[Khara, David S.] Le projet Bleiberg
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[Khara, David S.] Le projet Bleiberg
Présentation de l'éditeur
« Depuis hier, je ne suis plus aussi sûr d’avoir envie de crever, du moins, pas avant d’avoir tiré cette histoire au clair. Et en plus, j’ai de la monnaie à rendre. » 1942. Pologne. Camp de Stutthof. Le chef suprême de la SS rencontre secrètement le scientifique en charge du plus important projet du 3e Reich. De nos jours. États-Unis. Jay Novacek, jeune trader new-yorkais, dépressif et alcoolique, reçoit la visite de deux émissaires de l’armée. Son père, haut gradé de l’US Air Force, vient d’être assassiné. Aussitôt, la C.I.A. dépêche une pétillante recrue pour protéger le fils du défunt. Au même moment, près de la base de Langley en Virginie, un agent du Mossad abat un espion à l’issue d’un interrogatoire musclé. Muni de nouvelles informations, il se rend vers son prochain objectif : un certain Jay Novacek. Venue des heures les plus sombres de l’Histoire, une terrible machination se met en branle, menaçant l’humanité tout entière. N’est-il pas déjà trop tard pour l’arrêter ?
Biographie de l'auteur
Journaliste, sportif de haut niveau puis chef d'entreprise, David S. Khara est aujourd'hui écrivain à plein temps. Après le succès de son polar vampirique Les Vestiges de l'Aube, David S. Khara nous entraîne dans un nouveau roman passionnent et mené tambour battant, dans la plus pure tradition des thrillers anglo-saxons. Entre spéculation historique et enquête policière, Le Projet Bleiberg rouvre des dossiers que l'on tenait pour définitivement scellés.
Détails sur le produit
Broché: 272 pages
Editeur : Critic Editions (6 octobre 2010)
Collection : Thriller
Langue : Français
ISBN-10: 2953499822
ISBN-13: 978-2953499827
Mon avis :
Tout d'abord, je souhaite remercier France Loisirs pour avoir retenue ma candidature et je suis heureuse de faire partie des membres du Jury Toplecteur, ce qui me permet de faire de belles découvertes.
Jérémy est un jeune trader New Yorkais qui n’a plus rien à espérer de la vie, alcoolique et dépressif. Tout a commencé un matin où des officiers de l’US Air Force viennent frapper à sa porte pour lui annoncer la mort de son père. La nouvelle lui importe peu, son père les a abandonnés sa mère et lui. Il va devoir aller faire part de son décès à sa mère, hospitalisée. Et c’est à partir de là que sa vie prend une tournure inattendue et presque choquante : sa mère lui remet une clef gravée de la croix gammée et lui apprend que son employeur est un agent de la CIA qui a constamment veillé sur sa sécurité.
Flanqué d’un agent secret plutôt sexy, il va devoir se rendre en Suisse afin de découvrir ce que contient le coffre de cette banque…
Il va apprendre que son père avait mis le doigt sur une affaire délicate à l’époque de la Seconde Guerre mondiale.
Une course poursuite à travers les intrigues historiques et les machinations du monde secret de l’espionnage, CIA, Mossad, KGB tout y passent. On y découvre également les horreurs commises au cours de la Seconde Guerre mondiale, côté nazis.Ce côté m'a pas mal plu.
On passe d’une époque à l’autre, de l‘Occupation à nos jours, sans que le fil de l’intrigue ne soit jamais cassé. L’écriture y est fluide, l’humour très présent ainsi que la gravité des faits bien marqués. Plus on avance dans l’histoire, plus le rythme s’accélère et moins on a envie de lâcher le livre.
J'ai trouvé qu'on visualisait parfaitement les scènes, comme si l’on était devant un écran de cinéma.
C’est une lecture sympathique, les personnages sont très attachants. Une lecture qui nous fait oublier le moment présent une fois qu’on y a mis le nez dedans.
