[MacDonald, Patricia] Le poids des mensonges
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[MacDonald, Patricia] Le poids des mensonges
Titre : Le poids des mensonges
Auteur : Patricia Mc Donald
Traduit de l’anglais par Nicole Hibert
Éditions : Albin Michel (1 mars 2012)
Collection : Spécial suspense
Nombre de pages: 322 pages
Quatrième de couverture :
Catlin a tout pour être heureuse : un mari avocat qu'elle adore et un beau-fils de six ans qu'elle élève comme le sien puisqu'il a perdu sa mère. Mais quand le petit Geordie disparaît un jour où elle le conduit à l'école, ce rêve de famille idéale s'effondre. Bientôt son mari la croit coupable alors que tous les mensonges sur lesquels elle a bâti son mariage font surface. Séparée de son mari, en proie au désespoir, Catlin va tout faire pour retrouver Geordie et prouver qu'elle mérite l'amour des siens. Mais il lui faudra pour cela mettre au jour de terribles secrets de famille...
Mon avis :
On a tous de petites choses qui nous semblent insupportables (alors qu’en fait, ce n’est rien et il n’y a que nous qui trouvons cela difficile à vivre.).
Moi, par exemple, j’exècre les expressions toutes faites, à la mode, galvaudées d’ici, de là et que l’on vous ressort à tout bout de champ pour faire « style » comme diraient mes élèves.
Une des dernières, que l’on rencontre beaucoup, partout, c’est « Ce livre est un véritable « page turner » ». Je ne sais pas qui le premier a écrit cela mais il aurait dû déposer un brevet et exiger des droits de copyright.
Donc, je pourrais qualifier le dernier roman de Patricia McDonald de « page turner » …
Mais ce serait, à mon sens, un raccourci beaucoup trop facile et qui n’apporterait rien de plus, les « page turner » étant légion sur le marché.
Il faut déjà souligner la traduction de qualité, permettant de bien situer les différentes ambiances du livre avec un vocabulaire varié. En effet, il ne s’agit pas de tressaillir chaque fois qu’un des personnages a peur mais d’une véritable palette d’émotions bien retranscrites. Malgré tout, un des reproches pourrait être que parfois, cela fait presque trop énumération:, les actes étant disséqués un à un (ex : elle s’adossa à la chaise, elle respira à fond puis écouta… ».
Mais cela ne pèse pas parce qu’on est pris par l’histoire.
Peut-être encore plus si on est une femme (après le page-turner, je pourrais sortir l’expression « polar de femme »…) car on se prend d’affection pour Catlin, cette jeune épouse qui aime et élève un enfant qui n’est pas le sien et sur qui le sort s’acharne.
Si on en reste à cette approche, on part sur l’idée d’un roman policier classique bien ficelé, sans temps mort avec son lot de révélations et de surprises et il faut reconnaître tout le talent de l’auteur pour vous maintenir en haleine et vous embarquer sur de fausses pistes jusqu’aux dernières pages.
De plus, les nombreux dialogues donnent de la légèreté et rendent le contenu très « vivant », très visuel (il s’agit d’une histoire qui s’adapterait sans soucis en téléfilm).
Donc une recette qui fonctionne : héros attachants, enfants qui ont des soucis, écriture fluide …
De plus, la jeune femme est opiniâtre, tenace, ne laissant rien au hasard, elle essaie de comprendre, de pousser les gens dans leurs retranchements pour qu’ils avouent ce qu’ils savent … et bien entendu, elle ne manque pas d’intuition féminine (on pardonnera les heureuses coïncidences qui font évoluer l’intrigue dans le bon sens).
Mais au-delà de tout cela, je pense qu’il est intéressant de se pencher sur les différents sujets évoqués et d’arriver ainsi à un second degré de lecture, un peu plus soutenu.
