[Wells, Dan] Je ne suis pas un serial killer
4 participants
Page 1 sur 1
Votre avis :
[Wells, Dan] Je ne suis pas un serial killer
Je ne suis pas un serial killer / Dan WELLS
Sonatine, 269 p.
Mon résumé : John Wayne Cleaver est, depuis tout petit, confronté à la mort. En effet, sa mère et sa tante avec lesquelles il vit travaillent dans une morgue et il va régulièrement leur donner un coup de main. Cependant son attrait pour la mort a une autre cause… depuis ses 7 ans John est fasciné par les serial killers et pense qu’il est lui-même un serial killer potentiel et qu’il lui faut des règles de vie pour ne pas déraper. Tout suit son cours jusqu’au jour où, dans sa ville, des hommes sont assassinés et vidés de leurs entrailles ou mutilés. John décide de mener l’enquête pour tenter de mettre fin à ces meurtres atroces tout en étant bien entendu attiré aussi par ces meurtres et par le serial killer qui les commet.
Mon avis : Le roman est assez sympathique avec une bonne dose d’humour noir et de cynisme, l’idée est originale même si il y a un aspect fantastique dans l’histoire qui est un peu gênant et c’est dommage... Le déroulement de l’intrigue est très rapide et on a du mal à s’attacher aux personnages. En résumé, un avis en demi-teinte, l’idée de départ était enthousiasmante mais la façon dont l’histoire est construite est décevante. C’est malgré tout un livre à part qui plaira aux amateurs du genre.
Sonatine, 269 p.
Mon résumé : John Wayne Cleaver est, depuis tout petit, confronté à la mort. En effet, sa mère et sa tante avec lesquelles il vit travaillent dans une morgue et il va régulièrement leur donner un coup de main. Cependant son attrait pour la mort a une autre cause… depuis ses 7 ans John est fasciné par les serial killers et pense qu’il est lui-même un serial killer potentiel et qu’il lui faut des règles de vie pour ne pas déraper. Tout suit son cours jusqu’au jour où, dans sa ville, des hommes sont assassinés et vidés de leurs entrailles ou mutilés. John décide de mener l’enquête pour tenter de mettre fin à ces meurtres atroces tout en étant bien entendu attiré aussi par ces meurtres et par le serial killer qui les commet.
Mon avis : Le roman est assez sympathique avec une bonne dose d’humour noir et de cynisme, l’idée est originale même si il y a un aspect fantastique dans l’histoire qui est un peu gênant et c’est dommage... Le déroulement de l’intrigue est très rapide et on a du mal à s’attacher aux personnages. En résumé, un avis en demi-teinte, l’idée de départ était enthousiasmante mais la façon dont l’histoire est construite est décevante. C’est malgré tout un livre à part qui plaira aux amateurs du genre.
yaki- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 1611
Age : 47
Localisation : Yvelines
Emploi/loisirs : Lecture, scrapbooking, balades,...
Genre littéraire préféré : Romans contemporains
Date d'inscription : 10/06/2008
Re: [Wells, Dan] Je ne suis pas un serial killer
Et vous avez raison, il est écrit que c'est un mélange entre Dexter et Six feet under je crois...
yaki- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 1611
Age : 47
Localisation : Yvelines
Emploi/loisirs : Lecture, scrapbooking, balades,...
Genre littéraire préféré : Romans contemporains
Date d'inscription : 10/06/2008
Re: [Wells, Dan] Je ne suis pas un serial killer
Je viens de le finir et j'ai vraiment plus qu'aimer, un vrai coup de coeur pour moi. Je trouve que justement le côté fantastique fait que ça change de Dexter. Ce livre est plein de surprises et c'est géniale.
J'aimerais bien lire le deuxième tome mais je vais devoir attendre un bout de temps car ils ne l'ont pas dans ma médiathèque =(.
J'aimerais bien lire le deuxième tome mais je vais devoir attendre un bout de temps car ils ne l'ont pas dans ma médiathèque =(.