L’humour bien présent des personnages fichés d’un caractère bien trempé m’a complètement séduite. Le côté historique que tout le monde connaît, certes, ne prend pas trop de place dans le récit. Il est présent mais pas encombrant. Et pour terminer, je dirais que cela fait passer un moment agréable. J'ai apprécié cette lecture.
Ma note : 3/4
Re: [Khara, David S.] Le projet Bleiberg
Mon avis :
Bonjour David,
Je me dois de te remercier très chaleureusement pour l'envoi de ton dernier roman et tu remercieras de ma part l'équipe de ton éditeur. Cette petite attention me touche parce que tu as tenu ta promesse, et il faut avouer que peu de gens tiennent leur promesse en ce bas monde. Et comme tu l'as dédicacé le jour de mon anniversaire (le 4 octobre, et oui, en octobre, pas en juillet, et non je ne m'appelle pas Tom Cruise), je considère ce paquet reçu dans ma boîte à lettres comme un cadeau. Merci...
Je t'imagine en train de lire cette chronique, rapidement, pour savoir ce que je vais pouvoir écrire sur ce roman, de murmurer "le fumier" parce que je fais durer le plaisir. L'attente est trop longue, et tu es prêt à bâcler ta lecture en sautant quelques lignes pour savoir... savoir... ah, quel magnifique mot, mais tout le monde veut savoir, et là, je ne peux m'empêcher de profiter du petit pouvoir que j'ai sur toi, actuellement, là maintenant, alors que tu commences à te tirer les cheveux. Tu es même en train de penser que sur un terrain de foot (football américain pour les lecteurs du blog, eh oui, je partage avec l'auteur une passion en plus de la littérature, celle du plus beau sport qui existe), tu me mettrais sur le cul avec la grille uniquement rien que pour te venger, je dis "même pas mal". Allez, trêve de plaisanterie, j'attaque...
Ce roman... ce roman fait partie des meilleurs thrillers que j'ai jamais lu. Au bout de même pas dix pages, j'étais pris. Il a fallu que j'aille jusqu'au bout. Tu aurais du être scénariste pour des séries (je me rappelle encore Les Vestiges et tu pourras relire la critique, j'avais eu déjà cette sensation en lisant ton premier roman), parce que tu manies le suspense avec une grande facilité, me mettant au supplice à la fin de chaque chapitre pour en "savoir" toujours un peu plus.
J'ai aimé les chapitres se déplaçant dans le temps pour nous aiguiller, nous donner des informations. Certaines révélations, non pas historiques mais bien celles qui sont propres à l'histoire du roman, m'ont laissé pantois. Mais, et oui, il faut toujours un mais... Mais, je disais donc, j'avais deviné qui était Eytan bien avant que tu ne dévoiles sa véritable origine. Et aussi, en page 207 (oui c'est très précis, mais que veux-tu, je suis taquin), la première phrase me gêne, mais à part ça, rien d'autre... si, page 261, c'est franchement prévisible à cause de la page 263.
Pour finir, je trouve que ton écriture est très fluide sans aucune lourdeur de quelque sorte, le roman se lit avec une très grande facilité. Les personnages sont attachants, ils ont des défauts et des qualités comme tout le monde, ils font et ont fait des erreurs qui les rattrapent, bref, j'aime tes personnages, ils sont vivants.
Ce roman... c'est un roman nucléaire, l'Hiroshima du genre. Il va faire des ravages.
Encore merci, et je te souhaite une très bonne continuation... Merci à Critic.
A bientôt David,
Alex S. (Skritt) Tiec
Bonjour David,
Je me dois de te remercier très chaleureusement pour l'envoi de ton dernier roman et tu remercieras de ma part l'équipe de ton éditeur. Cette petite attention me touche parce que tu as tenu ta promesse, et il faut avouer que peu de gens tiennent leur promesse en ce bas monde. Et comme tu l'as dédicacé le jour de mon anniversaire (le 4 octobre, et oui, en octobre, pas en juillet, et non je ne m'appelle pas Tom Cruise), je considère ce paquet reçu dans ma boîte à lettres comme un cadeau. Merci...