Beaucoup de sujets sont évoqués, des sujets graves, lourds : le poids des non-dits, des secrets familiaux, de ces « cadavres dans le placard » dont on ne sait pas s’il est vraiment bon de les réveiller, de la place des uns et des autres dans des familles dites recomposées ….
Sujets graves, importants et là viendront mes questions :
Est-ce que Madame Mc Donald choisit de ne pas aller plus loin, de se contenter d’effleurer ces points pour ne pas alourdir ces romans ?
Est-ce qu’elle n’a pas le souhait de faire plus approfondi car elle préfère toucher un public plus large avec une lecture plus limpide ?
Ou, est ce que cela ne l’intéresse pas d’aller plus loin ?
J’ai lu tous ses romans, ils ont des points communs, des gentils héros qui après beaucoup de malheurs, vont s’en sortir mais ses histoires se devinent moins que celles de MHC (je ne la nomme pas en entier, je ne veux pas lui faire de peine). Elle « vieillit » mieux car elle réussit toujours à nous scotcher à son livre …
Par contre, je pense qu’elle aurait les moyens d’écrire des livres encore meilleurs, avec des protagonistes au profil psychologique plus défini, des débats plus « fouillés » et si elle me lit un jour, je lui souhaite de tenter l’expérience qui ne pourra qu’être enrichissante !!!
Moi, par exemple, j’exècre les expressions toutes faites, à la mode, galvaudées d’ici, de là et que l’on vous ressort à tout bout de champ pour faire « style » comme diraient mes élèves.
Une des dernières, que l’on rencontre beaucoup, partout, c’est « Ce livre est un véritable « page turner » ». Je ne sais pas qui le premier a écrit cela mais il aurait dû déposer un brevet et exiger des droits de copyright.
Donc, je pourrais qualifier le dernier roman de Patricia McDonald de « page turner » …
Mais ce serait, à mon sens, un raccourci beaucoup trop facile et qui n’apporterait rien de plus, les « page turner » étant légion sur le marché.
Il faut déjà souligner la traduction de qualité, permettant de bien situer les différentes ambiances du livre avec un vocabulaire varié. En effet, il ne s’agit pas de tressaillir chaque fois qu’un des personnages a peur mais d’une véritable palette d’émotions bien retranscrites. Malgré tout, un des reproches pourrait être que parfois, cela fait presque trop énumération:, les actes étant disséqués un à un (ex : elle s’adossa à la chaise, elle respira à fond puis écouta… ».
Mais cela ne pèse pas parce qu’on est pris par l’histoire.
Peut-être encore plus si on est une femme (après le page-turner, je pourrais sortir l’expression « polar de femme »…) car on se prend d’affection pour Catlin, cette jeune épouse qui aime et élève un enfant qui n’est pas le sien et sur qui le sort s’acharne.
Si on en reste à cette approche, on part sur l’idée d’un roman policier classique bien ficelé, sans temps mort avec son lot de révélations et de surprises et il faut reconnaître tout le talent de l’auteur pour vous maintenir en haleine et vous embarquer sur de fausses pistes jusqu’aux dernières pages.
De plus, les nombreux dialogues donnent de la légèreté et rendent le contenu très « vivant », très visuel (il s’agit d’une histoire qui s’adapterait sans soucis en téléfilm).
Donc une recette qui fonctionne : héros attachants, enfants qui ont des soucis, écriture fluide …
De plus, la jeune femme est opiniâtre, tenace, ne laissant rien au hasard, elle essaie de comprendre, de pousser les gens dans leurs retranchements pour qu’ils avouent ce qu’ils savent … et bien entendu, elle ne manque pas d’intuition féminine (on pardonnera les heureuses coïncidences qui font évoluer l’intrigue dans le bon sens).
Mais au-delà de tout cela, je pense qu’il est intéressant de se pencher sur les différents sujets évoqués et d’arriver ainsi à un second degré de lecture, un peu plus soutenu.
