[Delerm, Philippe et Martine] Fragiles

Fragiles
Philippe et Martine Delerm
Editions Points
67 pages

Quatrième de couverture :

C’est d’abord une histoire de regards. Le regard de Martine sur les choses de la vie. Le regard de Philippe sur les images de Martine. C’est sans doute aussi une histoire d’amour – cela ne nous concerna pas. Ce qui est sûr, c’est que c’est aussi une histoire d’amitié. Puis, avant d’être confiés au lecteur, les mots, les images, abandonnés au temps.
Pendant « longtemps, rien ne semble changer ». « On ne sait pas ce qu’on attend » : heureusement, « la courbe du temps » n’épouse pas « la courbe de la Terre ».
« Surtout ne rien précipiter ». Se taire parfois. Comme Philippe, devant cette petite fille, enturbannée de rouge, qui avance à contrevent, à contre-peine, les yeux fixés là-bas ; vers cet ailleurs où, peut-être, « une aube se prépare ».


Mes impressions :

Un petit livre plein de poésie, certes, mais à laquelle je n’ai pas été du tout sensible. Ce livre forme un tout beaucoup trop abstrait pour moi. Philippe Delerm aborde des thèmes différents comme la naissance, la solitude, la séparation, l’amitié…
Bien que chaque page aborde un de ces thèmes, il m’a été impossible de faire un lien entre le titre et le contenu qui suivait. J’ai relu certains de ces courts textes plusieurs fois pour tenter d’y trouver un sens ou au moins un rapport avec le thème qu’il était censé abordé mais peine perdue !

Cependant même si je n’ai pas été sensible au texte, j’ai trouvé que les illustrations étaient très agréables à regarder. Dans les tons pastel, elles m’ont fait penser aux illustrations du Petit Prince, douces et délicates.

Un livre auquel j’ai compris peu de choses, auquel je n’ai pas été sensible mais comme nos sensibilités de lecteurs sont différentes, peut-être qu’il pourra vous plaire.