[Deas, Stephen] Les rois dragons - Tome 1: Le palais Adamantin
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[Deas, Stephen] Les rois dragons - Tome 1: Le palais Adamantin
Les rois dragons
Le palais adamantin
Stephen Deas
Editions Pygmalion Fantasy
356 pages
Quatrième de couverture :
Le Palais Adamantin se dresse au cœur d'un empire né sur les cendres d'un monde autrefois dominé par les dragons. La race des hommes faillit bien disparaître sous les crocs de ces êtres tyranniques, mais ils découvrirent un jour un procédé alchimique grâce auquel ils soumirent leurs prédateurs. Les terribles créatures de jadis servent aujourd'hui de montures aux chevaliers impériaux et de monnaie d'échange dans le jeu de pouvoir auquel se livrent les grandes maisons aristocratiques. L'empire a prospéré, attirant bien des convoitises, comme celle de cet homme qui rêve de le diriger. Un homme prêt à empoisonner l'empereur comme il a empoisonné son propre père. Un homme prêt à assassiner sa maîtresse et à coucher avec la fille de cette dernière. Mais, bien qu'il l'ignore encore, des flammes vont lui barrer la route du pouvoir. Un dragon s'est échappé. Or, un dragon insoumis retrouve ses pleines capacités intellectuelles, toute sa fureur... A lui seul, il pourrait déjà bien causer la perte de l'empire. Et il n'est pas seul...
Mon avis :
J’ai découvert le style fantastique depuis un an environ. J’ai eu le plaisir de me rendre compte que ce style n’est pas seulement une histoire mais comporte une réflexion sur notre monde, notre société. Pour le découvrir, il faut apprendre à lire entre les lignes et analyser les choix de l’auteur. A travers ce nouveau roman, j’ai retrouvé cet aspect qui me plaît beaucoup.
L’histoire est assez différente de mes précédentes lectures de fantasy. En général, il y a un héros qui doit apprendre à maîtriser quelques pouvoirs afin de sauver son monde. On pourrait éventuellement retrouver cette notion à travers les yeux du dragon échappé, mais je ne pense pas qu’il s’agit de l’objectif de l’auteur.
J’interprète plutôt la rébellion du dragon comme une critique de la gestion de l’humain par rapport à la nature. Les alchimistes et les rois croient pouvoir utiliser leur savoir pour maîtriser leur nature mais il ne s’agit que d’une utopie. Une utopie qui risque un jour de se retourner contre eux. Question au combien d’actualité !
Ce roman traite également de beaucoup d’histoires de pouvoirs, d’ambition dévastatrice. Certains personnages sont prêts à énormément de manipulations, de trahisons, de sacrifices afin d’arriver à leur fin. D’autres se croient au dessus de ces manipulations, avant de se rendre compte qu’ils se sont fait prendre au piège, tout comme les autres. Je trouve ici une analyse de des dérives de l’humain assez justes. Il a un grand nombre de manipulations, de retournement de situations qui m’ont su me surprendre et m’ont tenus en haleine.
La construction de ce premier roman est assez particulière également. Le narrateur se place à travers différents personnages, différentes situations, tout en utilisant que la troisième personne du singulier. Pourtant, j’ai réussi à m’y retrouver et me suis pas perdue. Je note quand même que l’arbre généalogique est plus que nécessaire car il y a un très grand nombre de personnages. J’ai senti une construction un peu en toile d’araignée où l’on aborde l’histoire de différentes phases, pour arriver à un final grandiose qui me donne vraiment envie d’ouvrir le tome 2 (qui est sorti depuis janvier). J’ai apprécié le rythme soutenu surtout pour un premier tome. Il y beaucoup d’actions (sans grosse guerre non plus), de mouvements.
J’ai donc beaucoup apprécié cette lecture. Merci au forum et aux éditions pygmalion pour cette nouvelle découverte. Petit clin d’œil si jamais l’auteur passe par ici, j’ai beaucoup aimé quand le lecteur rentre dans la tête de Neige.