Je t'imagine en train de lire cette chronique, rapidement, pour savoir ce que je vais pouvoir écrire sur ce roman, de murmurer "le fumier" parce que je fais durer le plaisir. L'attente est trop longue, et tu es prêt à bâcler ta lecture en sautant quelques lignes pour savoir... savoir... ah, quel magnifique mot, mais tout le monde veut savoir, et là, je ne peux m'empêcher de profiter du petit pouvoir que j'ai sur toi, actuellement, là maintenant, alors que tu commences à te tirer les cheveux. Tu es même en train de penser que sur un terrain de foot (football américain pour les lecteurs du blog, eh oui, je partage avec l'auteur une passion en plus de la littérature, celle du plus beau sport qui existe), tu me mettrais sur le cul avec la grille uniquement rien que pour te venger, je dis "même pas mal". Allez, trêve de plaisanterie, j'attaque...
Ce roman... ce roman fait partie des meilleurs thrillers que j'ai jamais lu. Au bout de même pas dix pages, j'étais pris. Il a fallu que j'aille jusqu'au bout. Tu aurais du être scénariste pour des séries (je me rappelle encore Les Vestiges et tu pourras relire la critique, j'avais eu déjà cette sensation en lisant ton premier roman), parce que tu manies le suspense avec une grande facilité, me mettant au supplice à la fin de chaque chapitre pour en "savoir" toujours un peu plus.
J'ai aimé les chapitres se déplaçant dans le temps pour nous aiguiller, nous donner des informations. Certaines révélations, non pas historiques mais bien celles qui sont propres à l'histoire du roman, m'ont laissé pantois. Mais, et oui, il faut toujours un mais... Mais, je disais donc, j'avais deviné qui était Eytan bien avant que tu ne dévoiles sa véritable origine. Et aussi, en page 207 (oui c'est très précis, mais que veux-tu, je suis taquin), la première phrase me gêne, mais à part ça, rien d'autre... si, page 261, c'est franchement prévisible à cause de la page 263.
Pour finir, je trouve que ton écriture est très fluide sans aucune lourdeur de quelque sorte, le roman se lit avec une très grande facilité. Les personnages sont attachants, ils ont des défauts et des qualités comme tout le monde, ils font et ont fait des erreurs qui les rattrapent, bref, j'aime tes personnages, ils sont vivants.
Ce roman... c'est un roman nucléaire, l'Hiroshima du genre. Il va faire des ravages.
Encore merci, et je te souhaite une très bonne continuation... Merci à Critic.
A bientôt David,
Alex S. (Skritt) Tiec
Invité- Invité
Re: [Khara, David S.] Le projet Bleiberg
Mon avis :
Un zeste de Robin Cook pour les expérimentations scientifiques ….
Un zeste de John Grisham pour le rapport à la bourse, à l’argent, aux grandes firmes économiques ….
Un zeste de Clive Cussler pour les militaires, les femmes (une gentille (avec un peu d’amour), une méchante, et quelques seconds rôles …) ainsi qu’un humour de bon aloi tournant parfois en dérision les situations les plus tendues …. sans oublier le rapport passé/présent ….
Tous ces grands noms du roman policier n’ont qu’à bien se tenir, un bon auteur est né !
David S. Khara a réussi un savoureux mélange de tous ces genres pour nous entraîner dans un récit étourdissant, bien construit, aux nombreux rebondissements et à l’écriture de qualité.
Jay Novaceck, jeune trader new yorkais, mène une vie qui lui plaît malgré une enfance douloureuse qu’il a du mal à oublier. Un événement fâcheux va le faire basculer dans le clan « des dépressifs alcooliques » … il survit tant bien que mal jusqu’au jour où , deux militaires sonnent à sa porte pour lui annoncer que son père est mort … Il le détestait et sa première pensée sera « bon débarras » … Sa mère le suivra de peu mais avant de mourir, elle aura eu le temps de lui remettre quelque chose …
Sa vie va se trouver bouleversée du jour au lendemain sans qu’il ait le temps de se poser.
Tous ses repères volent en éclats, ses certitudes sont ébranlées.