Beaucoup de sujets sont évoqués, des sujets graves, lourds : le poids des non-dits, des secrets familiaux, de ces « cadavres dans le placard » dont on ne sait pas s’il est vraiment bon de les réveiller, de la place des uns et des autres dans des familles dites recomposées ….
Sujets graves, importants et là viendront mes questions :
Est-ce que Madame Mc Donald choisit de ne pas aller plus loin, de se contenter d’effleurer ces points pour ne pas alourdir ces romans ?
Est-ce qu’elle n’a pas le souhait de faire plus approfondi car elle préfère toucher un public plus large avec une lecture plus limpide ?
Ou, est ce que cela ne l’intéresse pas d’aller plus loin ?
J’ai lu tous ses romans, ils ont des points communs, des gentils héros qui après beaucoup de malheurs, vont s’en sortir mais ses histoires se devinent moins que celles de MHC (je ne la nomme pas en entier, je ne veux pas lui faire de peine). Elle « vieillit » mieux car elle réussit toujours à nous scotcher à son livre …
Par contre, je pense qu’elle aurait les moyens d’écrire des livres encore meilleurs, avec des protagonistes au profil psychologique plus défini, des débats plus « fouillés » et si elle me lit un jour, je lui souhaite de tenter l’expérience qui ne pourra qu’être enrichissante !!!
Dernière édition par Elyuna le Sam 26 Oct 2013 - 22:05, édité 2 fois (Raison : correction d'une faute)
Cassiopée- Admin
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Re: [MacDonald, Patricia] Le poids des mensonges
très jolie critique ca m'a l'air bien tentant
louloute- Grand sage du forum
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Re: [MacDonald, Patricia] Le poids des mensonges
J'aime beaucoup cet auteur, alors je le note. Merci
En revanche je ne connais rien aux expressions, il n'y a pas longtemps que je sais ce que veut dire LOL ou MDR,
Sinon ça veut dire quoi "page turner" ?
En revanche je ne connais rien aux expressions, il n'y a pas longtemps que je sais ce que veut dire LOL ou MDR,
Sinon ça veut dire quoi "page turner" ?
lili78- Grand sage du forum
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Re: [MacDonald, Patricia] Le poids des mensonges
Page turner, cela signifie que les pages tournent toutes seules, on les enchaîne très vite car la lecture est "prenante"...
Littéralement "tourne pages"
Littéralement "tourne pages"
Dernière édition par Cassiopée le Dim 11 Mar 2012 - 23:02, édité 1 fois
Cassiopée- Admin
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Re: [MacDonald, Patricia] Le poids des mensonges
Cassiopée a écrit:Page turner, cela signifie que les pages tournent toutes seules, on les enchaîne très vite car la lecture est "prenante"...
me voilà moins bête !
lili78- Grand sage du forum
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Re: [MacDonald, Patricia] Le poids des mensonges
ben moi aussi je savais pas
louloute- Grand sage du forum
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Re: [MacDonald, Patricia] Le poids des mensonges
Très bon livre , même si j'ai été moins emporté dans ma lecture que lorsque j'ai lu Rapt de nuit, j'ai tout de même beaucoup aimé ! Une fois de plus l'auteure arrive à nous mener en bateau, on pense avoir trouvé de suite le coupable mais on se trompe! Celui-ci n'est découvert qu'à la fin, c'est dire comme l'histoire est bien ficelée et le suspens entretenu !
Catlin est accusée dès le début, et pourtant elle ne perd pas pied et va se démener pour retrouver Geordie et par la même occasion le coupable...
D'ailleurs qui aurait pensé à lui???? Connait-on vraiment ses proches ??? Catlin, elle s'était bien trompée sur les gens qui l'entourait, car au fur et mesure que l'enquête avance, les petits secrets de chacun apparaissent au jour ......
Catlin est accusée dès le début, et pourtant elle ne perd pas pied et va se démener pour retrouver Geordie et par la même occasion le coupable...
