[Kafka, Franz] La métamorphose
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Votre avis sur "La métamorphose"
[Kafka, Franz] La métamorphose
Genre : Roman classique
Editions : Folio
ISBN : Néant
192 pages
Quatrième de couverture :
Un matin, au sortir d’un rêve agité, Grégoire Samsa s’éveilla transformé dans son lit en une véritable vermine. Il était couché sur le dos, un dos dur comme une cuirasse, et, en levant un peu la tête, il s’aperçut qu’il avait un ventre brun en forme de voûte divisé par des nervures arquées. La couverture, à peine retenue pas le sommet de cet édifice, était près de tomber complètement, et les pattes de Grégoire, pitoyablement minces pour son gros corps, papillotaient devant ses yeux.
«Que m’est-il arrivé ?» pensa-t-il ? Ce n’était pourtant pas un rêve...
Mon avis : «Que m’est-il arrivé ?» pensa-t-il ? Ce n’était pourtant pas un rêve...
Des mots me viennent à l’esprit, sans que je sache s’ils sont appropriés, ou s’il était dans l’intention de l’auteur de les évoquer.
Absurdité. Injustice. Vulnérabilité. Résignation...
Que ce soit dans la Métamorphose proprement dite, (la transformation soudaine et inexpliquée de Grégoire, petit employé sans histoire, en cafard géant), ou dans les récits associés, Kafka nous dépeint un univers grotesque et désespérant.
L’humanité s’y débat contre un sort que non seulement elle ne maîtrise pas, mais qu’elle n’est même pas capable d’appréhender. Et dans sa panique, dans son ignorance, l'homme se détruit ou détruit ses proches, se laisse corrompre ou corrompt les siens. Car dans ces univers cauchemardesques, n’obéissant à aucune loi tangible (le nôtre le fait-il ? je soupçonne Kafka d'en avoir douté), les peurs et les lâchetés sont bien réelles, tangibles. Peur des victimes, bien sûr, mais également peur des bourreaux, cette peur de perdre ce qu’ils croient important et qui leur ôte leur humanité plus sûrement que d’improbables métamorphoses.
Une lecture profonde, faite non pas pour asséner un message univoque ou une vérité définitive, mais pour distiller lentement son message et engager avec le lecteur un dialogue destiné à se poursuivre bien après la dernière page.
Ce n'est pas un coup de cœur, La métamorphose n’est pas un livre dont on tombe amoureux. C'est une lecture puissante, néanmoins.
A découvrir.
Ma note : 9/10Absurdité. Injustice. Vulnérabilité. Résignation...
Que ce soit dans la Métamorphose proprement dite, (la transformation soudaine et inexpliquée de Grégoire, petit employé sans histoire, en cafard géant), ou dans les récits associés, Kafka nous dépeint un univers grotesque et désespérant.
L’humanité s’y débat contre un sort que non seulement elle ne maîtrise pas, mais qu’elle n’est même pas capable d’appréhender. Et dans sa panique, dans son ignorance, l'homme se détruit ou détruit ses proches, se laisse corrompre ou corrompt les siens. Car dans ces univers cauchemardesques, n’obéissant à aucune loi tangible (le nôtre le fait-il ? je soupçonne Kafka d'en avoir douté), les peurs et les lâchetés sont bien réelles, tangibles. Peur des victimes, bien sûr, mais également peur des bourreaux, cette peur de perdre ce qu’ils croient important et qui leur ôte leur humanité plus sûrement que d’improbables métamorphoses.
Une lecture profonde, faite non pas pour asséner un message univoque ou une vérité définitive, mais pour distiller lentement son message et engager avec le lecteur un dialogue destiné à se poursuivre bien après la dernière page.
Ce n'est pas un coup de cœur, La métamorphose n’est pas un livre dont on tombe amoureux. C'est une lecture puissante, néanmoins.
A découvrir.
