[Hagé, Adrian (d')] Le Codex Maya

Titre: Le Codex Maya
Auteur: Adrian D'Hagé
Edition: Pocket
Nombre de page: 500

Résumé:

Dans les profondeurs de la jungle guatémaltèque se cache depuis la nuit des temps le Codex maya, un mystérieux texte prophétisant la fin du monde en décembre 2012. Prête à tout pour retrouver le document sacré, la jeune archéologue Aleta Weizman peut compter sur l'aide de l'agent de la CIA chargé de la surveiller, Curtis O'Connor. Mais si découvrir le Codex pouvait sauver notre civilisation, pourquoi des forces puissantes à Rome et à Washington tentent par tous les moyens de les en empêcher ? Des antichambres du pouvoir de l'Allemagne nazie aux couloirs de la Maison-Blanche, des archives secrètes du Vatican aux pyramides des cités perdues d'Amérique centrale, un thriller palpitant à la poursuite d'un texte qui pourrait sauver l'humanité… avant qu'il ne soit trop tard.

Critique:

Je suis assez partagée sur la critique de ce livre. On commence le 1er chapitre en suivant Aleta Weizman qui se promène dans Vienne et continue ses recherches sur le codex Maya. Ensuite on passe directement sur son grand-père Levi Weizman, qui avait commencé ses recherches qui a trouvé une statuette qui permettait de trouver ce codex. Au début, ça m'a assez perturbé puis je suis rentrée dans l'histoire. Donc Levi Weizman est un grand archéologue spécialiste sur les Mayas mais est juif... Pas que ce soit un défaut, mais nous sommes dans la fin des années 30. Malgré sa religion, Hitler juge bon de l'emmener lors d'une expédition au Guatemala. Les nazis sont à la recherche d'un lien entre les Mayas et la races aryenne, Levi Weizman lui, profite de ce voyage pour continuer ses recherches sur le codex. Tout ne se passe évidemment pas comme prévu pour lui et il réussit de peu à s'échapper du Guatemala et retrouve sa famille à Vienne pour essayer de la sauver des mains des nazis. Ils n'ont malheureusement pas le temps, sont capturés et envoyés à Mauthausen.

J'ai trouvé cette partie du livre très intéressante, seulement, pendant qu'on en apprend plus sur le grand-père d'Aleta et sur son père, on avance pas vraiment dans son histoire à elle, puisqu'elle est le personnage principal. Du coup on revient au moment présent presque au 3/4 du livre et forcément tout se passe très vite. Ce que j'ai trouvé assez dommage. Peut-être aurait-il fallu, soit raccourcir le passage où on est à l'époque nazie, soit rallonger le livre pour que la quête ne paraisse pas aussi simple. Ça semble tellement simple, qu'on se demande comment cela se fait que personne n'ait découvert ce codex plus tôt.

Ce qui m'a paru fouillis aussi c'est qu'il y a plein d'autres légendes qui se mêlent à cette histoire. On passe donc par le Vatican où le fameux secret de Fatima aurait un lien avec la prédiction Maya du 21.12.12, sans oublier la CIA, qui ne veut pas voir le codex révéler au monde qui essaye de tuer Aleta. Un complot américain qui essaye d'éliminer une base souterraine iranienne avec une espèce de bombe incroyable qui bouleverserait toute la terre entière. Je peux comprendre cette intrigue de bombe américaine et de base iranienne, mais franchement j'ai trouvé complètement inutile le fait de faire intervenir le Vatican ainsi que les 3 secrets de Fatima.

Bref, si vous êtes un grand habitué des thrillers de ce genre, je dirais, passez votre chemin. Il n'est pas de grand intérêt. Par contre, si vous avez envie de passer le temps, il se lit assez facilement, et malgré le fait qu'il y ait beaucoup d'intervenants et beaucoup d'histoires mélangées, on comprend l'histoire et on est pas trop perdu.

Je suis pas très douée pour faire des résumés et des critiques sur un livre, mais si vous avez une question n'hésitez pas

Merci Flopke pour ta critique      le fouillis que tu dis ne me dis rien qui vailles   

J'ai lu ce livre il y a quelques temps déjà. Et je me souviens avoir grandement apprécié la lecture.
Peut-être parce que je m’intéresse beaucoup à toutes ces civilisations disparues (Incas, Mayas ...)

Effectivement, au début de la lecture ça fait un peu fouillis, mais on finit vite par retrouver le fil de sa lecture.

J'en garde un bon souvenir.