[Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
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[Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
Auteur: Bernard Werber
Titre: Le rire du Cyclope
Éditeur: Albin Michel
Nombre de pages: 617
ISBN: 978-2-226-1529-1
Un coffret renferme l'arme absolue.
La plus inattendue, la plus imparable.
Le célèbre comique, le Cyclope, est mort d'avoir voulu le posséder.
On ne l'ouvre qu'à ses risques et périls...
Après Le Père de nos pères et l'Ultime Secret, une nouvelle enquête de Lucrèce et Isidore au cœur des grands mystères humains : le rire.
Darius Mirolaslaw Wozniak, dit le Cyclope, un comique à l'apogée de sa carrière, meurt dans sa loge fermée à clef de l'intérieur après un spectacle à l'Olympia.
De l'avis de tous, l'artiste est mort terrassé par une crise cardiaque due à un fou rire. Mais pour Lucrèce Nemrod, notre journaliste scientifique du Guetteur Moderne, il s'agit d'un homicide ! Une occasion pour elle de partir sur les traces du mystérieux assassin. Elle tentera d'entraîner contre son gré Isidore Katzenberg, ancien comparse de ses précédentes aventures, qui lui a décidé de prendre une retraite anticipée, mais qui très vite sera fasciné par cet étrange pouvoir procuré par le rire.
C'est avec un évident plaisir que j'ai retrouvé Isidore et Lucrèce, le couple de journalistes improbable que j'avais découvert dans les romans, « Le père de nos pères » et « L'ultime secret ». Un tandem que j'avais beaucoup aimé et qui m'avait entraînée dans deux enquêtes palpitantes et atypiques.
Dans ce troisième volet l'auteur nous livre enfin une partie du passé de la jeune femme Lucrèce à laquelle le lecteur s'attache sans peine.
Werber s'attaque au thème du « rire », exercice périlleux car on ne s'improvise pas forcément comique du jour au lendemain.
L'enquête nous conduira donc à la recherche d'un meurtrier qui tue avec une arme aussi inattendue que mystérieuse le « rire ».
Comme à son habitude, Werber intègre dans son intrigue des extraits, non pas de « L'encyclopédie du savoir absolu » ni de « L'arbre des possibles » mais d'une nouveauté « Le grand livre de l'histoire de l'humour », j'ai beaucoup aimé la façon dont Werber a intégré l'histoire du rire à celle de l'humanité.
Werber parsème également le roman d'un tas d'histoire drôles, enfin qui se voudraient drôles mais elles ne le sont pas toutes hélas.
Le roman se décompose en trois actes.
Dans le premier Lucrèce enquête seule, cette partie lui est réservée avec de nombreux retours en arrière sur son passé.
Dans la seconde partie, Isidore rejoint enfin l'enquête et le rythme s'accélère, mais j'ai très rapidement été freinée dans ma lecture, car j'ai eu la surprise de constater que Werber avait intégré l'une de ses nouvelles extraite du recueil « Paradis sur Mesure ». Monsieur Werber s'est carrément plagié tout seul. J'ai retrouvé les même lieux, les mêmes personnages, la même intrigue que dans la nouvelle « Là où naissent les blagues », un texte que j'avais bien aimé mais le retrouver dans le roman m'a tout de même donné l'impression que l'auteur me servait du réchauffé! Du coup j'ai clairement perdu mon intérêt pour l'intrigue, plus d'effet de surprise, Monsieur Werber vous m'avez eu mais pas dans le bon sens du terme.
A la fin du roman, Werber se justifiera en expliquant qu'il souhaitait mettre en avant l'importance du rire et des blagues dans la littérature, sa nouvelle « Là où naissent les blagues » étant arrivée en tête d'un sondage auprès de ses lecteurs internautes il a décidé d'en faire un roman tout en prolongeant les aventures d'Isidore et Lucrèce.
Le troisième acte nous conduira vers un dénouement décevant qui finalement ne me laissera pas un souvenir impérissable.
Je suis globalement déçue par le thème du roman,
C'est la première fois qu'un roman de Werber me déçoit, mais tout arrive finalement.
L'auteur a t il manqué d'inspiration ?
Était-ce une blague?
La plus inattendue, la plus imparable.
Le célèbre comique, le Cyclope, est mort d'avoir voulu le posséder.
On ne l'ouvre qu'à ses risques et périls...
Après Le Père de nos pères et l'Ultime Secret, une nouvelle enquête de Lucrèce et Isidore au cœur des grands mystères humains : le rire.
Darius Mirolaslaw Wozniak, dit le Cyclope, un comique à l'apogée de sa carrière, meurt dans sa loge fermée à clef de l'intérieur après un spectacle à l'Olympia.
