[Sigurdardottir, Steinunn] Le voleur de vie
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Votre avis sur cet ouvrage :
[Sigurdardottir, Steinunn] Le voleur de vie
Titre : Le voleur de vie
Auteur :Sigurdardottir Steinunn
Edition : flammarion
Résumé :
Alda, trente-sept ans, célibataire, est professeur d'allemand et d'anglais dans un lycée islandais. Riche, cultivée, particulièrement belle, elle daigne se laisser aimer de ses nombreux soupirants. Jusqu'au jour où elle s'éprend d'un jeune professeur d'histoire enseignant dans le même lycée qu'elle, mais marié.
(il y a d'autres résumés mais qui en racontent trop je trouve)
Mon avis (et je ne vais pas être tendre ) :
Saphyr me disait qu'elle était perplexe concernant cette lecture, pour ma part perplexe est un bien petit mot, je n'ai pas du tout apprécié ce livre que j'ai trouvé plat et soporifique (je me suis même assoupie en cours de lecture )
Je m'attendais à une belle histoire d'amour et je me retrouve à côtoyer une psychopathe parlant d'elle à la troisième personne en plein questionnement. L'histoire n'a même pas réussi à me divertir et m'a plutôt exaspéré.
Il n'y a aucun dialogue, de la poésie semer par ci par là et trop de métaphores incompréhensibles.
Le seul point positif il est très rapide à lire (et à oublier heureusement que j'ai pris des notes ).
Il y a dans ce livre un rapport à la mort très troublant.
La protagoniste est malade psychologiquement et je n'ai ressenti pour cette dernière aucune empathie, je n'adhère à aucune de ces pensées, bref je suis à des années lumières de ce personnage.
Je n'ai aucune sympathie pour cette femme qui flirt avec des hommes mariés et qui regrette de ne pas les voir plus ou que leur histoire se soit terminé.
Certains aimeront peut être l'histoire de la déchéance de cette femme par amour mais moi je n'y crois pas, je me suis sentie en tête à tête avec une dérangée qui s'invente une vie c'est tout bonnement sans intérêt ...
Auteur :Sigurdardottir Steinunn
Edition : flammarion
Résumé :
Alda, trente-sept ans, célibataire, est professeur d'allemand et d'anglais dans un lycée islandais. Riche, cultivée, particulièrement belle, elle daigne se laisser aimer de ses nombreux soupirants. Jusqu'au jour où elle s'éprend d'un jeune professeur d'histoire enseignant dans le même lycée qu'elle, mais marié.
(il y a d'autres résumés mais qui en racontent trop je trouve)
Mon avis (et je ne vais pas être tendre ) :
Saphyr me disait qu'elle était perplexe concernant cette lecture, pour ma part perplexe est un bien petit mot, je n'ai pas du tout apprécié ce livre que j'ai trouvé plat et soporifique (je me suis même assoupie en cours de lecture )
Je m'attendais à une belle histoire d'amour et je me retrouve à côtoyer une psychopathe parlant d'elle à la troisième personne en plein questionnement. L'histoire n'a même pas réussi à me divertir et m'a plutôt exaspéré.
Il n'y a aucun dialogue, de la poésie semer par ci par là et trop de métaphores incompréhensibles.
Le seul point positif il est très rapide à lire (et à oublier heureusement que j'ai pris des notes ).
Il y a dans ce livre un rapport à la mort très troublant.
La protagoniste est malade psychologiquement et je n'ai ressenti pour cette dernière aucune empathie, je n'adhère à aucune de ces pensées, bref je suis à des années lumières de ce personnage.
Je n'ai aucune sympathie pour cette femme qui flirt avec des hommes mariés et qui regrette de ne pas les voir plus ou que leur histoire se soit terminé.
Certains aimeront peut être l'histoire de la déchéance de cette femme par amour mais moi je n'y crois pas, je me suis sentie en tête à tête avec une dérangée qui s'invente une vie c'est tout bonnement sans intérêt ...
