[Cesbron, Gilbert] C'est Mozart qu'on assassine.
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[Cesbron, Gilbert] C'est Mozart qu'on assassine.
Titre : C'est Mozart qu'on assassine.
Auteur : Gilbert Cesbron.
Edition : J'ai lu.
NB de pages : 307
(Je conseille de l'acheter chez Amazon, car il n'a pas été réédité depuis un moment.
Petit mot sur l'auteur:
Né en 1913, Gilbert Cesbron fut l'un des écrivains les plus socialement présents et les plus généreux.
Les lecteurs ont réservé un fervent accueil à ses ouvrages: Chien perdus sans collier (Nota de frizouille (c'est moi lol) ce livre est toujours réédité et en vente, dans toutes les bonnes librairies (petit coup de pub)), C'est Mozart qu'on assassine, et tant d'autres. Gilbert Cesbron s'est éteint en août 1979.
Il a été un des plus grands écrivains de son temps; un des plus connus et des plus reconnus.
4° de couverture :
Martin a sept ans, l'âge où l'amour de ses parents devrait guider ses premiers pas dans l'apprentissage de la violence et de l'injustice du monde. C'est au contraire l'instant où la fin de leur union va faire basculer son univers dans les histoires sordides des adultes, va briser en lui toutes les qualités de l'enfance, sa pureté, son génie propre.
Mon avis
Ce livre raconte l'histoire d'un enfant qui voit sa vie se briser par des erreurs d'adultes.
Martin est un garçon intelligent et téméraire. Cependant, il vit une grande souffrance : ses parents se déchirent.
Il voit tout ce sur quoi il s'appuyait jusque là, s'effondrer autour de lui.
Ne pouvant pas s 'occuper de leur fils, Marc et Agnes l'envoient chez les uns et les autres. Passant de mains en mains, il se ressent lui-même comme une gène. Il ne se sent chez lui nulle part.
Comment ne pas être perdu? Il n'a qu'une envie, c'est de fuir.
En cherchant de quoi lire dans la bibliothèque de mes parents, je suis tombée sur C'est Mozart qu'on assassine et je me suis mise à le lire.
Pas habituée à cette écriture, j'ai mis du temps à la "capter". Mais passé quelques pages, je m'y suis habituée et j'ai fini par la trouver magnifique.
Cependant, ce n'ai pas une écriture simple. Ce livre n'est pas comme ceux, actuels, où nous rentrons dans l'histoire dés les première pages. J'ai moi-même été tentée (au tout début) de l'arrêter car je trouvais ça long et "barbant". Mais j'ai persévéré et je ne le regrette pas.
Cet écrivain réussit à trouver les mots justes, pour décrire les sentiments de Martin. Ils ont beau avoir été écrits en 1966, la plupart des enfants d'aujourd'hui vivent ces sentiments.
Ma note : 15/20
Auteur : Gilbert Cesbron.
Edition : J'ai lu.
NB de pages : 307
(Je conseille de l'acheter chez Amazon, car il n'a pas été réédité depuis un moment.
Petit mot sur l'auteur:
Né en 1913, Gilbert Cesbron fut l'un des écrivains les plus socialement présents et les plus généreux.
Les lecteurs ont réservé un fervent accueil à ses ouvrages: Chien perdus sans collier (Nota de frizouille (c'est moi lol) ce livre est toujours réédité et en vente, dans toutes les bonnes librairies (petit coup de pub)), C'est Mozart qu'on assassine, et tant d'autres. Gilbert Cesbron s'est éteint en août 1979.
Il a été un des plus grands écrivains de son temps; un des plus connus et des plus reconnus.
4° de couverture :
Martin a sept ans, l'âge où l'amour de ses parents devrait guider ses premiers pas dans l'apprentissage de la violence et de l'injustice du monde. C'est au contraire l'instant où la fin de leur union va faire basculer son univers dans les histoires sordides des adultes, va briser en lui toutes les qualités de l'enfance, sa pureté, son génie propre.
Mon avis
Ce livre raconte l'histoire d'un enfant qui voit sa vie se briser par des erreurs d'adultes.
Martin est un garçon intelligent et téméraire. Cependant, il vit une grande souffrance : ses parents se déchirent.
Il voit tout ce sur quoi il s'appuyait jusque là, s'effondrer autour de lui.
Ne pouvant pas s 'occuper de leur fils, Marc et Agnes l'envoient chez les uns et les autres. Passant de mains en mains, il se ressent lui-même comme une gène. Il ne se sent chez lui nulle part.
Comment ne pas être perdu? Il n'a qu'une envie, c'est de fuir.
En cherchant de quoi lire dans la bibliothèque de mes parents, je suis tombée sur C'est Mozart qu'on assassine et je me suis mise à le lire.
Pas habituée à cette écriture, j'ai mis du temps à la "capter". Mais passé quelques pages, je m'y suis habituée et j'ai fini par la trouver magnifique.
Cependant, ce n'ai pas une écriture simple. Ce livre n'est pas comme ceux, actuels, où nous rentrons dans l'histoire dés les première pages. J'ai moi-même été tentée (au tout début) de l'arrêter car je trouvais ça long et "barbant". Mais j'ai persévéré et je ne le regrette pas.
Cet écrivain réussit à trouver les mots justes, pour décrire les sentiments de Martin. Ils ont beau avoir été écrits en 1966, la plupart des enfants d'aujourd'hui vivent ces sentiments.
