[Brandreth, Gyles] Oscar Wilde - Tome 4 : Oscar Wilde et les crimes du Vatican.
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[Brandreth, Gyles] Oscar Wilde - Tome 4 : Oscar Wilde et les crimes du Vatican.
Titre : Oscar Wilde et les crimes du Vatican
Auteur : Gyles Brandreth
Editeur : 10/18
Nombre de pages : 400 pages.
Auteur : Gyles Brandreth
Editeur : 10/18
Nombre de pages : 400 pages.
Présentation de l’éditeur :
En 1892, Arthur Conan Doyle, épuisé d?avoir crée son personnage Sherlock Homes, se retire au spa de Bad Homburg, en Allemagne. Mais sa cure de repos ne se déroule pas comme prévue. La première personne qu?il voit est Oscar Wilde et quand les deux amis font une série de découvertes macabres parmi le courrier des lecteurs auquel Conan Doyle avait prévu de répondre, (un doigt sectionné, une mèche de cheveux et même une main), ils sentent que le jeu ne fait que commencer. La piste les mène à Rome, au c?ur de la citééternelle, au Vatican. Le Pape Pie IX vient de mourir. Les temps sont incertains. Pour résoudre le mystère et comprendre pourquoi l?inventeur de Sherlock Homes a été convoqué de la sorte, Oscar et Conan Doyle s?introduisent dans le cercle le plus privé de l?Eglise Catholique, où les sept hommes religieux les plus influents du monde, ont beaucoup à perdre.
Mon avis :
Arthur Conan Doyle est à deux doigts de ce que nous qualifierons de nos jours d’un burn-out. Sherlock Holmes l’épuise, et s’il prend des vacances, c’est pour mettre ses distances entre lui et sa création. Difficile, n’est-ce pas ? Il est quasiment impossible de partir en se laissant derrière soi. Pas de chance : il croise Oscar Wilde en villégiature ! Pire : en ouvrant le courrier de Sherlock Holmes en retard, il découvre des indices plutôt sanglants, et se rend compte qu’il aurait peut-être dû ouvrir son courrier plus tôt ! Autant dire que c’en est fini des vacances, du moins, au sens où l’entendait Arthur. Lui et Oscar partent pour le Vatican.
J’ai ainsi découvert que la communauté anglaise était importante à Rome, qu’elle soit catholique, ou anglicane, et qu’elle gardait toute son affection pour le thé et les sandwichs au concombre. Ce séjour à Rome, en compagnie de Wilde et de Conan Doyle est presque serein, presque apaisant, entre visite de la ville, et audience auprès des prélats. C’est aussi l’occasion de retrouvailles, entre Wilde et un vieil ennemi, entre Conan Doyle et un ancien condisciple, entre les souvenirs et le présent. Oscar et Arthur rencontrent aussi un singulier médecin, qui soulage ses patients lorsque leur agonie est trop longue.
Ils n’oublient pourtant pas d’enquêter. Enquête en deux temps : qui est mort ? Qui les a fait venir et pourquoi ? Wilde trouvera les réponses aux deux questions, et révélera la vérité dans un final que n’aurait pas renié Hercule Poirot. Les apparences ne sont pas trompeuses, il faut simplement les déchiffrer. L’esprit pétille littéralement dans ce roman, comme les bulles de champagne que Wilde consomme sans aucune modération mais pour la bonne cause.
En 1892, Arthur Conan Doyle, épuisé d?avoir crée son personnage Sherlock Homes, se retire au spa de Bad Homburg, en Allemagne. Mais sa cure de repos ne se déroule pas comme prévue. La première personne qu?il voit est Oscar Wilde et quand les deux amis font une série de découvertes macabres parmi le courrier des lecteurs auquel Conan Doyle avait prévu de répondre, (un doigt sectionné, une mèche de cheveux et même une main), ils sentent que le jeu ne fait que commencer. La piste les mène à Rome, au c?ur de la citééternelle, au Vatican. Le Pape Pie IX vient de mourir. Les temps sont incertains. Pour résoudre le mystère et comprendre pourquoi l?inventeur de Sherlock Homes a été convoqué de la sorte, Oscar et Conan Doyle s?introduisent dans le cercle le plus privé de l?Eglise Catholique, où les sept hommes religieux les plus influents du monde, ont beaucoup à perdre.
Mon avis :
Arthur Conan Doyle est à deux doigts de ce que nous qualifierons de nos jours d’un burn-out. Sherlock Holmes l’épuise, et s’il prend des vacances, c’est pour mettre ses distances entre lui et sa création. Difficile, n’est-ce pas ? Il est quasiment impossible de partir en se laissant derrière soi. Pas de chance : il croise Oscar Wilde en villégiature ! Pire : en ouvrant le courrier de Sherlock Holmes en retard, il découvre des indices plutôt sanglants, et se rend compte qu’il aurait peut-être dû ouvrir son courrier plus tôt ! Autant dire que c’en est fini des vacances, du moins, au sens où l’entendait Arthur. Lui et Oscar partent pour le Vatican.
J’ai ainsi découvert que la communauté anglaise était importante à Rome, qu’elle soit catholique, ou anglicane, et qu’elle gardait toute son affection pour le thé et les sandwichs au concombre. Ce séjour à Rome, en compagnie de Wilde et de Conan Doyle est presque serein, presque apaisant, entre visite de la ville, et audience auprès des prélats. C’est aussi l’occasion de retrouvailles, entre Wilde et un vieil ennemi, entre Conan Doyle et un ancien condisciple, entre les souvenirs et le présent. Oscar et Arthur rencontrent aussi un singulier médecin, qui soulage ses patients lorsque leur agonie est trop longue.
Ils n’oublient pourtant pas d’enquêter. Enquête en deux temps : qui est mort ? Qui les a fait venir et pourquoi ? Wilde trouvera les réponses aux deux questions, et révélera la vérité dans un final que n’aurait pas renié Hercule Poirot. Les apparences ne sont pas trompeuses, il faut simplement les déchiffrer. L’esprit pétille littéralement dans ce roman, comme les bulles de champagne que Wilde consomme sans aucune modération mais pour la bonne cause.
Sharon- Modérateur
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Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
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