Le palais adamantin
Stephen Deas
Editions Pygmalion Fantasy
356 pages
Quatrième de couverture :
Le Palais Adamantin se dresse au cœur d'un empire né sur les cendres d'un monde autrefois dominé par les dragons. La race des hommes faillit bien disparaître sous les crocs de ces êtres tyranniques, mais ils découvrirent un jour un procédé alchimique grâce auquel ils soumirent leurs prédateurs. Les terribles créatures de jadis servent aujourd'hui de montures aux chevaliers impériaux et de monnaie d'échange dans le jeu de pouvoir auquel se livrent les grandes maisons aristocratiques. L'empire a prospéré, attirant bien des convoitises, comme celle de cet homme qui rêve de le diriger. Un homme prêt à empoisonner l'empereur comme il a empoisonné son propre père. Un homme prêt à assassiner sa maîtresse et à coucher avec la fille de cette dernière. Mais, bien qu'il l'ignore encore, des flammes vont lui barrer la route du pouvoir. Un dragon s'est échappé. Or, un dragon insoumis retrouve ses pleines capacités intellectuelles, toute sa fureur... A lui seul, il pourrait déjà bien causer la perte de l'empire. Et il n'est pas seul...
Mon avis :
J’ai découvert le style fantastique depuis un an environ. J’ai eu le plaisir de me rendre compte que ce style n’est pas seulement une histoire mais comporte une réflexion sur notre monde, notre société. Pour le découvrir, il faut apprendre à lire entre les lignes et analyser les choix de l’auteur. A travers ce nouveau roman, j’ai retrouvé cet aspect qui me plaît beaucoup.
L’histoire est assez différente de mes précédentes lectures de fantasy. En général, il y a un héros qui doit apprendre à maîtriser quelques pouvoirs afin de sauver son monde. On pourrait éventuellement retrouver cette notion à travers les yeux du dragon échappé, mais je ne pense pas qu’il s’agit de l’objectif de l’auteur.
J’interprète plutôt la rébellion du dragon comme une critique de la gestion de l’humain par rapport à la nature. Les alchimistes et les rois croient pouvoir utiliser leur savoir pour maîtriser leur nature mais il ne s’agit que d’une utopie. Une utopie qui risque un jour de se retourner contre eux. Question au combien d’actualité !
Ce roman traite également de beaucoup d’histoires de pouvoirs, d’ambition dévastatrice. Certains personnages sont prêts à énormément de manipulations, de trahisons, de sacrifices afin d’arriver à leur fin. D’autres se croient au dessus de ces manipulations, avant de se rendre compte qu’ils se sont fait prendre au piège, tout comme les autres. Je trouve ici une analyse de des dérives de l’humain assez justes. Il a un grand nombre de manipulations, de retournement de situations qui m’ont su me surprendre et m’ont tenus en haleine.
La construction de ce premier roman est assez particulière également. Le narrateur se place à travers différents personnages, différentes situations, tout en utilisant que la troisième personne du singulier. Pourtant, j’ai réussi à m’y retrouver et me suis pas perdue. Je note quand même que l’arbre généalogique est plus que nécessaire car il y a un très grand nombre de personnages. J’ai senti une construction un peu en toile d’araignée où l’on aborde l’histoire de différentes phases, pour arriver à un final grandiose qui me donne vraiment envie d’ouvrir le tome 2 (qui est sorti depuis janvier). J’ai apprécié le rythme soutenu surtout pour un premier tome. Il y beaucoup d’actions (sans grosse guerre non plus), de mouvements.
J’ai donc beaucoup apprécié cette lecture. Merci au forum et aux éditions pygmalion pour cette nouvelle découverte. Petit clin d’œil si jamais l’auteur passe par ici, j’ai beaucoup aimé quand le lecteur rentre dans la tête de Neige.