De ce fait, il va partir à la découverte de son père, mais pas seulement …. une terrible menace pèse sur l’humanité et il l’apprend en faisant ses recherches. Qui était vraiment ce père qui l’a abandonné, pourquoi l’a-t-il laissé ? Que cachait-il?
Confronté à des dangers qu’il n’avait même pas envisagés, Jay ira à la rencontre de son géniteur, mais encore de lui-même, des autres, élargissant sa vision et cessant de se regarder le nombril ….
Le rythme est haletant, passionnant, car on passe des impressions de Jay, qui donne ses ressentis, analyses des faits, pose ses interrogations (emploi du pronom « je ») à une narration classique (à la troisième personne) alternant les faits présents à des incursions dans le passé. Le passé revisité de façon subtile avec des personnages historiques ayant existé et d’autres totalement fictifs, dans un amalgame très bien dosé et assez vraisemblable (sauf le « fait » en lui-même mais cela ne nuit pas à l’intrigue). De plus, pour éclairer le lecteur, sans tomber dans des longueurs inutiles, certaines explications sont apportées par le biais des notes du père de Jay (on reprend alors la narration à la première personne, plus légère et nous mettant tout de suite dans l’ambiance.)
C’est donc une construction originale et superbement bien dosée qui donne en partie sa «force » à ce policier, d’autant plus que les différents genres d’écriture peuvent se côtoyer dans un même chapitre, évitant tout phénomène de lassitude.
Les différents protagonistes, quant à eux, sont humains, avec des forces, des faiblesses, des parts d’ombre et des blessures
L’auteur aurait pu forcer « le trait » en essayant d’approfondir la personnalité de chacun des individus mais il a su leur donner un vrai caractère sans alourdir son récit qui rebondit ainsi de pages en pages.
De plus, ça et là, il distille quelques réflexions un peu plus profondes, nous montrant qu’il sait réfléchir
« Le suicide n’est pas une preuve de courage, mais d’abandon. Des erreurs, des fautes, nous en commettons tous. La force d’un homme ne se mesure pas au nombre de coups qu’il peut donner. »
autant que manier l’humour.
«Je mate sa chemise gonflée par sa petite poitrine ferme.
Au diable les fantasmes : soit je lui mets un pain, soit je saute de l’avion pour ne plus voir sa gueule. »
Les esprits chagrins (et il y en aura certainement) diront que tout cela est un peu trop caricaturé, presque « américain ». Il n’empêche qu’on ne voit pas le temps passer en lisant cet opus que je recommande fortement pour les amateurs du genre.
NB: Monsieur Khara, je vous donne ma date d'anniversaire pour votre prochain roman? Skritt, tu es d'accord? Chacun son tour?
Un zeste de Robin Cook pour les expérimentations scientifiques ….
Un zeste de John Grisham pour le rapport à la bourse, à l’argent, aux grandes firmes économiques ….
Un zeste de Clive Cussler pour les militaires, les femmes (une gentille (avec un peu d’amour), une méchante, et quelques seconds rôles …) ainsi qu’un humour de bon aloi tournant parfois en dérision les situations les plus tendues …. sans oublier le rapport passé/présent ….
Tous ces grands noms du roman policier n’ont qu’à bien se tenir, un bon auteur est né !
David S. Khara a réussi un savoureux mélange de tous ces genres pour nous entraîner dans un récit étourdissant, bien construit, aux nombreux rebondissements et à l’écriture de qualité.
Jay Novaceck, jeune trader new yorkais, mène une vie qui lui plaît malgré une enfance douloureuse qu’il a du mal à oublier. Un événement fâcheux va le faire basculer dans le clan « des dépressifs alcooliques » … il survit tant bien que mal jusqu’au jour où , deux militaires sonnent à sa porte pour lui annoncer que son père est mort … Il le détestait et sa première pensée sera « bon débarras » … Sa mère le suivra de peu mais avant de mourir, elle aura eu le temps de lui remettre quelque chose …
Sa vie va se trouver bouleversée du jour au lendemain sans qu’il ait le temps de se poser.