Invité- Invité
Re: [Kafka, Franz] La métamorphose
un grand classique que j'adore...
la métamorphose mais de laquelle parle t-on ? n'est ce pas plutôt celle de la famille face à un nouveau changement d'un des leur ? Une stigmate qui apparait comme le nez au milieu de la figure et il faut trouver une solution....
c'est cette lente métamorphose que l'auteur exprime, nos relations intra-familiales et notre propre métamorphose pour nous affranchir de ses liens
excellent livre, merci Saphyr
la métamorphose mais de laquelle parle t-on ? n'est ce pas plutôt celle de la famille face à un nouveau changement d'un des leur ? Une stigmate qui apparait comme le nez au milieu de la figure et il faut trouver une solution....
c'est cette lente métamorphose que l'auteur exprime, nos relations intra-familiales et notre propre métamorphose pour nous affranchir de ses liens
excellent livre, merci Saphyr
Pinky- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
Genre littéraire préféré : Je lis de tout en littérature mais j'ai beaucoup de mal avec les policiers... j'en lis 1 ou 2 dans l
Date d'inscription : 04/06/2008
Re: [Kafka, Franz] La métamorphose
Mon avis :
La métamorphose est le récit, une nouvelle d'une centaine de pages, de Gregor Samsa, honnête travailleur, qui soutient financièrement sa famille suite à la déconvenue de l'affaire commerciale de son père, et qui un matin se sent différent, malade. C'est le premier jour de sa transformation en un insecte répugnant.
Kafka nous propose ici un texte d'une grande originalité, écrit avec une grande justesse, une fluidité et une légèreté extrêmement bien travaillée, faisant de cette nouvelle un plaisir rare de lecture.
Cet auteur et ses textes ont été le sujet de maints études. Celle qui suit est courte, rassurez-vous, et manquera peut-être d'originalité par rapport à d'autres travaux déjà réalisées.
Ce Gregor Samsa a avec sa famille des liaisons comme tout jeune homme peut avoir avec ses parents et sa soeur au début du siècle dernier. Il la respecte, l'aime et et lui consacre sa vie, personnelle et professionnelle. Le père est tyrannique, la mère est effacée et la jeune soeur aimante et simple. Gregor Samsa travaille dans une entreprise pour qui il a une dette contractée par son père. Ce Gregor Samsa est au milieu d'une situation étouffante, sans avenir, et dont il paye chèrement le choix d'autres personnes, bien qu'il ne le ressente pas de cette manière, nous comprenons qu'il vit pieds et poings liés par son père et son travail (le jour même de son absence, il a la visite du fondé de pouvoir de l'entreprise dans laquelle il travaillé pour venir vérifier s'il est bel et bien malade).
Inconsciemment, Gregor Samsa éprouve une gêne, et ressent cet étouffement comme un manque de considération pour ces efforts. Il finit par s'imaginer qu'il n'est qu'un cafard au milieu de ce nid étouffant (je répète ce mot plusieurs fois pour vous faire comprendre mon ressenti vis à vis de cette famille et de son travail). Nous pouvons l'imaginer alité et déambulant dans sa chambre sans but précis, s'éloignant de plus en plus de la réalité jusqu'à ne plus s'alimenter. Nous retrouvons là les symptômes d'une grave dépression.
Malheureusement, sa famille qui le tient cloîtré ne fait rien pour essayer de l'en sortir et l'enfonce de plus en plus jusqu'à la mort. Les dernières pages, lorsque l'employée se débarrasse du corps, sont tragiques et comiques à la fois. La famille retrouvant dans la perte d'un poids lourd, le fils et le frère, la vie et l'ambition qui l'accompagne.
Kafka aura certainement ajouté dans son texte une authenticité personnelle y ajoutant ainsi une crédibilité sérieuse.
Un texte magnifique, avec un arrière-goût de folie, dans un univers égoïste. Un classique à lire absolument...
La métamorphose est le récit, une nouvelle d'une centaine de pages, de Gregor Samsa, honnête travailleur, qui soutient financièrement sa famille suite à la déconvenue de l'affaire commerciale de son père, et qui un matin se sent différent, malade. C'est le premier jour de sa transformation en un insecte répugnant.
Kafka nous propose ici un texte d'une grande originalité, écrit avec une grande justesse, une fluidité et une légèreté extrêmement bien travaillée, faisant de cette nouvelle un plaisir rare de lecture.