D'ailleurs qui aurait pensé à lui???? Connait-on vraiment ses proches ??? Catlin, elle s'était bien trompée sur les gens qui l'entourait, car au fur et mesure que l'enquête avance, les petits secrets de chacun apparaissent au jour ......
Invité- Invité
Re: [MacDonald, Patricia] Le poids des mensonges
Je n'ai encore rien lu d'elle, mais j'ai "J'ai épousé un inconnu" dans ma PAL. Je ne vais pas tarder à le lire je pense. Merci pour ta critique.
Invité- Invité
Re: [MacDonald, Patricia] Le poids des mensonges
Cassiopée a écrit:
Titre : Le poids des mensonges
Auteur : Patricia Mc Donald
Traduit de l’anglais par Nicole Hibert
Éditions : Albin Michel (1 mars 2012)
Collection : Spécial suspense
Nombre de pages: 322 pages
Quatrième de couverture :
Catlin a tout pour être heureuse : un mari avocat qu'elle adore et un beau-fils de six ans qu'elle élève comme le sien puisqu'il a perdu sa mère. Mais quand le petit Geordie disparaît un jour où elle le conduit à l'école, ce rêve de famille idéale s'effondre. Bientôt son mari la croit coupable alors que tous les mensonges sur lesquels elle a bâti son mariage font surface. Séparée de son mari, en proie au désespoir, Catlin va tout faire pour retrouver Geordie et prouver qu'elle mérite l'amour des siens. Mais il lui faudra pour cela mettre au jour de terribles secrets de famille...
Mon avis :On a tous de petites choses qui nous semblent insupportables (alors qu’en fait, ce n’est rien et il n’y a que nous qui trouvons cela difficile à vivre.).
Moi, par exemple, j’exècre les expressions toutes faites, à la mode, galvaudées d’ici, de là et que l’on vous ressort à tout bout de champ pour faire « style » comme diraient mes élèves.
Une des dernières, que l’on rencontre beaucoup, partout, c’est « Ce livre est un véritable « page turner » ». Je ne sais pas qui le premier a écrit cela mais il aurait dû déposer un brevet et exiger des droits de copyright.
Donc, je pourrais qualifier le dernier roman de Patricia McDonald de « page turner » …
Mais ce serait, à mon sens, un raccourci beaucoup trop facile et qui n’apporterait rien de plus, les « page turner » étant légion sur le marché.
Il faut déjà souligner la traduction de qualité, permettant de bien situer les différentes ambiances du livre avec un vocabulaire varié. En effet, il ne s’agit pas de tressaillir chaque fois qu’un des personnages a peur mais d’une véritable palette d’émotions bien retranscrites. Malgré tout, un des reproches pourrait être que parfois, cela fait presque trop énumération:, les actes étant disséqués un à un (ex : elle s’adossa à la chaise, elle respira à fond puis écouta… ».
Mais cela ne pèse pas parce qu’on est pris par l’histoire.
Peut-être encore plus si on est une femme (après le page-turner, je pourrais sortir l’expression « polar de femme »…) car on se prend d’affection pour Catlin, cette jeune épouse qui aime et élève un enfant qui n’est pas le sien et sur qui le sort s’acharne.
Si on en reste à cette approche, on part sur l’idée d’un roman policier classique bien ficelé, sans temps mort avec son lot de révélations et de surprises et il faut reconnaître tout le talent de l’auteur pour vous maintenir en haleine et vous embarquer sur de fausses pistes jusqu’aux dernières pages.
De plus, les nombreux dialogues donnent de la légèreté et rendent le contenu très « vivant », très visuel (il s’agit d’une histoire qui s’adapterait sans soucis en téléfilm).
Donc une recette qui fonctionne : héros attachants, enfants qui ont des soucis, écriture fluide …
De plus, la jeune femme est opiniâtre, tenace, ne laissant rien au hasard, elle essaie de comprendre, de pousser les gens dans leurs retranchements pour qu’ils avouent ce qu’ils savent … et bien entendu, elle ne manque pas d’intuition féminine (on pardonnera les heureuses coïncidences qui font évoluer l’intrigue dans le bon sens).