De l'avis de tous, l'artiste est mort terrassé par une crise cardiaque due à un fou rire. Mais pour Lucrèce Nemrod, notre journaliste scientifique du Guetteur Moderne, il s'agit d'un homicide ! Une occasion pour elle de partir sur les traces du mystérieux assassin. Elle tentera d'entraîner contre son gré Isidore Katzenberg, ancien comparse de ses précédentes aventures, qui lui a décidé de prendre une retraite anticipée, mais qui très vite sera fasciné par cet étrange pouvoir procuré par le rire.
C'est avec un évident plaisir que j'ai retrouvé Isidore et Lucrèce, le couple de journalistes improbable que j'avais découvert dans les romans, « Le père de nos pères » et « L'ultime secret ». Un tandem que j'avais beaucoup aimé et qui m'avait entraînée dans deux enquêtes palpitantes et atypiques.
Dans ce troisième volet l'auteur nous livre enfin une partie du passé de la jeune femme Lucrèce à laquelle le lecteur s'attache sans peine.
Werber s'attaque au thème du « rire », exercice périlleux car on ne s'improvise pas forcément comique du jour au lendemain.
L'enquête nous conduira donc à la recherche d'un meurtrier qui tue avec une arme aussi inattendue que mystérieuse le « rire ».
Comme à son habitude, Werber intègre dans son intrigue des extraits, non pas de « L'encyclopédie du savoir absolu » ni de « L'arbre des possibles » mais d'une nouveauté « Le grand livre de l'histoire de l'humour », j'ai beaucoup aimé la façon dont Werber a intégré l'histoire du rire à celle de l'humanité.
Werber parsème également le roman d'un tas d'histoire drôles, enfin qui se voudraient drôles mais elles ne le sont pas toutes hélas.
Le roman se décompose en trois actes.
Dans le premier Lucrèce enquête seule, cette partie lui est réservée avec de nombreux retours en arrière sur son passé.
Dans la seconde partie, Isidore rejoint enfin l'enquête et le rythme s'accélère, mais j'ai très rapidement été freinée dans ma lecture, car j'ai eu la surprise de constater que Werber avait intégré l'une de ses nouvelles extraite du recueil « Paradis sur Mesure ». Monsieur Werber s'est carrément plagié tout seul. J'ai retrouvé les même lieux, les mêmes personnages, la même intrigue que dans la nouvelle « Là où naissent les blagues », un texte que j'avais bien aimé mais le retrouver dans le roman m'a tout de même donné l'impression que l'auteur me servait du réchauffé! Du coup j'ai clairement perdu mon intérêt pour l'intrigue, plus d'effet de surprise, Monsieur Werber vous m'avez eu mais pas dans le bon sens du terme.
A la fin du roman, Werber se justifiera en expliquant qu'il souhaitait mettre en avant l'importance du rire et des blagues dans la littérature, sa nouvelle « Là où naissent les blagues » étant arrivée en tête d'un sondage auprès de ses lecteurs internautes il a décidé d'en faire un roman tout en prolongeant les aventures d'Isidore et Lucrèce.
Le troisième acte nous conduira vers un dénouement décevant qui finalement ne me laissera pas un souvenir impérissable.
Je suis globalement déçue par le thème du roman,
C'est la première fois qu'un roman de Werber me déçoit, mais tout arrive finalement.
L'auteur a t il manqué d'inspiration ?
Était-ce une blague?
Dernière édition par Sara2a le Mer 17 Aoû 2011 - 18:28, édité 1 fois
Sara2a- Grand sage du forum
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Genre littéraire préféré : Thrillers, fantastiques et un peu de tout ce qui peut me tomber sous les yeux .
Date d'inscription : 24/01/2010
Re: [Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
Merci Sara pour ta critique.
Moi qui suis maintenant une déçue de Werber, je ne crois pas que je tenterai ce roman, sauf s'il traîne à la médiathèque ...
Moi qui suis maintenant une déçue de Werber, je ne crois pas que je tenterai ce roman, sauf s'il traîne à la médiathèque ...
Cassiopée- Admin
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Genre littéraire préféré : un peu tout
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Re: [Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
J ai du mal à le dire ... Je te le déconseille !
Sara2a- Grand sage du forum
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Re: [Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
Cassiopée a écrit:Merci Sara pour ta critique.
Moi qui suis maintenant une déçue de Werber, je ne crois pas que je tenterai ce roman, sauf s'il traîne à la médiathèque ...
Je ne le connais pas; qu'a t-il écrit de bien, qui pourrait me plaire?
Invité- Invité
Re: [Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
Peut-être "les fourmis"...
J'ai été fascinée par cette trilogie.
J'ai été fascinée par cette trilogie.