Cet auteur et ses textes ont été le sujet de maints études. Celle qui suit est courte, rassurez-vous, et manquera peut-être d'originalité par rapport à d'autres travaux déjà réalisées.
Ce Gregor Samsa a avec sa famille des liaisons comme tout jeune homme peut avoir avec ses parents et sa soeur au début du siècle dernier. Il la respecte, l'aime et et lui consacre sa vie, personnelle et professionnelle. Le père est tyrannique, la mère est effacée et la jeune soeur aimante et simple. Gregor Samsa travaille dans une entreprise pour qui il a une dette contractée par son père. Ce Gregor Samsa est au milieu d'une situation étouffante, sans avenir, et dont il paye chèrement le choix d'autres personnes, bien qu'il ne le ressente pas de cette manière, nous comprenons qu'il vit pieds et poings liés par son père et son travail (le jour même de son absence, il a la visite du fondé de pouvoir de l'entreprise dans laquelle il travaillé pour venir vérifier s'il est bel et bien malade).
Inconsciemment, Gregor Samsa éprouve une gêne, et ressent cet étouffement comme un manque de considération pour ces efforts. Il finit par s'imaginer qu'il n'est qu'un cafard au milieu de ce nid étouffant (je répète ce mot plusieurs fois pour vous faire comprendre mon ressenti vis à vis de cette famille et de son travail). Nous pouvons l'imaginer alité et déambulant dans sa chambre sans but précis, s'éloignant de plus en plus de la réalité jusqu'à ne plus s'alimenter. Nous retrouvons là les symptômes d'une grave dépression.
Malheureusement, sa famille qui le tient cloîtré ne fait rien pour essayer de l'en sortir et l'enfonce de plus en plus jusqu'à la mort. Les dernières pages, lorsque l'employée se débarrasse du corps, sont tragiques et comiques à la fois. La famille retrouvant dans la perte d'un poids lourd, le fils et le frère, la vie et l'ambition qui l'accompagne.
Kafka aura certainement ajouté dans son texte une authenticité personnelle y ajoutant ainsi une crédibilité sérieuse.
Un texte magnifique, avec un arrière-goût de folie, dans un univers égoïste. Un classique à lire absolument...
Invité- Invité
Re: [Kafka, Franz] La métamorphose
Je viens de terminer ce livre. Je pense que tout a été dit auparavant. Ce livre est fait pour nous faire réfléchir sur les relations entre les uns et les autres et sur les liens qui nous unit. J'ai voté apprécié même si ce livre provoque quand même une certaine répulsion.
Invité- Invité
Re: [Kafka, Franz] La métamorphose
J'ai beaucoup aimé ce livre, que j'avais lu étant adolescente et relu à l'âge adulte
Invité- Invité
Re: [Kafka, Franz] La métamorphose
Merci d'avoir fait remonter ce sujet car cela me rappelle que je n'ai toujours pas lu ce livre.
J'aimais pourtant beaucoup Kafka, étant ado : Le procès m'avait plu, et surtout Le château.
J'aimais pourtant beaucoup Kafka, étant ado : Le procès m'avait plu, et surtout Le château.
Invité- Invité
Re: [Kafka, Franz] La métamorphose
J'ai étudié cette nouvelle en cour de français. Je vous montre mon travail :
Titre : La Métamorphose
Auteur : Kafka
Édition : Flammarion
Date de lecture:Mars 2014
Biographie : Kafka est un écrivain allemand, de religion juive, né le 3 juillet 1883. Il a écrit «La Métamorphose» en 1915, «Le Verdict» en 1912, «Le Procès» en 1925, «Le Château» en 1926…(les dates précédentes sont les dates de publication). Kafka meut de la tuberculose en 1924 à Kierling.
La première de couverture : Elle représente une chambre, où un énorme insecte noir est allongé sur le lit, ce qui n’est pas réaliste et fait penser que le récit sera du genre fantastique.