Dernière édition par siana le Jeu 14 Avr 2011 - 21:07, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: [Sigurdardottir, Steinunn] Le voleur de vie
Au vu du résumé, je m'attendais également à une histoire d'amour. Merci de cet avis qui fait faire des économies
Invité- Invité
Re: [Sigurdardottir, Steinunn] Le voleur de vie
Je pensais le lire également, étant donné que j'ai vu son adaptation au cinéma il y a quelques années.
Merci pour ton avis, je passe donc.
Merci pour ton avis, je passe donc.
Sharon- Modérateur
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Re: [Sigurdardottir, Steinunn] Le voleur de vie
Oui j'ai vu en cherchant l'image qu'il y avait eu un film je vais essayé de me le procurer juste par curiosité!
C'est dommage que ma critique vous décourage car j'aurais bien aimé voir d'autre avis, je compte donc sur saphyr pour mettre en parallèle nos ressentis ...
C'est dommage que ma critique vous décourage car j'aurais bien aimé voir d'autre avis, je compte donc sur saphyr pour mettre en parallèle nos ressentis ...
Invité- Invité
Re: [Sigurdardottir, Steinunn] Le voleur de vie
Moi qui avais envie de lire un autre roman de Sigurdardottir, tu me refroidis un peu ! Bon, j'attends l'avis de Saphyr et on verra...
C'est vrai que la mort semble occuper une place très particulière dans l'œuvre de cette auteure en tous cas.
C'est vrai que la mort semble occuper une place très particulière dans l'œuvre de cette auteure en tous cas.
Dernière édition par Mina le Sam 16 Avr 2011 - 21:16, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: [Sigurdardottir, Steinunn] Le voleur de vie
Mon avis :
Je l'ai déjà évoqué dans d'autre sujets, ce roman m’a laissée perplexe.
L’écriture est belle et originale. Le récit décousu rend bien compte de la confusion des sentiments qui assaillent l’héroïne (à la limite de la schizophrénie, il faut le reconnaître). J’ai trouvé ça délicieusement onirique. Les détails islandais, glissés de ci de là, s’ajoutent aux descriptions subtiles des saisons et des paysages, créant un sentiment réel de dépaysement.
Malheureusement, sortie de là, je n’ai trouvé que peu d’intérêt à ce roman, principalement parce que je n’ai trouvé aucun intérêt au personnage d’Alda. Imbue de sa propre personne, dénuée de toute empathie, se complaisant dans une auto-apitoiement nauséeux, j’ai été soulagée qu’elle se taise.
Femme fatale, ou qui se prétend telle, chaque chapitre est l’occasion de rappeler à quel point elle est belle, intelligente, à quel point ses seins sont fermes, ses jambes époustouflantes, son allure fabuleuse, ses vêtements élégants... Les hommes, de préférence mariés ou plus jeunes qu’elle, tombent comme des mouches, sous son regard méprisant.
Lorsqu’elle croise enfin le chemin d’un homme qui lui ressemble - c’est-à-dire beau, sûr de lui, et égoïste - qui se laisse séduire avant de retourner auprès de sa femme, elle bascule dans un délire vaguement écoeurant. Là encore, tout est prétexte à rappeler à quel point elle est irrésistible, à quel point il a eu tort de la quitter pour rester aux côtés de sa femme idiote et quelconque, à quel point elle souffre, à quel point il doit regretter leurs cent jours d’idylle... Lassant. Crispant.
Qui est le voleur de vie ? L’homme qu’elle aime ? L’amour lui-même ?
A lire ce récit, Alda est la voleuse de sa propre vie. Plutôt que se réjouir d’avoir vécu une belle histoire, Alda ne fait que ressasser, blâmer les autres, se complaire dans l’injustice de cette séparation. A côté de ses « atroces souffrances », la mort de sa soeur passe presque inaperçue, à peine évoquée, emplissant trois pages au plus. A force de plaintes elle transforme sa vie, pourtant riche, en vallée de larmes. Je comprends la douleur de la séparation, la tristesse de la rupture, mais je ne comprends pas cette obstination à exacerber cette souffrance, à s’en enorgueillir, à la ressasser sans cesse au point d’en oublier les autres, au point de s’oublier soi-même.