Invité- Invité
Re: [Wells, Dan] Je ne suis pas un serial killer
Mon avis
John a 15 ans, vit avec sa mère, l'aide souvent à préparer les cadavres de la morgue et adore ça. Sauf que ce n'est pas un adolescent ordinaire. Il ne ressent aucune connexion avec les autres êtres humains, même sa famille, pas vraiment d'émotions et nourri une passion sans borne pour les serial killers. Il m'a fait penser à une version adolescente de Dexter, sauf qu'à la différence, il n'assume pas du tout son "démon intérieur". Il a bâti un mur de pierre autour de sa zone d'ombre et observe plusieurs règles qui l'éloigne de la tentation. J'ai beaucoup aimé ce personnage, qui a la répartie mordante et cynique. Il m'a fait sourire à plusieurs reprises.
Dès les premières pages, j'ai été emballée. Tout de suite après le premier meurtre, John sait qu'il a affaire à un tueur en série. Pour les avoir autant étudié, il sait que les meurtres vont pleuvoir si la police ne l'arrête pas et il ne peut s'empêcher d'être emballée par cette perspective. Là où j'ai moins accroché, c'est quand l'histoire prend une tournure fantastique, quand John découvre qui est le tueur et se décide à l'arrêter. Au début, je n'ai pas voulu y croire, j'ai cru que le narrateur (John) débloquait, puis je me suis fait une raison... j'aurais vraiment plus accroché si le livre n'aurait pas pris cette direction et serait resté un pur thriller. Peut-être parce que je ne m'y attendais pas du tout. La façon dont j'aborde un roman joue beaucoup dans mon appréciation et dans ce cas, je ne l'ai pas abordé comme il le méritait.
N'empêche, je lirai le deuxième tome avec plaisir, maintenant que je sais à quoi m'attendre!
3/5
Invité- Invité
Re: [Wells, Dan] Je ne suis pas un serial killer
★☆★ John est un garçon renfermé, sociopathe, attiré par les tueurs en série. Il ne vit pas réellement sa vie, mais préfère plutôt guetter les autres, les surveiller. A l'intérieur de lui, il sent un "monstre" prêt à surgir pour faire du mal. Afin de ne pas céder à ses démons intérieurs, il se met une quantité de "règles" pour ne pas déraper. Le personnage est posé, on sent déjà arriver le dérapage. Avec effectivement un petit air de Dexter.
Le petit côté d'être dans la tête d'un futur éventuel serial killer est très intéressant. Ce personnage est caustique et a de l'humour noir.
Une bonne intrigue bien menée, des crimes avec mutilations dont on ne comprend pas le sens.
En tant que lecteur, on avance sans avoir l'ombre d'une idée quant au meurtrier ou son mobile.
Jusqu'au moment où le récit bascule, où l'on fait la connaissance du serial killer. J'ai nettement moins aimé cette partie qui était un peu trop tirée par les cheveux à mon goût.
Un livre lu avec les copinautes de L'âme du livre dans la cadre de la lecture commune de février/mars. ★☆★
Note : 1.5/3
Le petit côté d'être dans la tête d'un futur éventuel serial killer est très intéressant. Ce personnage est caustique et a de l'humour noir.
Une bonne intrigue bien menée, des crimes avec mutilations dont on ne comprend pas le sens.
En tant que lecteur, on avance sans avoir l'ombre d'une idée quant au meurtrier ou son mobile.
Jusqu'au moment où le récit bascule, où l'on fait la connaissance du serial killer. J'ai nettement moins aimé cette partie qui était un peu trop tirée par les cheveux à mon goût.
Un livre lu avec les copinautes de L'âme du livre dans la cadre de la lecture commune de février/mars. ★☆★
Note : 1.5/3
Re: [Wells, Dan] Je ne suis pas un serial killer
Sur la couverture, j'ai lu "Si vous aimez Dexter...vous aimerez Dan Wells." (Elle)
Comme j'aime Dexter, j'ai acheté ce livre et sa suite, Mister Monster, et reçu un livre gratuit (promotion 2 livres de poche achetés = 1 offert).
