la montre.
En somme, Cyril Massarotto nous offre un magnifique roman comme il sait si bien les écrire, bourré d'émotions, de rires, de larmes, et aussi de candeur, de naïveté, et beaucoup d'amour.
Invité- Invité
Re: [Massarotto, Cyril] Cent pages blanches
Alors ... Je l'ai lu il y a deux mois environ. La quatrième de couverture m'a tout de suite plu et intrigué. Je l'ai donc pris et lu.
Les thèmes abordés sont intéressants, indéniablement (rapport passé/présent, l'argent en héritage ou un tel leg ...). Cependant, j'avoue ne pas avoir été transporté je suis resté "sur ma faim" comme on dit. Ce n'était pas assez développé pour moi, il manquait quelque chose ... De plus, l'écriture est assez simpliste.
J'ai mis donc "bon", ça m'a tout de même diverti, mais sans plus.
Les thèmes abordés sont intéressants, indéniablement (rapport passé/présent, l'argent en héritage ou un tel leg ...). Cependant, j'avoue ne pas avoir été transporté je suis resté "sur ma faim" comme on dit. Ce n'était pas assez développé pour moi, il manquait quelque chose ... De plus, l'écriture est assez simpliste.
J'ai mis donc "bon", ça m'a tout de même diverti, mais sans plus.
Baptiste- Grand expert du forum
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Age : 29
Localisation : Aix en Provence
Genre littéraire préféré : Tout
Date d'inscription : 08/06/2013
Re: [Massarotto, Cyril] Cent pages blanches
Info pour celles et ceux qui ont lu ce livre : l'adaptation télé passe ce soir sur France 2.
Comme il s'agit d'un téléfilm, il sera certainement possible de le (re)voir ensuite en replay pendant 7 jours sur le site de francetv.
Comme il s'agit d'un téléfilm, il sera certainement possible de le (re)voir ensuite en replay pendant 7 jours sur le site de francetv.
Invité- Invité
Re: [Massarotto, Cyril] Cent pages blanches
Merci, Virgule,c'est le seul jour où je rentre assez tôt pour le programme du soir, je ne vais pas manquer ce rendez-vous...
Re: [Massarotto, Cyril] Cent pages blanches
Ce livre est une bulle littéraire: légère, fraîche, donnant le sourire voire le rire et surtout humainement intelligente
L'histoire est originale et simple, les personnages beaux et ordinaires: l'auteur parvient à mêler des notions apparemment divergentes avec beaucoup de talent !
08/10 et beaucoup apprécié
Citations:
"Puis la torpeur ambiante aidant, nous nous sommes tus, laissant le temps passer. Un temps plus lent que d'habitude: des secondes fainéantes, des minutes qui ne se pressent pas. Sans doute parce que dans cette maison, il n'y a personne pour les compter."
"Au bout d'un moment je lui ai dit qu'elle me fatiguait avec son histoire d'horloge biologique; du coup elle est allée demander l'heure au voisin, et elle l'a eu son enfant. Avec lui."
"Entre mecs on se dit que les mots ne servent pas à grand chose, qu'on a qu'à laisser ça aux femmes. Entre mecs, on se trompe"
"Je ne lui ai jamais dit que je l'aimais; peut-être parce que je l'aimais trop. Je l'aimais comme s'il était plusieurs"
L'histoire est originale et simple, les personnages beaux et ordinaires: l'auteur parvient à mêler des notions apparemment divergentes avec beaucoup de talent !
08/10 et beaucoup apprécié
Citations:
"Puis la torpeur ambiante aidant, nous nous sommes tus, laissant le temps passer. Un temps plus lent que d'habitude: des secondes fainéantes, des minutes qui ne se pressent pas. Sans doute parce que dans cette maison, il n'y a personne pour les compter."
"Au bout d'un moment je lui ai dit qu'elle me fatiguait avec son histoire d'horloge biologique; du coup elle est allée demander l'heure au voisin, et elle l'a eu son enfant. Avec lui."
"Entre mecs on se dit que les mots ne servent pas à grand chose, qu'on a qu'à laisser ça aux femmes. Entre mecs, on se trompe"
"Je ne lui ai jamais dit que je l'aimais; peut-être parce que je l'aimais trop. Je l'aimais comme s'il était plusieurs"
Crockyx- Grand expert du forum
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Nombre de messages : 670
Age : 62
Localisation : LYON
Emploi/loisirs : Consultant / Photo
Genre littéraire préféré : Tous les genres selon mon humeur !