Si le propos de l’auteur était de nous faire ressentir de l’empathie pour cette femme, c’est totalement raté en ce qui me concerne.
Ma note : 4/10L’écriture est belle et originale. Le récit décousu rend bien compte de la confusion des sentiments qui assaillent l’héroïne (à la limite de la schizophrénie, il faut le reconnaître). J’ai trouvé ça délicieusement onirique. Les détails islandais, glissés de ci de là, s’ajoutent aux descriptions subtiles des saisons et des paysages, créant un sentiment réel de dépaysement.
Malheureusement, sortie de là, je n’ai trouvé que peu d’intérêt à ce roman, principalement parce que je n’ai trouvé aucun intérêt au personnage d’Alda. Imbue de sa propre personne, dénuée de toute empathie, se complaisant dans une auto-apitoiement nauséeux, j’ai été soulagée qu’elle se taise.
Femme fatale, ou qui se prétend telle, chaque chapitre est l’occasion de rappeler à quel point elle est belle, intelligente, à quel point ses seins sont fermes, ses jambes époustouflantes, son allure fabuleuse, ses vêtements élégants... Les hommes, de préférence mariés ou plus jeunes qu’elle, tombent comme des mouches, sous son regard méprisant.
Lorsqu’elle croise enfin le chemin d’un homme qui lui ressemble - c’est-à-dire beau, sûr de lui, et égoïste - qui se laisse séduire avant de retourner auprès de sa femme, elle bascule dans un délire vaguement écoeurant. Là encore, tout est prétexte à rappeler à quel point elle est irrésistible, à quel point il a eu tort de la quitter pour rester aux côtés de sa femme idiote et quelconque, à quel point elle souffre, à quel point il doit regretter leurs cent jours d’idylle... Lassant. Crispant.
Qui est le voleur de vie ? L’homme qu’elle aime ? L’amour lui-même ?
A lire ce récit, Alda est la voleuse de sa propre vie. Plutôt que se réjouir d’avoir vécu une belle histoire, Alda ne fait que ressasser, blâmer les autres, se complaire dans l’injustice de cette séparation. A côté de ses « atroces souffrances », la mort de sa soeur passe presque inaperçue, à peine évoquée, emplissant trois pages au plus. A force de plaintes elle transforme sa vie, pourtant riche, en vallée de larmes. Je comprends la douleur de la séparation, la tristesse de la rupture, mais je ne comprends pas cette obstination à exacerber cette souffrance, à s’en enorgueillir, à la ressasser sans cesse au point d’en oublier les autres, au point de s’oublier soi-même.
Si le propos de l’auteur était de nous faire ressentir de l’empathie pour cette femme, c’est totalement raté en ce qui me concerne.
Invité- Invité
Re: [Sigurdardottir, Steinunn] Le voleur de vie
Vous pouvez être sûres que je ne le lirai pas celui-là
Merci pour vos critiques
Merci pour vos critiques
Invité- Invité
Re: [Sigurdardottir, Steinunn] Le voleur de vie
Il ne faut jamais dire : "fontaine, je ne boirais pas de ton eau". J'ai trouvé ce livre par hasard, dans une grande surface culturelle, et j'ai commencé à le lire. Mon avis n'est pas très positif non plus.
Sharon- Modérateur
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Re: [Sigurdardottir, Steinunn] Le voleur de vie
Mon avis :
Je l'ai lu - ouf ! Je voulais découvrir cette auteur, j'avais déjà vu le film (avec Emmanuelle Béart, Sandrine Bonnaire et Eric Ruf), j'ai voulu me faire une idée par moi-même.