Le récit : La nouvelle débute dans un cadre réaliste : effectivement, le personnage principal, Grégor est dans sa chambre en train de se réveiller. Toutefois, ces éléments favorisent l’irruption du fantastique puisque Grégor et seul et il sort tout juste de son sommeil. C’est un moment propice à une imagination débordante. Dans le récit, le lieu privilégié est la chambre de grégor et le moment privilégié est la réaction et l’évolution de l’attitude de la famille face à cette nouvelle situation. Ni Grégor, ni sa famille ne s’interrogent sur l’explication rationnelle ou surnaturelle des faits. Les personnages considèrent l’évènement comme une fatalité et ne s’étonnent pas de cette métamorphose.
Avis : J’ai beaucoup aimé ce livre. L’écriture est fluide et je n’ai pas eu de mal à la comprendre. Ce livre m’a beaucoup intéressé. Le personnage de Grégor m’a beaucoup touché, on se met à sa place, on est face au désespoir et à sa situation tragique. L’histoire est très originale et complètement absurde. Je n’ai pas aimé le comportement de la famille de Grégor, celle-ci n’a aucune pitié pour lui et même lors de sa fin tragique. Les membres de sa famille n’éprouvent qu’un sentiment de soulagement. J’ai adoré le style de l’auteur, qui utilise un vocabulaire riche. J’apprécie ses descriptions complètes et pertinentes. Cette nouvelle fait réfléchir sur différents sujets : perte du langage, le handicap, l’incapacité à communiquer, la solitude, la perte d’identité, la relation Père-fils, la culpabilité, la routine…
Cette nouvelle a fait l’objet de différentes adaptations théâtrales, cinématographiques. Il a même été repris en bandes dessinées. Je conseille vivement ce livre aux adolescents qui aiment le Fantastique. Pour ma part, je lirai certainement d’autres œuvres de cet auteur.
Titre : La Métamorphose
Auteur : Kafka
Édition : Flammarion
Date de lecture:Mars 2014
Biographie : Kafka est un écrivain allemand, de religion juive, né le 3 juillet 1883. Il a écrit «La Métamorphose» en 1915, «Le Verdict» en 1912, «Le Procès» en 1925, «Le Château» en 1926…(les dates précédentes sont les dates de publication). Kafka meut de la tuberculose en 1924 à Kierling.
La première de couverture : Elle représente une chambre, où un énorme insecte noir est allongé sur le lit, ce qui n’est pas réaliste et fait penser que le récit sera du genre fantastique.
Le récit : La nouvelle débute dans un cadre réaliste : effectivement, le personnage principal, Grégor est dans sa chambre en train de se réveiller. Toutefois, ces éléments favorisent l’irruption du fantastique puisque Grégor et seul et il sort tout juste de son sommeil. C’est un moment propice à une imagination débordante. Dans le récit, le lieu privilégié est la chambre de grégor et le moment privilégié est la réaction et l’évolution de l’attitude de la famille face à cette nouvelle situation. Ni Grégor, ni sa famille ne s’interrogent sur l’explication rationnelle ou surnaturelle des faits. Les personnages considèrent l’évènement comme une fatalité et ne s’étonnent pas de cette métamorphose.
Avis : J’ai beaucoup aimé ce livre. L’écriture est fluide et je n’ai pas eu de mal à la comprendre. Ce livre m’a beaucoup intéressé. Le personnage de Grégor m’a beaucoup touché, on se met à sa place, on est face au désespoir et à sa situation tragique. L’histoire est très originale et complètement absurde. Je n’ai pas aimé le comportement de la famille de Grégor, celle-ci n’a aucune pitié pour lui et même lors de sa fin tragique. Les membres de sa famille n’éprouvent qu’un sentiment de soulagement. J’ai adoré le style de l’auteur, qui utilise un vocabulaire riche. J’apprécie ses descriptions complètes et pertinentes. Cette nouvelle fait réfléchir sur différents sujets : perte du langage, le handicap, l’incapacité à communiquer, la solitude, la perte d’identité, la relation Père-fils, la culpabilité, la routine…
Cette nouvelle a fait l’objet de différentes adaptations théâtrales, cinématographiques. Il a même été repris en bandes dessinées. Je conseille vivement ce livre aux adolescents qui aiment le Fantastique. Pour ma part, je lirai certainement d’autres œuvres de cet auteur.
nouka2000- Grand expert du forum
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Emploi/loisirs : musique / course à pied
Genre littéraire préféré : de tout !!