Et j'ai commencé à lire ce thriller, qui commence très bien, avec un Dexter adolescent suivi par un psy. Sa mère tient le funérarium local. Le gamin est sociopathe, connaît tout sur les serial killers, pense en être un, est habité par des pulsions morbides...
Dans les cent premières pages, on retrouve le cynisme et l'humour noir de la série Dexter. On comprend bien le rapprochement effectué dans le magazine Elle d'autant qu'un vrai serial killer, déjà passé à l'action, rôde dans le patelin paumé où vit l'adolescent sociopathe...On attend l'affrontement promis sur la quatrième de couverture.
Et puis...
Tout bascule dans le n'importe quoi !
Le méchant est une créature fantastique ridicule.
Le gamin le traque sur sa bicyclette (si, si...) en vue de le tuer.
En gros, on mélange Supernatural et Dexter, on secoue, et on obtient...un roman qui est à Dexter ce que R.L. Stine est à Stephen King !
Et pourtant, le personnage principal, John Wayne Cleaver, a du potentiel ! Mister Monster est peut-être mieux...ou alors le narrateur sera encore confronté à un méchant d'opérette...
Autant le dire : la bande-annonce est mensongère...On est moins dans du thriller (sauf au début) que dans de la fiction pour ado ("vous aimez les loup-garous et les vampires...Vous voulez voir un jeune Dexter les affronter ? Vous avez aimé Jason versus Freddy ? Alors venez les jeunes dans notre nouvelle maison fantôme...")
2,5/5. Trop farfelu et délirant pour être pleinement convaincant.
Comme j'aime Dexter, j'ai acheté ce livre et sa suite, Mister Monster, et reçu un livre gratuit (promotion 2 livres de poche achetés = 1 offert).
Et j'ai commencé à lire ce thriller, qui commence très bien, avec un Dexter adolescent suivi par un psy. Sa mère tient le funérarium local. Le gamin est sociopathe, connaît tout sur les serial killers, pense en être un, est habité par des pulsions morbides...
Dans les cent premières pages, on retrouve le cynisme et l'humour noir de la série Dexter. On comprend bien le rapprochement effectué dans le magazine Elle d'autant qu'un vrai serial killer, déjà passé à l'action, rôde dans le patelin paumé où vit l'adolescent sociopathe...On attend l'affrontement promis sur la quatrième de couverture.
Et puis...
Tout bascule dans le n'importe quoi !
Le méchant est une créature fantastique ridicule.
Le gamin le traque sur sa bicyclette (si, si...) en vue de le tuer.
En gros, on mélange Supernatural et Dexter, on secoue, et on obtient...un roman qui est à Dexter ce que R.L. Stine est à Stephen King !
Et pourtant, le personnage principal, John Wayne Cleaver, a du potentiel ! Mister Monster est peut-être mieux...ou alors le narrateur sera encore confronté à un méchant d'opérette...
Autant le dire : la bande-annonce est mensongère...On est moins dans du thriller (sauf au début) que dans de la fiction pour ado ("vous aimez les loup-garous et les vampires...Vous voulez voir un jeune Dexter les affronter ? Vous avez aimé Jason versus Freddy ? Alors venez les jeunes dans notre nouvelle maison fantôme...")
2,5/5. Trop farfelu et délirant pour être pleinement convaincant.
Invité- Invité
Re: [Wells, Dan] Je ne suis pas un serial killer
Sans etre un coup de cœur, j'ai beaucoup apprécié ce roman. Je l'ai trouvé bien écrit et bien construit.
Le côté fantastique ne m'a pas dérangé, ça fait un mélange de genre qui lui permet d'être apprécié par plusieurs genres de lecteurs...
Après c'est vrai qu'on n'a pas tellement le temps de s'attacher aux personnages, mais je dirais qu'en dehors du héros, ils n'ont pas d'importance... Et le héros, pour ma part, je m'y suis attachée. Donc c'est l'essentiel.