Tout d'abord, l'écriture est particulièrement belle, elle donne à voir l'Islande, le passage des saisons, les couleurs, les goûts, les odeurs. La prose devient poésie parfois, en des strophes lyriques. Parfois. La personnalité de sa narratrice rend rapidement cette écriture indigeste et irritante.
Grâce à Alda, j'ai découvert que l'Islande comportait une aristocratie. Par dérogation, Alda a donc un nom de famille, Ivarsen. Elle est riche, elle est cultivée, elle voyage dans toute l'Europe - une vie enviable. Elle partage sa grande demeure avec sa soeur et sa nièce dont elle ne parle quasiment pas, si ce n'est quand elles célèbrent des fêtes de famille. Alda a un défaut qui gangrène tout le roman : elle est imbue d'elle-même à un point inimaginable. Aucune femme ne la surpasse en beauté, en intelligence, aucune femme ne sait choisir ses vêtements avec autant de soin, d'à propos, ne sait les porter avec autant d'élégance. Aussi, quand elle condescend à avoir une relation avec un homme (marié le plus souvent), celui-ci doit s'estimer heureux, y compris quand elle rompt avec lui. Son inconscience, dans certaines situations, me fait douter de sa santé mentale.
Un jour pourtant, un homme, marié, plus jeune qu'elle, n'agit pas comme elle s'y attendait : certes, il a une liaison avec elle, mais il retourne auprès de sa femme. Il poursuit même une belle carrière - loin d'Alda. Alda ajoute alors à son défaut majeur une complaisance envers elle-même rarement atteinte. Elle a sans doute souffert de cette rupture. Néanmoins, la manière dont elle revient sans arrêt sur leur liaison (cent jours) sur leur ruputre et sur le bénéfice qu'il tirerait à vivre avec une aussi belle femme qu'elle (comparée à sa falote femme légitime - toujours du point de vue d'Alda) est un mélange de masochisme et d'érotomanie.
Autant dire que les autres personnages n'ont strictement aucune importance aux yeux d'Alda, pas même sa propre soeur, dont la mort est à peine évoquée. Les autres ne comptent, n'existent que par rapport à elle.
Ce roman a eu un succès retentissant en Scandinavie - voir la quatrième de couverture. Pourquoi ? Parce qu'Alda tranche avec les autres personnages féminins rencontrés dans la littérature islandaise, toujours soumis à un mari, un père, un frère, au destin terne, parfois tragique ? Alda est libre, totalement. Même sans l'héritage de ses parents, elle pourrait être indépendante financièrement, elle n'a besoin de personne pour subvenir à ses besoins. Si sa soeur est discrète (Alda "mange" littéralement le récit), Alma a fait un bébé toute seule et a élevé Sigga, sa fille, sans demander de l'aide à son géniteur. Elles se sont passées des hommes et Alda, dans sa vieillesse (elle a quarante-quatre ans à la fin du récit !) n'admet pas de perdre son indépendance en vivant avec un homme, ce qui troublerait sa vie rêvée avec son amant imaginaire, son "nounours" - encore le monde de l'enfance.
Un roman que je me suis forcée à terminer et que je suis soulagée de laisser derrière moi.
Je l'ai lu - ouf ! Je voulais découvrir cette auteur, j'avais déjà vu le film (avec Emmanuelle Béart, Sandrine Bonnaire et Eric Ruf), j'ai voulu me faire une idée par moi-même.
Tout d'abord, l'écriture est particulièrement belle, elle donne à voir l'Islande, le passage des saisons, les couleurs, les goûts, les odeurs. La prose devient poésie parfois, en des strophes lyriques. Parfois. La personnalité de sa narratrice rend rapidement cette écriture indigeste et irritante.