Tous ses repères volent en éclats, ses certitudes sont ébranlées.
De ce fait, il va partir à la découverte de son père, mais pas seulement …. une terrible menace pèse sur l’humanité et il l’apprend en faisant ses recherches. Qui était vraiment ce père qui l’a abandonné, pourquoi l’a-t-il laissé ? Que cachait-il?
Confronté à des dangers qu’il n’avait même pas envisagés, Jay ira à la rencontre de son géniteur, mais encore de lui-même, des autres, élargissant sa vision et cessant de se regarder le nombril ….
Le rythme est haletant, passionnant, car on passe des impressions de Jay, qui donne ses ressentis, analyses des faits, pose ses interrogations (emploi du pronom « je ») à une narration classique (à la troisième personne) alternant les faits présents à des incursions dans le passé. Le passé revisité de façon subtile avec des personnages historiques ayant existé et d’autres totalement fictifs, dans un amalgame très bien dosé et assez vraisemblable (sauf le « fait » en lui-même mais cela ne nuit pas à l’intrigue). De plus, pour éclairer le lecteur, sans tomber dans des longueurs inutiles, certaines explications sont apportées par le biais des notes du père de Jay (on reprend alors la narration à la première personne, plus légère et nous mettant tout de suite dans l’ambiance.)
C’est donc une construction originale et superbement bien dosée qui donne en partie sa «force » à ce policier, d’autant plus que les différents genres d’écriture peuvent se côtoyer dans un même chapitre, évitant tout phénomène de lassitude.
Les différents protagonistes, quant à eux, sont humains, avec des forces, des faiblesses, des parts d’ombre et des blessures
L’auteur aurait pu forcer « le trait » en essayant d’approfondir la personnalité de chacun des individus mais il a su leur donner un vrai caractère sans alourdir son récit qui rebondit ainsi de pages en pages.
De plus, ça et là, il distille quelques réflexions un peu plus profondes, nous montrant qu’il sait réfléchir
« Le suicide n’est pas une preuve de courage, mais d’abandon. Des erreurs, des fautes, nous en commettons tous. La force d’un homme ne se mesure pas au nombre de coups qu’il peut donner. »
autant que manier l’humour.
«Je mate sa chemise gonflée par sa petite poitrine ferme.
Au diable les fantasmes : soit je lui mets un pain, soit je saute de l’avion pour ne plus voir sa gueule. »
Les esprits chagrins (et il y en aura certainement) diront que tout cela est un peu trop caricaturé, presque « américain ». Il n’empêche qu’on ne voit pas le temps passer en lisant cet opus que je recommande fortement pour les amateurs du genre.
NB: Monsieur Khara, je vous donne ma date d'anniversaire pour votre prochain roman? Skritt, tu es d'accord? Chacun son tour?
Cassiopée- Admin
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Localisation : Saint Etienne
Emploi/loisirs : enseignante
Genre littéraire préféré : un peu tout
Date d'inscription : 17/04/2009
Re: [Khara, David S.] Le projet Bleiberg
Mon avis : Première découverte avec cet auteur que je ne connaissais pas du tout et c'est à travers son livre "Le projet Bleiberg" que j'ai décidé de commencer. J'ai passé un bon moment de lecture avec ce thriller somme toute assez classique et qui se lit rapidement. Même si ce livre ne révolutionnera pas le monde du thriller, j'ai très envie de lire "Le projet Shiro".
Un récit qui prend racine dans le passé, nous naviguons entre deux périodes, celle des expériences nazies sur les enfants pendant la seconde guerre mondiale et de nos jours aux Etats-Unis à New York.
Jay Novacek est un jeune homme fragile avec une mère malade et un père qui l'a abandonné. Trader à New-York, il sombre dans la dépression et l'alcool le jour où il écrase une petite fille dans une poussette .
A la mort de son père, sa mère lui remet une mystérieuse boite avec le code d'un coffre en Suisse et un clé. Il apprend en même temps qu'il ne les a pas abandonnés volontairement mais pour les protéger d'un grand danger.