Je lirai bien le suivant aussi je l'ai noté 4/5.
Le côté fantastique ne m'a pas dérangé, ça fait un mélange de genre qui lui permet d'être apprécié par plusieurs genres de lecteurs...
Après c'est vrai qu'on n'a pas tellement le temps de s'attacher aux personnages, mais je dirais qu'en dehors du héros, ils n'ont pas d'importance... Et le héros, pour ma part, je m'y suis attachée. Donc c'est l'essentiel.
Je lirai bien le suivant aussi je l'ai noté 4/5.
Invité- Invité
Re: [Wells, Dan] Je ne suis pas un serial killer
Mon avis :
En cours de lecture, j'ai ressenti le besoin d'en savoir plus sur cet auteur, sur ce qui avait pu le pousser à écrire un tel livre, et à en faire une trilogie. Dans sa dédicace, il fait allusion à son frère Robison qui a été publié avant lui. Faut-il y voir une clef ? Non, une émulation, les deux frères ont participé au même groupe d'écriture et ont même édité ensemble un recueil - contrairement à ce que l'on m'a appris pendant mes études de lettres, je ne pense pas que l'on puisse dissocier totalement l'homme de l'oeuvre, je ne crois pas que ce soit une part inconsciente et inconnue qui écrive l'oeuvre.Parlons-en, maintenant, de cette oeuvre. John Wayne Cleaver porte le nom d'un célèbre acteur. Il porte aussi le nom d'un tueur en série - mais là, ce n'était pas le but recherché. Il vit avec sa mère, la soeur jumelle de celle-ci, et, de temps en temps, sa soeur Lauren (comme Lauren Bacall, leur père était passionné de cinéma) fait son apparition à Clayton, ce trou paumé du Dakota du Nord dans lequel il ne se passe jamais rien. Son problème est simple : il sait qu'il a tout le potentiel pour devenir un tueur en série, et a mis en place des mécanismes pour ne pas succomber à ce qu'il ressent, des mécanismes qui lui permettent presque de passer pour un adolescent ordinaire. Certes, tout savoir sur presque tous les tueurs en série, avoir écrit de magnifiques dissertations sur eux n'aident pas vraiment à l'apaisement. C'est du moins l'avis de sa mère, qui le fait suivre par un psy, homme charmant au demeurant, même si je m'interroge sur la notion de secret professionnel. Ah, j'oubliai : John donne un coup de main à sa mère dans l'entreprise familiale, un funérarium. Oui, de quoi l'aider à gérer ses pulsions, quoi que l'on dise. L'entreprise n'allait pas très très bien - la preuve, sa mère était dans l'impossibilité d'embaucher du personnel. Seulement, un meurtre a été commis, puis un autre, et encore un autre. Je n'irai pas jusqu'à dire que le rêve de John se réalise, mais presque : un serial killer a débarqué en ville. Alors oui, John se passionne pour le sujet, parce que les victimes le touchent parfois de très près. Lui qui tente de mener une vie qui semble aux yeux des autres la plus normale possible est en passe de voir ses efforts ruinés. Cette passion ne plait pas à tout le monde, son attitude face aux morts et aux mutilations subies encore moins. Ce roman m'a interrogée sur ce que l'on nomme l'humanité, sur ce qui nous définit en tant qu'être humain. Il nous donne à voir de l'intérieur un être qui n'arrive pas à éprouver des émotions pour autrui, qui ne se sent à l'aise qu'avec les morts. Il nous montre aussi, en un basculement, le ressenti du tueur, ses faiblesses, qui ne sont pas forcément celles que l'on pourrait trouver dans un film ou un roman qui voit les serial killer uniquement comme des machines à tuer. Certes, ici aussi, il est question de tout faire pour les empêcher de nuire, mais pas que. Oui, je parle de "basculement", et je ne veux pas indiquer de quoi il s'agit, parce que cela nous fait réellement sortir du cadre du thriller pur et dur.J'ai enchaîné avec la lecture des deux autres tomes.