Grâce à Alda, j'ai découvert que l'Islande comportait une aristocratie. Par dérogation, Alda a donc un nom de famille, Ivarsen. Elle est riche, elle est cultivée, elle voyage dans toute l'Europe - une vie enviable. Elle partage sa grande demeure avec sa soeur et sa nièce dont elle ne parle quasiment pas, si ce n'est quand elles célèbrent des fêtes de famille. Alda a un défaut qui gangrène tout le roman : elle est imbue d'elle-même à un point inimaginable. Aucune femme ne la surpasse en beauté, en intelligence, aucune femme ne sait choisir ses vêtements avec autant de soin, d'à propos, ne sait les porter avec autant d'élégance. Aussi, quand elle condescend à avoir une relation avec un homme (marié le plus souvent), celui-ci doit s'estimer heureux, y compris quand elle rompt avec lui. Son inconscience, dans certaines situations, me fait douter de sa santé mentale.
Un jour pourtant, un homme, marié, plus jeune qu'elle, n'agit pas comme elle s'y attendait : certes, il a une liaison avec elle, mais il retourne auprès de sa femme. Il poursuit même une belle carrière - loin d'Alda. Alda ajoute alors à son défaut majeur une complaisance envers elle-même rarement atteinte. Elle a sans doute souffert de cette rupture. Néanmoins, la manière dont elle revient sans arrêt sur leur liaison (cent jours) sur leur ruputre et sur le bénéfice qu'il tirerait à vivre avec une aussi belle femme qu'elle (comparée à sa falote femme légitime - toujours du point de vue d'Alda) est un mélange de masochisme et d'érotomanie.
Autant dire que les autres personnages n'ont strictement aucune importance aux yeux d'Alda, pas même sa propre soeur, dont la mort est à peine évoquée. Les autres ne comptent, n'existent que par rapport à elle.
Ce roman a eu un succès retentissant en Scandinavie - voir la quatrième de couverture. Pourquoi ? Parce qu'Alda tranche avec les autres personnages féminins rencontrés dans la littérature islandaise, toujours soumis à un mari, un père, un frère, au destin terne, parfois tragique ? Alda est libre, totalement. Même sans l'héritage de ses parents, elle pourrait être indépendante financièrement, elle n'a besoin de personne pour subvenir à ses besoins. Si sa soeur est discrète (Alda "mange" littéralement le récit), Alma a fait un bébé toute seule et a élevé Sigga, sa fille, sans demander de l'aide à son géniteur. Elles se sont passées des hommes et Alda, dans sa vieillesse (elle a quarante-quatre ans à la fin du récit !) n'admet pas de perdre son indépendance en vivant avec un homme, ce qui troublerait sa vie rêvée avec son amant imaginaire, son "nounours" - encore le monde de l'enfance.
Un roman que je me suis forcée à terminer et que je suis soulagée de laisser derrière moi.
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Re: [Sigurdardottir, Steinunn] Le voleur de vie
Bon! et bien je pense que je passerai ma route sur cette lecture!
Invité- Invité
Re: [Sigurdardottir, Steinunn] Le voleur de vie
Je ne veux surtout pas te décourager Kély, mais j'ai rarement eu autant l'impression de perdre mon temps en lisant un livre. Et pourtant, j'aime la littérature islandaise.
Sharon- Modérateur
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Re: [Sigurdardottir, Steinunn] Le voleur de vie
Non, pas de souci Sharon, je me souviens avoir lu ton avis pour "Le cadavre dans la voiture rouge" avis qui n'avait pas été très positif, avant de lire le livre. Cela ne m'a pas empêchée de le lire et de moyennement l'apprécier.Sharon a écrit:Je ne veux surtout pas te décourager Kély, mais j'ai rarement eu autant l'impression de perdre mon temps en lisant un livre. Et pourtant, j'aime la littérature islandaise.
Puis, tu sais, j'ai une PAL déjà plus que fournie, et une LAL sur laquelle j'ai quelques valeurs sûres, donc, ce n'est pas très grave si je ne l'augmente pas avec une lecture que je ne serais pas sûre d'apprécier.
Invité- Invité
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