Dans les heures qui suivent ces révélations, Il se retrouve lui même traqué.
Des personnages sympathiques, Jay d'un premier abord est antipathique et inbuvable mais au fur et à mesure du livre on comprend que c'est un être écorché mais doublé d'une vive intelligence. Mention spéciale pour Ethan "Le géant vert" je l'ai tout de suite imaginé façon publicité pour le maïs.
Un thriller rapide et efficace avec des dialogues, du rythme, les pages se tournent toutes seules. Malgré une fin un peu téléphonée et sans aucune surprise pour moi, j'ai quand même passé un bon moment de lecture.
Un récit qui prend racine dans le passé, nous naviguons entre deux périodes, celle des expériences nazies sur les enfants pendant la seconde guerre mondiale et de nos jours aux Etats-Unis à New York.
Jay Novacek est un jeune homme fragile avec une mère malade et un père qui l'a abandonné. Trader à New-York, il sombre dans la dépression et l'alcool le jour où il écrase une petite fille dans une poussette .
A la mort de son père, sa mère lui remet une mystérieuse boite avec le code d'un coffre en Suisse et un clé. Il apprend en même temps qu'il ne les a pas abandonnés volontairement mais pour les protéger d'un grand danger.
Dans les heures qui suivent ces révélations, Il se retrouve lui même traqué.
Des personnages sympathiques, Jay d'un premier abord est antipathique et inbuvable mais au fur et à mesure du livre on comprend que c'est un être écorché mais doublé d'une vive intelligence. Mention spéciale pour Ethan "Le géant vert" je l'ai tout de suite imaginé façon publicité pour le maïs.
Un thriller rapide et efficace avec des dialogues, du rythme, les pages se tournent toutes seules. Malgré une fin un peu téléphonée et sans aucune surprise pour moi, j'ai quand même passé un bon moment de lecture.
Invité- Invité
Re: [Khara, David S.] Le projet Bleiberg
Le 4eme de couverture ne m'aurait pas tenté mais vos critiques ... oui, un de plus dans ma LAL.
Invité- Invité
Re: [Khara, David S.] Le projet Bleiberg
Je sens que je me laisserai tenter par ce livre ! Ma LAL va s'agrandir aussi !
Invité- Invité
Re: [Khara, David S.] Le projet Bleiberg
Acheté chez FranceLoisir par hasard car la 4eme de couverture laissait entrevoir une histoire qui pouvait me plaire, je n'ai pas été déçu de ce moment passé avec Jay Novacek.
J'ai tout de suite été prise dans l'histoire car j'aime beaucoup les romans qui vont et viennent entre passé et présent. L'intrigue est simple mais bien trouvée, les personnages sont adorables et l'humour parfois décalé m'a fait rire.
Je vais chercher de ce pas la suite "le projet Shiro"
J'ai tout de suite été prise dans l'histoire car j'aime beaucoup les romans qui vont et viennent entre passé et présent. L'intrigue est simple mais bien trouvée, les personnages sont adorables et l'humour parfois décalé m'a fait rire.
Je vais chercher de ce pas la suite "le projet Shiro"
Invité- Invité
Re: [Khara, David S.] Le projet Bleiberg
Mon avis:
Le projet Bleiberg nous entraîne dans l’Histoire, et plus précisément au temps de la Seconde Guerre Mondiale, où les Nazis (entre autres choses…) menaient des expériences scientifiques, certaines sur les êtres humains.
Si l’action du livre se passe de nos jours, les nombreux flashbacks historiques parsemés au fil des chapitres nous permettent d’en savoir plus sur les implications actuelles de ces expériences passées.
Les personnages principaux sont un groupe hétéroclite composé de :
- Jeremy Corbin (qui préfère prendre le nom de sa mère Novacek), un trader qui a gagné des millions mais qui suite à un accident de la route est plutôt dépressif, et se réfugie dans les cigarettes et l’alcool ;
- Eytan Morg, mystérieux agent secret du Mossad aux méthodes musclées et qui semble n’avoir peur de rien ;
- Jacqueline dite Jacky, agent de la CIA chargée de surveiller et protéger Jay.