Mais au-delà de tout cela, je pense qu’il est intéressant de se pencher sur les différents sujets évoqués et d’arriver ainsi à un second degré de lecture, un peu plus soutenu.
Beaucoup de sujets sont évoqués, des sujets graves, lourds : le poids des non-dits, des secrets familiaux, de ces « cadavres dans le placard » dont on ne sait pas s’il est vraiment bon de les réveiller, de la place des uns et des autres dans des familles dites recomposées ….
Sujets graves, importants et là viendront mes questions :
Est-ce que Madame Mc Donald choisit de ne pas aller plus loin, de se contenter d’effleurer ces points pour ne pas alourdir ces romans ?
Est-ce qu’elle n’a pas le souhait de faire plus approfondi car elle préfère toucher un public plus large avec une lecture plus limpide ?
Ou, est ce que cela ne l’intéresse pas d’aller plus loin ?
J’ai lu tous ses romans, ils ont des points communs, des gentils héros qui après beaucoup de malheurs, vont s’en sortir mais ses histoires se devinent moins que celles de MHC (je ne la nomme pas en entier, je ne veux pas lui faire de peine). Elle « vieillit » mieux car elle réussit toujours à nous scotcher à son livre …
Par contre, je pense qu’elle aurait les moyens d’écrire des livres encore meilleurs, avec des protagonistes au profil psychologique plus défini, des débats plus « fouillés » et si elle me lit un jour, je lui souhaite de tenter l’expérience qui ne pourra qu’être enrichissante !!!
Invité- Invité
Re: [MacDonald, Patricia] Le poids des mensonges
je viens d'en achever la lecture ... réaction "à chaud" donc !
un tissu d’invraisemblances , des personnages stéréotypés : vraiment déçue par cette auteur que j'avais tant appréciée à ses débuts
L'héroïne a des réactions et un comportement difficilement crédibles, elle joue les détectives et on se croirait par moments dans le club des 5
L'homophobie et la guerre en Irak pour faire dans l'air du temps
Page turner en TGV histoire de connaitre la fin ... et de passer au livre suivant
un tissu d’invraisemblances , des personnages stéréotypés : vraiment déçue par cette auteur que j'avais tant appréciée à ses débuts
L'héroïne a des réactions et un comportement difficilement crédibles, elle joue les détectives et on se croirait par moments dans le club des 5
L'homophobie et la guerre en Irak pour faire dans l'air du temps
Page turner en TGV histoire de connaitre la fin ... et de passer au livre suivant
Invité- Invité
Re: [MacDonald, Patricia] Le poids des mensonges
Avis : J’ai beaucoup aimé ce livre. L’écriture est simple et fluide. L’auteur nous tient en haleine jusqu’au bout, une très belle intrigue. L’auteur décrit bien les sentiments de chaque personnage. Je suis vraiment rentré dans l’histoire et j’ai ressenti les mêmes émotions que les personnages. Le dénouement m’a vraiment étonné, je m’attendais à tout le monde sauf à cette personne. Bref un agréable moment de lecture. Je vote beaucoup apprécié.
nouka2000- Grand expert du forum
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Re: [MacDonald, Patricia] Le poids des mensonges
nouka2000 a écrit:Avis : J’ai beaucoup aimé ce livre. L’écriture est simple et fluide. L’auteur nous tient en haleine jusqu’au bout, une très belle intrigue. L’auteur décrit bien les sentiments de chaque personnage. Je suis vraiment rentré dans l’histoire et j’ai ressenti les mêmes émotions que les personnages. Le dénouement m’a vraiment étonné, je m’attendais à tout le monde sauf à cette personne. Bref un agréable moment de lecture. Je vote beaucoup apprécié.
idem pour moi sauf ce que j'ai souligné j'avais compris que c'était cette personne dés la moitié du livre
Invité- Invité
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