Date d'inscription : 15/01/2013
Re: [Massarotto, Cyril] Cent pages blanches
J'avais besoin de lire quelque chose de léger, et mon choix est tombé sur ce roman.
Très bon choix finalement, c'est très frais, léger, facile à lire, mais cela donne à réfléchir tout de même.
Je savais que je pouvais compter sur Cyril Massaroto pour me changer les idées, et je vais continuer à faire appel à cet auteur dont il me reste plein de roman à découvrir.
Très bon choix finalement, c'est très frais, léger, facile à lire, mais cela donne à réfléchir tout de même.
Je savais que je pouvais compter sur Cyril Massaroto pour me changer les idées, et je vais continuer à faire appel à cet auteur dont il me reste plein de roman à découvrir.
Invité- Invité
Re: [Massarotto, Cyril] Cent pages blanches
Dans les premières pages, le jeune homme, héros de notre livre ne porte pas de prénom, nous ne le saurons jamais ...
Cependant, sa vie est un vrai yoyo !!!
Décès de son papi !
Puis déception immense lors de la lecture du testament !
Et puis la découverte du pouvoir du carnet magique ...
De ce fait, nous aussi nous vivons un véritable ascenseur émotionnel grâce à ses souvenirs, l'amour qu'il tisse avec Clarisse et son amitié avec Mick.
On touche du doigt, dans ce livre, les émotions du passé et celles de l'avenir.
Comment l'un et l'autre sont liés et doivent rester à l'état d'équilibre sans quoi, se retourner trop souvent sur son passé peut empêcher les merveilles de l'avenir ...
Je vous souhaite autant de plaisir à le lire que j'en ai eu
Cependant, sa vie est un vrai yoyo !!!
Décès de son papi !
Puis déception immense lors de la lecture du testament !
Et puis la découverte du pouvoir du carnet magique ...
De ce fait, nous aussi nous vivons un véritable ascenseur émotionnel grâce à ses souvenirs, l'amour qu'il tisse avec Clarisse et son amitié avec Mick.
On touche du doigt, dans ce livre, les émotions du passé et celles de l'avenir.
Comment l'un et l'autre sont liés et doivent rester à l'état d'équilibre sans quoi, se retourner trop souvent sur son passé peut empêcher les merveilles de l'avenir ...
Je vous souhaite autant de plaisir à le lire que j'en ai eu
Eiger- Grand sage du forum
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Nombre de messages : 2566
Localisation : 47
Date d'inscription : 16/02/2016
Re: [Massarotto, Cyril] Cent pages blanches
Après le décès de son grand-père, le héros se voit transmettre pour tout héritage un banal carnet de cuir vierge... qui se révèlera avoir un pouvoir immense : permettre à son propriétaire de revivre des souvenirs.
j'ai été touchée par cette histoire peu ordinaire. Je me suis demandée quels souvenirs j'aurais souhaité revivre avec intensité si j'avais eu ce fameux carnet? effectivement, on partage toutes les émotions de notre héros, son désir de revivre son passé plutôt que d'affronter une vie sentimale compliquée.
une belle découverte pour moi
Ma note : 7/10
"Moi, j'aimais bien avoir quelqu'un au-dessus, comme une bonne conscience qui veille sur la mienne, cette présence rassurante qui ne cessera jamais de nous aimer. Un parent qui nous aime,
c'est comme un sourire attendri qui plane au-dessus de nos têtes : quand on va mal, il suffit de lever les yeux pour être réchauffé à l'intérieur."
j'ai été touchée par cette histoire peu ordinaire. Je me suis demandée quels souvenirs j'aurais souhaité revivre avec intensité si j'avais eu ce fameux carnet? effectivement, on partage toutes les émotions de notre héros, son désir de revivre son passé plutôt que d'affronter une vie sentimale compliquée.
une belle découverte pour moi
Ma note : 7/10
"Moi, j'aimais bien avoir quelqu'un au-dessus, comme une bonne conscience qui veille sur la mienne, cette présence rassurante qui ne cessera jamais de nous aimer. Un parent qui nous aime,
c'est comme un sourire attendri qui plane au-dessus de nos têtes : quand on va mal, il suffit de lever les yeux pour être réchauffé à l'intérieur."
Fleya- Grand expert du forum
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Nombre de messages : 1387
Age : 44
Localisation : Sud de la France
Emploi/loisirs : Cadre
Genre littéraire préféré : je lis de tout...
Date d'inscription : 11/09/2011
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