Les personnages se dévoilent petit à petit, les secrets qui entourent la famille de Jay et ceux d’Eytan apparaissent au fil des pages.
Tout cela étant bien entendu lié au fameux « projet Bleiberg », dont on n’aura vraiment que les tenants et aboutissants à la fin.
Mené tambour battant, ce thriller est vraiment palpitant, et comme l’action se déroule sur seulement quatre jours, cela laisse peu de place aux moments de répit.
D’une écriture fluide, avec une bonne dose d’humour (ce qui change de pas mal d’autres thrillers), ce livre se lit vraiment facilement et ferait aussi une bonne adaptation en film, tellement on imagine bien tout ce que l’auteur nous décrit.
J’ai beaucoup apprécié les passages du point de vue intérieur de Jay ! Je languissait vraiment de retrouver ses petites réflexions et son humour parfois douteux.
Ce n’est peut-être pas un livre sur un thème très innovant, mais il a le mérite de nous faire nous interroger un peu sur une période trouble de l’Histoire (bon juste un peu car ce n’est vraiment pas un livre historique), tout en nous faisant passer un bon moment de détente.
J’ai commencé la suite sans attendre, Le projet Shiro.
Ma note: 4.5 /5
Invité- Invité
Re: [Khara, David S.] Le projet Bleiberg
Mon avis
L’auteur avec virtuosité nous plonge dans une narration alternant entre le présent ou l’on suit principalement Jeremy et des faits de la seconde guerre mondiale, des personnages tristement célèbres tels que Hitler, Rudolph Hesse et Himmler. Une intrigue ambitieuse, solide et envoûtante actuelle, une certaine virtuosité pour nous faire vivre le contexte historique au fur et à mesure du voyage de Jeremy avec ses péripéties trépidantes. D’autres personnages habitent ce thriller, un agent du Mossad, une jeune recrue de la CIA débordante de vitalité. Il faut tout de même dire que certains passages sont des parodies malgré les expériences nazies et le projet secret d’un Bleiberg.. Du suspense, des scènes d’actions, des rebondissements et un peu d’humour m’ont accrochée à ce thriller historique que j’ai apprécié.
L’auteur avec virtuosité nous plonge dans une narration alternant entre le présent ou l’on suit principalement Jeremy et des faits de la seconde guerre mondiale, des personnages tristement célèbres tels que Hitler, Rudolph Hesse et Himmler. Une intrigue ambitieuse, solide et envoûtante actuelle, une certaine virtuosité pour nous faire vivre le contexte historique au fur et à mesure du voyage de Jeremy avec ses péripéties trépidantes. D’autres personnages habitent ce thriller, un agent du Mossad, une jeune recrue de la CIA débordante de vitalité. Il faut tout de même dire que certains passages sont des parodies malgré les expériences nazies et le projet secret d’un Bleiberg.. Du suspense, des scènes d’actions, des rebondissements et un peu d’humour m’ont accrochée à ce thriller historique que j’ai apprécié.
lalyre- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : jardinage,lecture
Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
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Re: [Khara, David S.] Le projet Bleiberg
Mon avis :
J’ai adore la trilogie. Je me suis attachée aux personnages, surtout à Etan. Le style est beau, l’écriture est agréable, le langage est soutenu sans en être élitiste.
Une intrigue bien menée, de l’action à foison … en bref, un rythme passionnant, et haletant !
L'histoire avec un grand H ( la 2m guerre mondiale ) se mêle avec le roman. Tout cela articulé avec soin !
Vraiment une lecture passionnante !!!
Un coup de cœur que cette trilogie !!
J’ai adore la trilogie. Je me suis attachée aux personnages, surtout à Etan. Le style est beau, l’écriture est agréable, le langage est soutenu sans en être élitiste.
Une intrigue bien menée, de l’action à foison … en bref, un rythme passionnant, et haletant !
L'histoire avec un grand H ( la 2m guerre mondiale ) se mêle avec le roman. Tout cela articulé avec soin !
Vraiment une lecture passionnante !!!
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