En cours de lecture, j'ai ressenti le besoin d'en savoir plus sur cet auteur, sur ce qui avait pu le pousser à écrire un tel livre, et à en faire une trilogie. Dans sa dédicace, il fait allusion à son frère Robison qui a été publié avant lui. Faut-il y voir une clef ? Non, une émulation, les deux frères ont participé au même groupe d'écriture et ont même édité ensemble un recueil - contrairement à ce que l'on m'a appris pendant mes études de lettres, je ne pense pas que l'on puisse dissocier totalement l'homme de l'oeuvre, je ne crois pas que ce soit une part inconsciente et inconnue qui écrive l'oeuvre.Parlons-en, maintenant, de cette oeuvre. John Wayne Cleaver porte le nom d'un célèbre acteur. Il porte aussi le nom d'un tueur en série - mais là, ce n'était pas le but recherché. Il vit avec sa mère, la soeur jumelle de celle-ci, et, de temps en temps, sa soeur Lauren (comme Lauren Bacall, leur père était passionné de cinéma) fait son apparition à Clayton, ce trou paumé du Dakota du Nord dans lequel il ne se passe jamais rien. Son problème est simple : il sait qu'il a tout le potentiel pour devenir un tueur en série, et a mis en place des mécanismes pour ne pas succomber à ce qu'il ressent, des mécanismes qui lui permettent presque de passer pour un adolescent ordinaire. Certes, tout savoir sur presque tous les tueurs en série, avoir écrit de magnifiques dissertations sur eux n'aident pas vraiment à l'apaisement. C'est du moins l'avis de sa mère, qui le fait suivre par un psy, homme charmant au demeurant, même si je m'interroge sur la notion de secret professionnel. Ah, j'oubliai : John donne un coup de main à sa mère dans l'entreprise familiale, un funérarium. Oui, de quoi l'aider à gérer ses pulsions, quoi que l'on dise. L'entreprise n'allait pas très très bien - la preuve, sa mère était dans l'impossibilité d'embaucher du personnel. Seulement, un meurtre a été commis, puis un autre, et encore un autre. Je n'irai pas jusqu'à dire que le rêve de John se réalise, mais presque : un serial killer a débarqué en ville. Alors oui, John se passionne pour le sujet, parce que les victimes le touchent parfois de très près. Lui qui tente de mener une vie qui semble aux yeux des autres la plus normale possible est en passe de voir ses efforts ruinés. Cette passion ne plait pas à tout le monde, son attitude face aux morts et aux mutilations subies encore moins. Ce roman m'a interrogée sur ce que l'on nomme l'humanité, sur ce qui nous définit en tant qu'être humain. Il nous donne à voir de l'intérieur un être qui n'arrive pas à éprouver des émotions pour autrui, qui ne se sent à l'aise qu'avec les morts. Il nous montre aussi, en un basculement, le ressenti du tueur, ses faiblesses, qui ne sont pas forcément celles que l'on pourrait trouver dans un film ou un roman qui voit les serial killer uniquement comme des machines à tuer. Certes, ici aussi, il est question de tout faire pour les empêcher de nuire, mais pas que. Oui, je parle de "basculement", et je ne veux pas indiquer de quoi il s'agit, parce que cela nous fait réellement sortir du cadre du thriller pur et dur.J'ai enchaîné avec la lecture des deux autres tomes.
Sharon- Modérateur
-
Nombre de messages : 13263
Age : 46
Localisation : Normandie
Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
Sujets similaires
» [Monfils, Nadine] Les vacances d'un serial killer
» [Mars, Frédéric] Le Manuel du serial killer
» [Graysmith, Robert] Gorilla Man -La véritable traque d'un ds premiers serial killers Américains
» [Wells, Dan] Nobody
» [Sullivan, Philip A.] Web Killer
» [Mars, Frédéric] Le Manuel du serial killer
» [Graysmith, Robert] Gorilla Man -La véritable traque d'un ds premiers serial killers Américains
» [Wells, Dan] Nobody
» [Sullivan, Philip A.] Web Killer
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum