[Cartwright, Justin] La promesse du bonheur
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[Cartwright, Justin] La promesse du bonheur
[Cartwright, Justin] La promesse du bonheur
Cartwright
La promesse du bonheur
Babel janvier 2014
ISBN 978 2 330 02704 9
403 pages
Quatrième de couverture
Charles Judd arpente la plage de son village de Cornouailles en méditant sur le tour pris par son existence. Daphné, son épouse, se débat avec la dernière recette de poisson à la mode, tentative désespérée pour contrôler au moins un pan de sa vie. Deux de leurs enfants s’en sont sortis – plus ou moins. Mais tous les quatre se remettent difficilement du choc causé par la détention, dans l’État de New York, de Juliet, la fille prodigue, reconnue complice du vol d’une oeuvre d’art. Pour Charles, depuis, c’est comme s’il avait perdu toute sa famille. Mais avec la libération de Juliet, les Judd sont sur le point d’être réunis, et les blessures se rouvrent.
Comparé outre-Manche à Expiation de Ian McEwan et aux Corrections de Jonathan Franzen, La Promesse du bonheur dresse le portrait acerbe et subtil d’une famille en crise. Par son sens du trait, son art de la mise en scène et une écriture aussi précise qu’élégante, Justin Cartwright s’y affirme comme l’un des plus fins romanciers anglais contemporains
Prologue
Charles, un homme de soixante-huit ans fait ses petits besoins sur les minuscules coquillages d’une plage en Cornouailles.
Daphné, une femme de soixante-quatre ans tente de lever les filets d’un maquereau dans la cuisine sombre d’une maison aux murs blanchis à la chaux et aux toits d’ardoises.
Sophie, une jeune femme de vingt-trois ans participe au tournage d’un film publicitaire dans un studio de Sheperton, près de Londres.
Charlie, un homme de vingt-huit ans loue une voiture à l’agence Alamo Rentals de Buffalo-Niagara, dans l’état de NewYork.
Juju, une femme de trente-deux ans, ses bagages faits, est assise sur son lit de la prison fédérale de Loon Lake, dans j’état de New York.
Voila les Judd, autrefois londoniens et aujourd’hui dispersés, mais, telles les feuilles tourbillonnant au vent, sur le point d’être à nouveau réunis.
Mon avis
C’est l’histoire de l’éprouvant retour d’une jeune femme dans sa famille, son jeune frère Charlie est là pour l’aider, un père qui n’accepte pas ce séjour en prison, sur deux ans de détention ne lui a pas rendu visite, peut-être changera t-il d’avis lors du retour de celle-ci. Les amants de Sophie, sa jeune sœur qui veut devenir écrivain, il est vrai qu’elle a de quoi raconter. Quand à Charlie, il vit en couple avec Ana, celle-ci est enceinte, honte sur la famille s’ils ne marient pas, un mariage qui doit être fastueux. Ce roman est le portrait d’une famille, traversée par les épreuves, ce qui a modifié le regard de tous sur le monde. C’est aussi l’histoire d’une résurrection, un retour à la vie après deux ans d’enfermement, la lente recomposition de la famille, c’est tout cela la promesse du bonheur….J’ai aimé la très belle lettre que Charles écrit à sa fille. Une histoire bien construite mais avec un petit bémol pour les descriptions assez longues sur les préparatifs pour le mariage, dommage car j’ai apprécié l’histoire.
La promesse du bonheur
Babel janvier 2014
ISBN 978 2 330 02704 9
403 pages
Quatrième de couverture
Charles Judd arpente la plage de son village de Cornouailles en méditant sur le tour pris par son existence. Daphné, son épouse, se débat avec la dernière recette de poisson à la mode, tentative désespérée pour contrôler au moins un pan de sa vie. Deux de leurs enfants s’en sont sortis – plus ou moins. Mais tous les quatre se remettent difficilement du choc causé par la détention, dans l’État de New York, de Juliet, la fille prodigue, reconnue complice du vol d’une oeuvre d’art. Pour Charles, depuis, c’est comme s’il avait perdu toute sa famille. Mais avec la libération de Juliet, les Judd sont sur le point d’être réunis, et les blessures se rouvrent.
Comparé outre-Manche à Expiation de Ian McEwan et aux Corrections de Jonathan Franzen, La Promesse du bonheur dresse le portrait acerbe et subtil d’une famille en crise. Par son sens du trait, son art de la mise en scène et une écriture aussi précise qu’élégante, Justin Cartwright s’y affirme comme l’un des plus fins romanciers anglais contemporains
Prologue
Charles, un homme de soixante-huit ans fait ses petits besoins sur les minuscules coquillages d’une plage en Cornouailles.
Daphné, une femme de soixante-quatre ans tente de lever les filets d’un maquereau dans la cuisine sombre d’une maison aux murs blanchis à la chaux et aux toits d’ardoises.
Sophie, une jeune femme de vingt-trois ans participe au tournage d’un film publicitaire dans un studio de Sheperton, près de Londres.
Charlie, un homme de vingt-huit ans loue une voiture à l’agence Alamo Rentals de Buffalo-Niagara, dans l’état de NewYork.
Juju, une femme de trente-deux ans, ses bagages faits, est assise sur son lit de la prison fédérale de Loon Lake, dans j’état de New York.
Voila les Judd, autrefois londoniens et aujourd’hui dispersés, mais, telles les feuilles tourbillonnant au vent, sur le point d’être à nouveau réunis.
Mon avis
C’est l’histoire de l’éprouvant retour d’une jeune femme dans sa famille, son jeune frère Charlie est là pour l’aider, un père qui n’accepte pas ce séjour en prison, sur deux ans de détention ne lui a pas rendu visite, peut-être changera t-il d’avis lors du retour de celle-ci. Les amants de Sophie, sa jeune sœur qui veut devenir écrivain, il est vrai qu’elle a de quoi raconter. Quand à Charlie, il vit en couple avec Ana, celle-ci est enceinte, honte sur la famille s’ils ne marient pas, un mariage qui doit être fastueux. Ce roman est le portrait d’une famille, traversée par les épreuves, ce qui a modifié le regard de tous sur le monde. C’est aussi l’histoire d’une résurrection, un retour à la vie après deux ans d’enfermement, la lente recomposition de la famille, c’est tout cela la promesse du bonheur….J’ai aimé la très belle lettre que Charles écrit à sa fille. Une histoire bien construite mais avec un petit bémol pour les descriptions assez longues sur les préparatifs pour le mariage, dommage car j’ai apprécié l’histoire.
lalyre- Grand sage du forum
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Age : 92
Localisation : Liège (Belgique )
Emploi/loisirs : jardinage,lecture
Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
Re: [Cartwright, Justin] La promesse du bonheur
Merci Lalyre pour ta critique
louloute- Grand sage du forum
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Age : 56
Localisation : Var, Sanary-sur-mer
Emploi/loisirs : mère au foyer
Genre littéraire préféré : thriller, historique, policier
Date d'inscription : 11/12/2009
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