[Feth, Monika] Le peintre des visages
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[Feth, Monika] Le peintre des visages
Titre : Le peintre des visages
Auteur : Monika Feth
Édition : Black Moon
Nombre de pages : 441
ISBN 2012018289
Présentation de l'éditeur :
Six mois se sont écoulés depuis le meurtre de Caro. Jette et Merle louent désormais sa chambre au sympathique Mike et s'attachent à sa petite amie Ilka, aussi jolie que mystérieuse. La vie semble enfin reprendre un cours normal. Jusqu'à ce que Ilka disparaisse sans laisser de trace. Pour Jette, le cauchemar recommence... Ne croyant pas à la thèse de la fugue, Mike, Jette et Merle cherchent désespérément des indices. Et finissent par découvrir que la jeune fille cachait de sombres secrets...
Mon avis :
Après Le cueilleur de fraises, Monika Feth s'amuse à nouveau à placer ses personnages dans un contexte pervers et oppressant.
Délivré l'effet de surprise à créer, comme pour le précédent ouvrage, Le peintre des visages joue plus encore sur la tension. Surtout puisque nous avons compris comment fonctionne l'auteure. Les faits que les lecteurs partagent avec certains personnages mais pas avec d'autres rendent plusieurs moments frustrants. L'énervement prend le dessus, tournons les pages... il faut qu'il sachent !
Jette garde sa narration à la première personne, sa mère son inspiration trop vraie, Bert ses questions d'hommes.
Ici, c'est Ilka, petite amie de Mike, qui vient d'emméner avec Jette et Merle, qui disparaît. C'est l'occasion pour les adolescentes en pleine reconstruction de se « racheter ». Si elles sauvent Ilka, ce qu'elles n'ont pas pu faire pour Caro, elles laisseront cette dernière partir en paix et auront à nouveau confiance en une sortie de secours qu'elles n'apercevaient qu'en mirage.
Aussi, l'on s'y fait à cet appartement, à cette mère sur protectrice et surtout à cette fabuleuse cafetière! L'on s'accommode également des émotions variées et perçantes que les personnages nous font apprécier en nous laissant, chacun à leur manière, entrer dans leur intimité. Même si ce roman ressemble à une deuxième toile du même sujet, il mène tout de même le lecteur par le bout du nez. Attaché aux protagonistes, ce dernier traverse à nouveau un sujet délicat et cruel avec empathie, retient l'inquiétude générée par le style et l'enthousiasme de Feth elle même qui transparaît (sûrement) un peu dans Imke et son travail. Avec des rythmes donc différents, des battements de cœur confondus, rapides où égarés, les personnages nous promènent avec goût dans leurs mésaventures. Une lecture sympa voire plus que sympa qui sait attirer l'attention et se défendre pour la conserver.
Délivré l'effet de surprise à créer, comme pour le précédent ouvrage, Le peintre des visages joue plus encore sur la tension. Surtout puisque nous avons compris comment fonctionne l'auteure. Les faits que les lecteurs partagent avec certains personnages mais pas avec d'autres rendent plusieurs moments frustrants. L'énervement prend le dessus, tournons les pages... il faut qu'il sachent !
Jette garde sa narration à la première personne, sa mère son inspiration trop vraie, Bert ses questions d'hommes.
Ici, c'est Ilka, petite amie de Mike, qui vient d'emméner avec Jette et Merle, qui disparaît. C'est l'occasion pour les adolescentes en pleine reconstruction de se « racheter ». Si elles sauvent Ilka, ce qu'elles n'ont pas pu faire pour Caro, elles laisseront cette dernière partir en paix et auront à nouveau confiance en une sortie de secours qu'elles n'apercevaient qu'en mirage.
Aussi, l'on s'y fait à cet appartement, à cette mère sur protectrice et surtout à cette fabuleuse cafetière! L'on s'accommode également des émotions variées et perçantes que les personnages nous font apprécier en nous laissant, chacun à leur manière, entrer dans leur intimité. Même si ce roman ressemble à une deuxième toile du même sujet, il mène tout de même le lecteur par le bout du nez. Attaché aux protagonistes, ce dernier traverse à nouveau un sujet délicat et cruel avec empathie, retient l'inquiétude générée par le style et l'enthousiasme de Feth elle même qui transparaît (sûrement) un peu dans Imke et son travail. Avec des rythmes donc différents, des battements de cœur confondus, rapides où égarés, les personnages nous promènent avec goût dans leurs mésaventures. Une lecture sympa voire plus que sympa qui sait attirer l'attention et se défendre pour la conserver.
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