Invité- Invité
Re: [Deas, Stephen] Les rois dragons - Tome 1: Le palais Adamantin
Merci pour ta critique très agréable à lire. Je n'ai pas eu le livre, mais j'aime beaucoup la façon dont tu en parles, et dont tu parles également de la fantasy: bien trop souvent, les gens s'arrêtent aux "histoires d'elfes et de petits lutins", sans chercher à aller voir plus loin. Ce qui est bien entendu encore amplifier par le fait que toute une série d'auteurs ne vont effectivement eux-mêmes pas plus loin dans leurs textes. Mais en tout cas, tu viens de relancer mon intérêt pour ce livre, que j'avais déjà noter au moment de sa parution...
Invité- Invité
Re: [Deas, Stephen] Les rois dragons - Tome 1: Le palais Adamantin
Merci beaucoup Olorin, je pense qu'il te plaira
Invité- Invité
Re: [Deas, Stephen] Les rois dragons - Tome 1: Le palais Adamantin
Merci Takac : il est dans ma Pal : je l'ai acheté un peu au hasard, parce que la quatrième de couv me plaisait mais j'avais un peu peur tout de même car toutes les oeuvres de fantasy ne se valent pas : certaines ne sont pas de très bonne qualité! Tu ravives mon intérêt pour ce livre
Invité- Invité
Re: [Deas, Stephen] Les rois dragons - Tome 1: Le palais Adamantin
Mon avis :
Tout d'abord, un grand merci à Thot, aux modérateurs de Partage-lecture et aux éditions Pygmalion fantasy pour ce partenariat.
Je me suis aventurée dans un genre littéraire dont je maîtrise peu les codes : la fantasy. Je reconnais avoir un peu paniqué quand j'ai vu les généalogies royales écrites sur les premiers pages. J'ai cru que jamais je ne parviendrais à me reconnaître dans ce dédale de personnage et je dois dire que parfois, je suis retournée consulter cette page parce que je ne savais plus du tout qui étaient certains personnages.
Je vous rassure, certains sont inoubliables : les dragons. Je vous mets au défi de confondre la Blanche, qui est réellement la cause de toute l’intrigue, Cendre et Silence, monture aimée de la princesse Jaslyn. Si, pour vous les dragons sont de grosses bestioles gentilles, toutes dévouées à leur dragonnier (voir Saphyra et Eragon) ou bien des gros monstres assoiffés de sang qui ne pensent qu’à dévorer le moindre être vivant qui passe par là (la série des Chevaliers d‘Emeraude), passez votre chemin. Le palais Adamantin présente des dragons à la personnalité bien plus complexe. Ils ne sont pas simplement réduits en esclavage par les alchimistes pour servir les hommes, à la chasse ou à la guerre ils sont surtout privés de leurs capacités de réflexion. J’ai beaucoup aimé les passages où nous entendons les pensées et les souvenirs de la Blanche, et j’espère que dans le tome 2, cet aspect de l’œuvre sera développé.
La société dans laquelle évoluent les dragons m’a fait penser à la société médiévale car elle est extrêmement cloisonnée et hiérarchisée. Le premier ordre est le petit peuple. Il ne compte pas, pour tout dire, il n’apparaît que pour être aussitôt tué ou réduit en esclavage par les écuyers-dragons, à la solde des roi-dragons. Ils doivent déployer des trésors d’ingéniosité, de souplesse, subir pour survivre. Kémir, mercenaire, et Nadira en sont les deux représentants et se retrouvent à soutenir presque malgré eux la révolte de la dragonne. A l’exact opposé, nous trouvons les rois et les reines, liés à une nature magique (ils sont roi de l’Océan infini, roi des Collines ou encore roi des Rochers, ce dernier est sans doute le plus mystérieux de tous). Ils nouent et dénouent des alliances sans aucun état d’âme, s’offrent des présents somptueux et rares. Dernier ordre de cette société : les prêtres-dragons, entourés d’une aura de mystère. Ils apportent à ce roman une dimension surnaturelle (qui existe aussi dans la littérature médiévale), par leur potion et l’origine sanglante de leur ordre.