Cassiopée- Admin
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Re: [Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
L ultime secret et le père de nos pères étaient très bons je trouve ! Et accessibles même pour des non-fans de l auteur !
Sara2a- Grand sage du forum
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Re: [Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
il fait partie de la hotte du père noel à voir donc
étant fan de Werber j'ai été déçue par Le papillon des étoiles mais j'ai beaucoup aimé le Miroir de Cassandre
étant fan de Werber j'ai été déçue par Le papillon des étoiles mais j'ai beaucoup aimé le Miroir de Cassandre
Invité- Invité
Re: [Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
J'aime bien Lucrèce et Isidore que j'ai suivi dans "l'ultime secret" que j'ai lu malheureusement avant "le père de nos pères".
pour ta critique Sara2a !
pour ta critique Sara2a !
Invité- Invité
Re: [Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
J'aime
lire les livres de Bernard Werber parce que l'on retrouve facilement
ses éléments familiers (mythologie, l'Arbre des
possibles, les Fourmis). Tout de suite, je me suis retrouvée sur un
terrain connu.Mais cela ne l'empêche pas de nous surprendre à chaque
fois.
J'ai
beaucoup aimé le tandem de Lucrèce et Isidore. Je n'avais pas lu "Le
père de nos pères" ni " L'ultime secret" mais je me
suis vite attachée à ce couple dynamique, inventif et drôle. Ils
jouent "au chat et à la souris" avec leurs sentiments et cela ajoute du
charme à leur histoire.
"Tout récit peut se résumer par une bonne blague"
Alors, je dirais que ce livre est l'histoire d'une boîte que tout le monde rêve de posséder pour mourir de rire (au sens propre
du terme).
L'enquête
est assez palpitante et elle se déroule dans le milieu des artistes
comiques. Les paragraphes sont entrecoupés par des
récits historiques, un peu aménagés afin d'y inscrire un épisode
fatal sur cette fameuse boîte et par des blagues plus ou moins drôles.
Il me semble que le récit s'enlise quelquefois dans trop de détails ou trop de pistes d'enquête. Mais, c'est toujours un grand
plaisir de profiter de l'érudition et de l'imagination de Bernard Werber.
lire les livres de Bernard Werber parce que l'on retrouve facilement
ses éléments familiers (mythologie, l'Arbre des
possibles, les Fourmis). Tout de suite, je me suis retrouvée sur un
terrain connu.Mais cela ne l'empêche pas de nous surprendre à chaque
fois.
J'ai
beaucoup aimé le tandem de Lucrèce et Isidore. Je n'avais pas lu "Le
père de nos pères" ni " L'ultime secret" mais je me
suis vite attachée à ce couple dynamique, inventif et drôle. Ils
jouent "au chat et à la souris" avec leurs sentiments et cela ajoute du
charme à leur histoire.
"Tout récit peut se résumer par une bonne blague"
Alors, je dirais que ce livre est l'histoire d'une boîte que tout le monde rêve de posséder pour mourir de rire (au sens propre
du terme).
L'enquête
est assez palpitante et elle se déroule dans le milieu des artistes
comiques. Les paragraphes sont entrecoupés par des
récits historiques, un peu aménagés afin d'y inscrire un épisode
fatal sur cette fameuse boîte et par des blagues plus ou moins drôles.
Il me semble que le récit s'enlise quelquefois dans trop de détails ou trop de pistes d'enquête. Mais, c'est toujours un grand
plaisir de profiter de l'érudition et de l'imagination de Bernard Werber.
Invité- Invité
Re: [Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
Je l'ai lu cette semaine pendant mes vacances.
Mon avis :
J'ai trouvé ce roman très long, trop long... A la moitié du livre environ, j'ai cessé de lire les références au Grand Livre d'Histoire de l'Humour qi je trouve, coupe l'histoire, et du fait, rajoute encore de la longueur à ce livre.
Ce livre est bien écrit, cependant, je pense que ce thème du "rire" si appronfondi ne m'a pas vraiment interessée... Dommage, l'enquete est bien menée, pleine de rebondissements... peut etre un peu trop à mon goût...
Déçue par B. Werber, dont j'ai aimé la majorité des livres.
Mon avis :
J'ai trouvé ce roman très long, trop long... A la moitié du livre environ, j'ai cessé de lire les références au Grand Livre d'Histoire de l'Humour qi je trouve, coupe l'histoire, et du fait, rajoute encore de la longueur à ce livre.
Ce livre est bien écrit, cependant, je pense que ce thème du "rire" si appronfondi ne m'a pas vraiment interessée... Dommage, l'enquete est bien menée, pleine de rebondissements... peut etre un peu trop à mon goût...
Déçue par B. Werber, dont j'ai aimé la majorité des livres.