Ma note : 15/20
Invité- Invité
Re: [Cesbron, Gilbert] C'est Mozart qu'on assassine.
Merci pour cette critique, j'avais lu un autre roman de cet auteur et j'avais adoré alors si je croise celui là, je me laisserais tenter !
Invité- Invité
Re: [Cesbron, Gilbert] C'est Mozart qu'on assassine.
Ca me fait plaisir, Takac !! ^w^
Quel autre roman as tu lu ??
Quel autre roman as tu lu ??
Invité- Invité
Re: [Cesbron, Gilbert] C'est Mozart qu'on assassine.
J'ai lu " Mais moi je vous aimais " . Il parle d'un enfant handicapé avec un handicap mental légér. A l'époque (et certainement encore aujourd'hui ), peu de structures donc l'enfant est transbahuté d'un coin à l'autre. Il est très attachant et marque l'esprit. Je l'ai lu en 2001 et je me rappelle encore bien c'est dire !
As tu lu d'autres romans de lui ?
As tu lu d'autres romans de lui ?
Invité- Invité
Re: [Cesbron, Gilbert] C'est Mozart qu'on assassine.
Non pas encore. Mais dés que je le peux, je commence Chien perdus sans collier.
Si je le trouve, je lirais celui que tu as lu.
Si je le trouve, je lirais celui que tu as lu.
Invité- Invité
Re: [Cesbron, Gilbert] C'est Mozart qu'on assassine.
Bonjour, je vais alimenter un peu cet auteur, qui est un de mes préféré...une très belle plume, il a écrit dans un peu tous les domaines, sur des sujets sensibles, dérangeants, à caractère psychologique. Et à chaque fois, j'avais vraiment l'impression de me "fondre" avec le personnage principal.
Il a écrit des romans sur l'enfance ( Les innocents de Paris), l'adolescence (Notre prison est un royaume), les orphelins (Chien perdu sans collier), les prêtres-ouvriers (Les saints vont en enfer), l'euthanasie et le droit d'une mort digne (Il est plus tard que tu ne penses), la religion (Vous verrez le ciel ouvert), l'apparence physique d'une jeune femme (Une abeille contre la vitre),... je m'arrête !
Très peu de sujets sur lui dans ce forum. J'ai lu presque tous ses romans. Et je viens de me rendre compte que je n'ai pas lu celui-ci... oups. Il faudra que j'y remédie.
Mon conseil : mon livre préféré est sans aucun doute "Notre prison est un royaume", j'ai découvert ce livre à l'âge de 13 ans. Un véritable coup de coeur. (Lu plusieurs fois)
"Une abeille contre la vitre". (Pas sinistre comme histoire, ce roman fait beaucoup réfléchir sur l'apparence physique, une histoire vraiment attachante)
"Les innocents de Paris" (histoire d'un groupe d'enfants jouant en banlieue)
En pièce de théatre : Il est minuit Dr Schweitzer.
Personnellement je n'ai pas apprécié l'histoire de "Mais moi je vous aimais". Un peu trop dur et cruel...
Il a écrit des romans sur l'enfance ( Les innocents de Paris), l'adolescence (Notre prison est un royaume), les orphelins (Chien perdu sans collier), les prêtres-ouvriers (Les saints vont en enfer), l'euthanasie et le droit d'une mort digne (Il est plus tard que tu ne penses), la religion (Vous verrez le ciel ouvert), l'apparence physique d'une jeune femme (Une abeille contre la vitre),... je m'arrête !
Très peu de sujets sur lui dans ce forum. J'ai lu presque tous ses romans. Et je viens de me rendre compte que je n'ai pas lu celui-ci... oups. Il faudra que j'y remédie.
Mon conseil : mon livre préféré est sans aucun doute "Notre prison est un royaume", j'ai découvert ce livre à l'âge de 13 ans. Un véritable coup de coeur. (Lu plusieurs fois)
"Une abeille contre la vitre". (Pas sinistre comme histoire, ce roman fait beaucoup réfléchir sur l'apparence physique, une histoire vraiment attachante)
"Les innocents de Paris" (histoire d'un groupe d'enfants jouant en banlieue)
En pièce de théatre : Il est minuit Dr Schweitzer.
Personnellement je n'ai pas apprécié l'histoire de "Mais moi je vous aimais". Un peu trop dur et cruel...
Invité- Invité
Re: [Cesbron, Gilbert] C'est Mozart qu'on assassine.
Carou, n'hésite pas à ouvrir de nouveaux posts sur les différents titres que tu cites de cet auteur pour nous le faire découvrir davantage...
Invité- Invité
Re: [Cesbron, Gilbert] C'est Mozart qu'on assassine.
En effet, j'y pense... mais il faudrait que je les relise pour être plus précise car ça remonte à quelques années.
Invité- Invité
Re: [Cesbron, Gilbert] C'est Mozart qu'on assassine.
J'ai lu, il y a longtemps déjà "C'est Mozart qu'on assassine" et "Chien perdu sans collier", j'en garde un bon souvenir.
Je prends note des autres titres . Merci Carou
Je prends note des autres titres . Merci Carou
Re: [Cesbron, Gilbert] C'est Mozart qu'on assassine.
Voilà, j'ai fait ma critique de "Notre prison est un royaume", je ne pouvais pas laisser ce forum sans mon livre préféré !!!
Invité- Invité
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