Nous découvrons un complot d’ampleur, orchestré par le prince Jehal, le méchant de l’histoire. Il est un méchant que j’ai adoré détester. Il est remarquablement intelligent, machiavélique, charmeur, beau parleur, bref, il n’a que des qualités pour répondre à la candidature de «méchant de l’année». En plus, sa stratégie est bien rôdée : il a toujours plusieurs longueurs d’avance sur ceux qu’il veut vaincre, et il parvient toujours à ses fins, j’ai presque envie de dire : pour mon plus grand plaisir puisque je n’ai que peu de sympathie pour ses rivaux.
Au final, j'ai découvert grâce à ce roman que la fantasy n'était pas forcément un univers avec des personnages manichéens, une intrigue prévisible et un style très simple. L’intrigue est aussi rocailleuse que les montagnes d’où s’élancent les dragonniers, et le dénouement me donne fortement envie de découvrir la suite.
Tout d'abord, un grand merci à Thot, aux modérateurs de Partage-lecture et aux éditions Pygmalion fantasy pour ce partenariat.
Je me suis aventurée dans un genre littéraire dont je maîtrise peu les codes : la fantasy. Je reconnais avoir un peu paniqué quand j'ai vu les généalogies royales écrites sur les premiers pages. J'ai cru que jamais je ne parviendrais à me reconnaître dans ce dédale de personnage et je dois dire que parfois, je suis retournée consulter cette page parce que je ne savais plus du tout qui étaient certains personnages.
Je vous rassure, certains sont inoubliables : les dragons. Je vous mets au défi de confondre la Blanche, qui est réellement la cause de toute l’intrigue, Cendre et Silence, monture aimée de la princesse Jaslyn. Si, pour vous les dragons sont de grosses bestioles gentilles, toutes dévouées à leur dragonnier (voir Saphyra et Eragon) ou bien des gros monstres assoiffés de sang qui ne pensent qu’à dévorer le moindre être vivant qui passe par là (la série des Chevaliers d‘Emeraude), passez votre chemin. Le palais Adamantin présente des dragons à la personnalité bien plus complexe. Ils ne sont pas simplement réduits en esclavage par les alchimistes pour servir les hommes, à la chasse ou à la guerre ils sont surtout privés de leurs capacités de réflexion. J’ai beaucoup aimé les passages où nous entendons les pensées et les souvenirs de la Blanche, et j’espère que dans le tome 2, cet aspect de l’œuvre sera développé.
La société dans laquelle évoluent les dragons m’a fait penser à la société médiévale car elle est extrêmement cloisonnée et hiérarchisée. Le premier ordre est le petit peuple. Il ne compte pas, pour tout dire, il n’apparaît que pour être aussitôt tué ou réduit en esclavage par les écuyers-dragons, à la solde des roi-dragons. Ils doivent déployer des trésors d’ingéniosité, de souplesse, subir pour survivre. Kémir, mercenaire, et Nadira en sont les deux représentants et se retrouvent à soutenir presque malgré eux la révolte de la dragonne. A l’exact opposé, nous trouvons les rois et les reines, liés à une nature magique (ils sont roi de l’Océan infini, roi des Collines ou encore roi des Rochers, ce dernier est sans doute le plus mystérieux de tous). Ils nouent et dénouent des alliances sans aucun état d’âme, s’offrent des présents somptueux et rares. Dernier ordre de cette société : les prêtres-dragons, entourés d’une aura de mystère. Ils apportent à ce roman une dimension surnaturelle (qui existe aussi dans la littérature médiévale), par leur potion et l’origine sanglante de leur ordre.