Invité- Invité
Re: [Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
j'ai pas pu le finir ! suis assez déçue mais pour le moment je l'ai trouvé trop long, trop fade
Invité- Invité
Re: [Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
Je suis en train de le lire mais je suis déçue aussi. C'est bien la première fois que Werber me déçoit... :-(
Mounain- Grand expert du forum
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Re: [Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
Je m’étais pourtant promis de ne plus lire du Werber ! Et pourtant, j’ai pris du plaisir avec celui-ci. Pas énormément, c’est vrai, mais une fois qu’on accepte que cette histoire n’est qu’une vaste blague, ça passe. C’est malheureux qu’un livre « passe » seulement, me direz-vous, mais je m’attendais à bien pire !
Invité- Invité
Re: [Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
Mon avis : "Le rire du cyclope" trainait depuis au moins un an et demi dans ma PAL. Lorsque j'ai vu que son prochain livre sortait dans les mois qui viennent je me suis dit qu'il était temps de le lire en prévision de l'achat de son prochain. Je pense que cette dépense est fortement compromise ... il serait plus envisageable de l'emprunter à la bibliothèque et encore ce n'est pas certain. Tout cela pour dire que je me suis ennuyée et que j'ai trouvé ce livre terriblement long.
Nous retrouvons Lucrece et Isidore, deux personnages récurrents de Bernard Werber. Lucréce est dévenue journaliste scientifique au "Guetteur morderne" et Isidore est maintenant à la retraite, il habite dans son chateau d'eau avec ses trois dauphins et son requin "George".
Darius Wozniak dit "Le cyclope" est le comique préféré des français, à la suite de son one man show, il décéde dans sa loge d'une crise cardiaque. Après enquête, Lucréce se rend compte qu'il est mort à la suite d'un gros éclat de rire. Aurait-t-il succombé à la BQT : la blague qui tue.
Malgré un Isidore qui se fait un peu tirer l'oreille le duo d'enquêteur part sur les traces du tueur.
Du vu, du revu, du très vu ... une histoire entrecoupée d'une encyclopédie historique du rire parfois assez humoristique. Du comique de situation chez l' homme préhistorique, jusquà à la fabrication des premières blagues, je dois dire que plus j'avançais dans ma lecture plus cela devenait barbant.
Un récit ponctué de blagues parfois très amusantes pourtant je me suis profondément ennuyée dans cette enquête qui piétine et qui a du mal à avancer.
L'originalité de Werber ne prend plus chez moi, aucune surprise car je me doutais bien que la fin nous apprendrait de toute façon une chose toute à fait rationnelle.
Dommage dommage .... mais bon, il me reste de trop bons souvenirs avec sa trilogie des fourmis et mon préféré qui reste "Les thanatonautes".
Nous retrouvons Lucrece et Isidore, deux personnages récurrents de Bernard Werber. Lucréce est dévenue journaliste scientifique au "Guetteur morderne" et Isidore est maintenant à la retraite, il habite dans son chateau d'eau avec ses trois dauphins et son requin "George".
Darius Wozniak dit "Le cyclope" est le comique préféré des français, à la suite de son one man show, il décéde dans sa loge d'une crise cardiaque. Après enquête, Lucréce se rend compte qu'il est mort à la suite d'un gros éclat de rire. Aurait-t-il succombé à la BQT : la blague qui tue.
Malgré un Isidore qui se fait un peu tirer l'oreille le duo d'enquêteur part sur les traces du tueur.
Du vu, du revu, du très vu ... une histoire entrecoupée d'une encyclopédie historique du rire parfois assez humoristique. Du comique de situation chez l' homme préhistorique, jusquà à la fabrication des premières blagues, je dois dire que plus j'avançais dans ma lecture plus cela devenait barbant.
Un récit ponctué de blagues parfois très amusantes pourtant je me suis profondément ennuyée dans cette enquête qui piétine et qui a du mal à avancer.
L'originalité de Werber ne prend plus chez moi, aucune surprise car je me doutais bien que la fin nous apprendrait de toute façon une chose toute à fait rationnelle.
Dommage dommage .... mais bon, il me reste de trop bons souvenirs avec sa trilogie des fourmis et mon préféré qui reste "Les thanatonautes".
Invité- Invité
Re: [Werber, Bernard] Le rire du Cyclope
Clairement pas le meilleur roman de l'auteur, je l'ai lu il y a quelque temps déjà et il ne m'a pas marqué... les références historiques sont effectivement un peu barbantes et tirent en longueur l'histoire. Le thème abordé ne me plaisait pas particulièrement mais en inconditionnel de Werber je l'ai lu... le plus a été de retrouver Isidore et Lucrèce sinon il obtient à peine la moyenne.
Invité- Invité
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