[Boissard, Janine] La maison des enfants.
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Votre avis sur La maison des enfants de Janine Boissard
[Boissard, Janine] La maison des enfants.
Titre : La maison des enfants.
Auteur : Janine Boissard.
Editeur : Pocket.
Nombre de pages : 437.
Quatrième de couverture :
Margaux Lespoir a quarante ans. Après la mort accidentelle de son compagnon, elle a rangé à jamais sa blouse de chirurgien et s'occupe de l'enfance maltraitée. Meurtri, son coeur a encore de l'amour à revendre. Et à la maison des enfants, on en a toujours besoin. Venue enquêter à Auxerre dans cet établissement qui recueille des jeunes à problèmes, elle y a découvert une équipe formidable, des enfants, tous attachants, qui ne demandent qu'à être écoutés pour prendre un nouveau départ. Elle n'hésite pas longtemps : à côté de son fils et de sa petite fille, Aurore, ce sera sa nouvelle famille.
Mais l'orage gronde autour de la Maison, qui, pour des raisons pas toujours avouables, en dérange plus d'un.
Pour Margaux, l'heure est venue de livrer un nouveau combat.
Mon avis :
Ce roman est la suite d'Une femme en blanc. Margaux a été à nouveau éprouvée par la vie (Bernard, son mari, est mort dans un accident et elle n'a pu le sauver), et elle exerce au ministère un travail qui lui permet de panser ses blessures, en se tenant éloignée de tout geste médical. Pourtant, sa rencontre avec cette Maison des enfants va la pousser à exercer à nouveau, et surtout à se battre pour ces enfants de la Maison. Se battre pour les aider à surmonter leurs traumatismes (leurs blessures physiques sont graves, leurs blessures morales le sont bien plus) mais aussi pour que cette maison continue d'exister. Constat amer mais réaliste : la différence dérange toujours, et les discours d'enfants "normaux" et de riverains "inquiets" sont malheureusement toujours d'actualité.
Janine Boissard nous raconte cette histoire avec un style simple, rempli de tact et de pudeur, sans jamais tomber dans le misérabilisme . Margaux ne condamne pas, ne juge pas, elle essaie de comprendre les parents désemparés de ses enfants souffrants. Surtout, sa mission ne lui fait pas négliger ses propres enfants, ni sa vie de femme.
Margaux n'est pas une super-héroïne : elle ne résout pas tous les problèmes magiquement, elle ne résout pas les problèmes rapidement (le récit s'étend sur une demi-année), elle est simplement devenue membre d'une équipe solidaire et acharnée, qui oeuvre dans un but commun.
Un très beau roman, rempli d'espoir.
Auteur : Janine Boissard.
Editeur : Pocket.
Nombre de pages : 437.
Quatrième de couverture :
Margaux Lespoir a quarante ans. Après la mort accidentelle de son compagnon, elle a rangé à jamais sa blouse de chirurgien et s'occupe de l'enfance maltraitée. Meurtri, son coeur a encore de l'amour à revendre. Et à la maison des enfants, on en a toujours besoin. Venue enquêter à Auxerre dans cet établissement qui recueille des jeunes à problèmes, elle y a découvert une équipe formidable, des enfants, tous attachants, qui ne demandent qu'à être écoutés pour prendre un nouveau départ. Elle n'hésite pas longtemps : à côté de son fils et de sa petite fille, Aurore, ce sera sa nouvelle famille.
Mais l'orage gronde autour de la Maison, qui, pour des raisons pas toujours avouables, en dérange plus d'un.
Pour Margaux, l'heure est venue de livrer un nouveau combat.
Mon avis :
Ce roman est la suite d'Une femme en blanc. Margaux a été à nouveau éprouvée par la vie (Bernard, son mari, est mort dans un accident et elle n'a pu le sauver), et elle exerce au ministère un travail qui lui permet de panser ses blessures, en se tenant éloignée de tout geste médical. Pourtant, sa rencontre avec cette Maison des enfants va la pousser à exercer à nouveau, et surtout à se battre pour ces enfants de la Maison. Se battre pour les aider à surmonter leurs traumatismes (leurs blessures physiques sont graves, leurs blessures morales le sont bien plus) mais aussi pour que cette maison continue d'exister. Constat amer mais réaliste : la différence dérange toujours, et les discours d'enfants "normaux" et de riverains "inquiets" sont malheureusement toujours d'actualité.
Janine Boissard nous raconte cette histoire avec un style simple, rempli de tact et de pudeur, sans jamais tomber dans le misérabilisme . Margaux ne condamne pas, ne juge pas, elle essaie de comprendre les parents désemparés de ses enfants souffrants. Surtout, sa mission ne lui fait pas négliger ses propres enfants, ni sa vie de femme.
Margaux n'est pas une super-héroïne : elle ne résout pas tous les problèmes magiquement, elle ne résout pas les problèmes rapidement (le récit s'étend sur une demi-année), elle est simplement devenue membre d'une équipe solidaire et acharnée, qui oeuvre dans un but commun.
Un très beau roman, rempli d'espoir.
Sharon- Modérateur
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Localisation : Normandie
Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
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