Nous découvrons un complot d’ampleur, orchestré par le prince Jehal, le méchant de l’histoire. Il est un méchant que j’ai adoré détester. Il est remarquablement intelligent, machiavélique, charmeur, beau parleur, bref, il n’a que des qualités pour répondre à la candidature de «méchant de l’année». En plus, sa stratégie est bien rôdée : il a toujours plusieurs longueurs d’avance sur ceux qu’il veut vaincre, et il parvient toujours à ses fins, j’ai presque envie de dire : pour mon plus grand plaisir puisque je n’ai que peu de sympathie pour ses rivaux.
Au final, j'ai découvert grâce à ce roman que la fantasy n'était pas forcément un univers avec des personnages manichéens, une intrigue prévisible et un style très simple. L’intrigue est aussi rocailleuse que les montagnes d’où s’élancent les dragonniers, et le dénouement me donne fortement envie de découvrir la suite.
Sharon- Modérateur
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Localisation : Normandie
Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
Re: [Deas, Stephen] Les rois dragons - Tome 1: Le palais Adamantin
Mon avis :
J'ai adoré ce roman de science - fiction plein d'intrigues et de suspense. C'est un véritable coup de coeur.
Un livre sur les dragons, c'est rare, surtout quand les dragons sont les héros. Les chapitres sont très bien découpés. C'est un livre pas trop long, on a envie que l'histoire continue.
Effectivement, heureusement qu'il y a un arbre généalogique pour se repérer un peu, car on a tendance à se perdre un peu dans les noms. Mais, on s'attache très vite aux personnages.
J'aime beaucoup les couple Jehal et Lystra et Hiram et Zafir!! Blanche est mon dragon préféré évidemment. La fin est trop en suspense, alors vivement le tome 2 pour en apprendre plus sur tous ces personnages et surtout pour savoir ce qu'il deviennent tous!!
J'ai adoré ce roman de science - fiction plein d'intrigues et de suspense. C'est un véritable coup de coeur.
Un livre sur les dragons, c'est rare, surtout quand les dragons sont les héros. Les chapitres sont très bien découpés. C'est un livre pas trop long, on a envie que l'histoire continue.
Effectivement, heureusement qu'il y a un arbre généalogique pour se repérer un peu, car on a tendance à se perdre un peu dans les noms. Mais, on s'attache très vite aux personnages.
J'aime beaucoup les couple Jehal et Lystra et Hiram et Zafir!! Blanche est mon dragon préféré évidemment. La fin est trop en suspense, alors vivement le tome 2 pour en apprendre plus sur tous ces personnages et surtout pour savoir ce qu'il deviennent tous!!
Invité- Invité
Re: [Deas, Stephen] Les rois dragons - Tome 1: Le palais Adamantin
Mon avis :
L'histoire de ce premier tome est divisée en deux : d'un côté nous suivons les membres de plusieurs familles nobles où se mêlent complots et trahisons et d'un autre, on suit la vengeance d'une dragonne nommée Neige. Une action bien dosée et un rythme bien soutenu tout au long du livre font que l'on ne s'ennuie à aucun moment.
Quant aux personnages, ils sont complets et bien décrits, on ressent aussi de la haine envers Jehal, jeune prince arrogant, égocentrique et vicieux. Sinon pour mieux s'y retrouver dans les différentes dynasties, des arbres généalogiques figurent au début de ce tome.
Pour conclure, c'est un bon livre d'introduction pour une série prometteuse si l'auteur continue dans cette lancée.
L'histoire de ce premier tome est divisée en deux : d'un côté nous suivons les membres de plusieurs familles nobles où se mêlent complots et trahisons et d'un autre, on suit la vengeance d'une dragonne nommée Neige. Une action bien dosée et un rythme bien soutenu tout au long du livre font que l'on ne s'ennuie à aucun moment.
Quant aux personnages, ils sont complets et bien décrits, on ressent aussi de la haine envers Jehal, jeune prince arrogant, égocentrique et vicieux. Sinon pour mieux s'y retrouver dans les différentes dynasties, des arbres généalogiques figurent au début de ce tome.
Pour conclure, c'est un bon livre d'introduction pour une série prometteuse si l'auteur continue dans cette lancée.
Invité- Invité
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