[Östergren, Klas] Gangsters

Flammarion - 2010 - 452 pages

Présentation de l'éditeur
A l'ère des Gentlemen succède le règne des Gangsters. Un retrouve ruas sur un lit de l'appartement déserté par Henry Morgan. À quelques centimètres de lui se tient Maud, beauté fatale, ancienne maîtresse de Morgan et de l'énigmatique Wilhelm Sterner. Mais les apparences sont trompeuses. Car soumis à la pression de Sterner, Klas ne nous avait pas raconté la véritable histoire. Vingt-cinq ans après, il est à présent libre de tout dire, les dissimulations de Maud, les mensonges d'Henry. Mais la volonté peut-elle suffire à faire émerger une vérité que l'on a passé la moitié de sa vie à nier? Gangsters est une magnifique et tragique histoire d'amour en même temps qu'une profonde méditation sur la nature de la fiction, l'illusion, la narration - méditation menée avec brio par un auteur qui, parvenu à maturité, revient à sa première création.


Mon avis :
Erreur de casting.
Je me suis laissé abuser par le titre et la jaquette.
J'aurais mieux fait de m'abstenir.
J'ai lu 75 pages dans l'ennui le plus profond. Peut-être pas à mourir, selon l'expression, mais à s'endormir, c'est sûr.

Ce que j'ai compris :
Un auteur (Klas lui même) a écrit un bouquin il y a vingt-cinq ans, Gentlemen
qui lui a valu des ennuis. A l'époque, la Suède était plus rigoriste.
Depuis, le laxisme aidant, cet auteur récrit le livre en changeant les
noms (pourquoi ? Mystère et boules de gomme) et c'est cette nouvelle
aventure qu'il raconte façon passe-moi mes hypnotiques, chérie, j'ai
trop fumé et trop picolé cet après-midi. Vide, néant, ennuyeux...Il ne
se passe rien.
Cerise sur le gâteau, comme le gars se balade dans la
Suède, on passe d'une province à l'autre sans que le traducteur ait, au
moins, l'amabilité de nous dire si c'est au nord, au sud, bref à lire
avec la carte de la Suède ou un Atlas.

Dommage, la couverture m'a rappelé Marlowe. Souvenirs, souvenirs...

0/5
B

Pas du tout encourageante cette critique!
Mon pauvre Bernard, j'espère que la prochaine lecture te sera plus agréable .

Excellent pour faire des économies!!

Vous ne savez pas combien cela peut être frustrant d'envoyer bouler un livre.......
On pense que le lecteur n'a pas de persévérance, et cède à la facilité, mais non, pas du tout, c'est terrible de s'ennuyer en lisant.
J'envie celles et ceux qui vaille que vaille vont au bout d'une lecture, même insatisfaisante, car comme Bernard, c'est mission impossible

C'est comme un vin, quand on ne le trouve pas bon, c'est inutile de finir son verre, encore moins la bouteille; pas même pour le prix , ni pour le vigneron

Courage Bernard, le prochain livre sera meilleur

mimi54 a écrit:Vous ne savez pas combien cela peut être frustrant d'envoyer bouler un livre.......
On pense que le lecteur n'a pas de persévérance, et cède à la facilité, mais non, pas du tout, c'est terrible de s'ennuyer en lisant.
J'envie celles et ceux qui vaille que vaille vont au bout d'une lecture, même insatisfaisante, car comme Bernard, c'est mission impossible

C'est comme un vin, quand on ne le trouve pas bon, c'est inutile de finir son verre, encore moins la bouteille; pas même pour le prix , ni pour le vigneron

Courage Bernard, le prochain livre sera meilleur

Oh si, je sais à quel point cela peut être frustrant! Mais c'est vrai que j'ai beaucoup de mal à abandonner un livre. J'ai toujours l'espoir que cela s'arrange. Mais au pire, je le referme et je le reprends une autre fois.

Merci de votre soutien, Mesdames, , j'en avais bien besoin. Vous avez vu la classe de la couverture ! Rien dedans...

Si vous rencontrez, au détour d'une rue, Hammett, Chandler, Thomson et Burnett, soyez gentilles de leur demander pourquoi ils ne publient plus. Je le ferais bien moi-même, mais on les voit rarement à Honfleur

La nuit du 28 février, que je lis, c'est du tonnerre et très ironique, j'aime...

B

Bernard a écrit:Merci de votre soutien, Mesdames, , j'en avais bien besoin. Vous avez vu la classe de la couverture ! Rien dedans...

Si vous rencontrez, au détour d'une rue, Hammett, Chandler, Thomson et Burnett, soyez gentilles de leur demander pourquoi ils ne publient plus. Je le ferais bien moi-même, mais on les voit rarement à Honfleur

La nuit du 28 février, que je lis, c'est du tonnerre et très ironique, j'aime...

B

et moi je suis à Casco bay......belle destination Merci qui???

Merci Cassiopée...
Oui, très belle destination et tout est bon là-dedans, il n'y a rien à jeter, sur l'ile déserte, il faut tout emmener, comme chante Brassens.

Souhaite le bonjour à Stoney de ma part !

B

Comme la belle au bois dormant, kély, il te faudra le baiser du prince charmant pour te réveiller, en espérant que cela ne dure pas cent ans ...

B