Date d'inscription : 24/10/2013
Re: [Kafka, Franz] La métamorphose
Lu il y a longtemps.
C'est un COUP DE COEUR pour moi, 10/10 !
Quand je ne vais pas bien, je me dis que j'aurai pu naître "cafard", ca va tout de suite beaucoup mieux !
C'est un COUP DE COEUR pour moi, 10/10 !
Quand je ne vais pas bien, je me dis que j'aurai pu naître "cafard", ca va tout de suite beaucoup mieux !
Invité- Invité
Re: [Kafka, Franz] La métamorphose
J'ai voté : apprécié
En lisant cette nouvelle, j'ai retrouvé l'univers de Franz Kafka que j'avais apprécié dans ma jeunesse.
C'est décalé, absurde, dérangeant ; j'adore !
Il y a toujours cette relation particulière au travail, qui guide la vie et les relations sociales des personnages.
C'est noir, triste, désespéré. Mais ça fait réfléchir.
J'y ai vu une métaphore de la dépression, cet état qui fait qu'on se sent différent, qu'on ne trouve plus sa place ni son utilité dans le monde, qu'on se coupe de sa famille et qu'on perd toute envie de vivre.
J'espérais une fin positive : Gregor s'envolant par la fenêtre.
Mais c'était sans compter sur le pessimisme de Kafka !
Un classique, très court, facile à lire malgré le style travaillé de l'auteur.
J'ai apprécié... mais Le château reste mon livre préféré de cet auteur.
Pour ceux qui veulent découvrir ce château et l'univers de Kafka en images, je conseille le film Kafka de Steven Soderbergh avec Jeremy Irons.
En lisant cette nouvelle, j'ai retrouvé l'univers de Franz Kafka que j'avais apprécié dans ma jeunesse.
C'est décalé, absurde, dérangeant ; j'adore !
Il y a toujours cette relation particulière au travail, qui guide la vie et les relations sociales des personnages.
C'est noir, triste, désespéré. Mais ça fait réfléchir.
J'y ai vu une métaphore de la dépression, cet état qui fait qu'on se sent différent, qu'on ne trouve plus sa place ni son utilité dans le monde, qu'on se coupe de sa famille et qu'on perd toute envie de vivre.
J'espérais une fin positive : Gregor s'envolant par la fenêtre.
Mais c'était sans compter sur le pessimisme de Kafka !
Un classique, très court, facile à lire malgré le style travaillé de l'auteur.
J'ai apprécié... mais Le château reste mon livre préféré de cet auteur.
Pour ceux qui veulent découvrir ce château et l'univers de Kafka en images, je conseille le film Kafka de Steven Soderbergh avec Jeremy Irons.
Invité- Invité
Re: [Kafka, Franz] La métamorphose
Je n'aime pas ce livre même si l'atmosphère me plait. Il y a de l'humour dans ce roman. Il y a une sorte de platitude sans doute dû à l'écriture. Au sortir d'un sommeil agité, Gregor Samsa est transformé en insecte. Cela devrait être angoissant. Je n'ai rien ressenti de tel. Ce roman parle de la famille et de la société du début du siècle dernier. En fait, la présence du narrateur m'a empêchée de m'identifier aux différents acteurs.
Il n'empêche que ce l'un des rares romans que j'ai lu plusieurs fois. Sans doute parce qu'il me résiste.
Il n'empêche que ce l'un des rares romans que j'ai lu plusieurs fois. Sans doute parce qu'il me résiste.
Invité- Invité
Re: [Kafka, Franz] La métamorphose
Moi j'hésite à le mettre dans ma liste , j'ai peur qu'il soit dur dans le sens " triste, déprimant à mort ".
Hortensia- Grand sage du forum
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Localisation : La Lothlórien
Emploi/loisirs : Lecture, voyage et sieste.
Genre littéraire préféré : Tout ! ( sauf la poésie )
Date d'inscription : 08/01/2012
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