[Brucher, Eric] La blancheur des étoiles
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[Brucher, Eric] La blancheur des étoiles
[Brucher, Eric] La blancheur des étoiles
[Brucher, Eric]
La blancheur des étoiles
Ed. Luce Wilquin 23 avril 2014
ISBN 978 2 88253 485 9
181 pages
Quatrième de couverture
Une histoire de vie et de mort, de douleur et de jouissance sur fond d'errance urbaine. Une fille-mère et son chevalier furieux courant après des moulins à vent, un amour qui cherche les étoiles où s'effacent les haines et les peurs. Des immeubles et la révolte de graffitis, l'ivresse des martinets et le vacarme d'un scooter pour crever la vieille indifférence du monde. La mémoire de femmes fuyant le pouvoir des hommes. La jeune maternité surtout, la plénitude de la grossesse, et l'enfant que dévorent les ogres ordinaires. L'histoire est librement inspirée d'un témoignage : une fille-mère privée de son enfant, forcée d'avorter d'un deuxième et qui a voulu mourir……………………………..
Petite chronique
L’auteur avec brio parvient à nous faire ressentir le mal-être de Serena. Cela ressemble à un conte ou une fée malfaisante se serait penchée sur son berceau. Car la peu sereine jeune fille dont il est question dans ce récit, en tout cas au début est déroutante. L’auteur nous raconte ce qui s’est passé pour que Serena attende un enfant et ce qu’est devenu le père. Allergique aux études, sans aucun revenu, elle est mise sous tutelle étant encore mineure, cela parce que Maria, sa mère a demandé la garde de l’enfant, bien qu’elle-même fut un jour fille-mère mais dans un autre contexte. Lorsque Serena attend un deuxième d’un homme inconnu rencontré lors de ses errances, la juge lui ordonne d’avorter. Mais voila que quelques mois plus tard elle attend un troisième enfant que cette fois il sera impossible de lui enlever, car voila, il y a deux pères qui ont leur importance dans cette histoire et c’est l’un des deux qui va déterminer la vie de Serena….
Mon avis.
L’auteur touche le lecteur par de très beaux passages sur la maternité et sur cette jeune fille-mère désorientée, à qui on a enlevé son enfant, cela raconté avec une belle écriture poétique et métaphorique.
Un très beau passage qui m’a émue :
La blancheur des étoiles
Ed. Luce Wilquin 23 avril 2014
ISBN 978 2 88253 485 9
181 pages
Quatrième de couverture
Une histoire de vie et de mort, de douleur et de jouissance sur fond d'errance urbaine. Une fille-mère et son chevalier furieux courant après des moulins à vent, un amour qui cherche les étoiles où s'effacent les haines et les peurs. Des immeubles et la révolte de graffitis, l'ivresse des martinets et le vacarme d'un scooter pour crever la vieille indifférence du monde. La mémoire de femmes fuyant le pouvoir des hommes. La jeune maternité surtout, la plénitude de la grossesse, et l'enfant que dévorent les ogres ordinaires. L'histoire est librement inspirée d'un témoignage : une fille-mère privée de son enfant, forcée d'avorter d'un deuxième et qui a voulu mourir……………………………..
Petite chronique
L’auteur avec brio parvient à nous faire ressentir le mal-être de Serena. Cela ressemble à un conte ou une fée malfaisante se serait penchée sur son berceau. Car la peu sereine jeune fille dont il est question dans ce récit, en tout cas au début est déroutante. L’auteur nous raconte ce qui s’est passé pour que Serena attende un enfant et ce qu’est devenu le père. Allergique aux études, sans aucun revenu, elle est mise sous tutelle étant encore mineure, cela parce que Maria, sa mère a demandé la garde de l’enfant, bien qu’elle-même fut un jour fille-mère mais dans un autre contexte. Lorsque Serena attend un deuxième d’un homme inconnu rencontré lors de ses errances, la juge lui ordonne d’avorter. Mais voila que quelques mois plus tard elle attend un troisième enfant que cette fois il sera impossible de lui enlever, car voila, il y a deux pères qui ont leur importance dans cette histoire et c’est l’un des deux qui va déterminer la vie de Serena….
Mon avis.
L’auteur touche le lecteur par de très beaux passages sur la maternité et sur cette jeune fille-mère désorientée, à qui on a enlevé son enfant, cela raconté avec une belle écriture poétique et métaphorique.
Un très beau passage qui m’a émue :
- Spoiler:
- Les mains posées sur les côtés de son ventre pareil à un ballon, elle sentait les ondes de l’enfant à l’intérieur, ses petites gesticulations. Cette torpeur au soleil était un délice. Être là uniquement, n’être occupée que des mouvements infimes au creux d’elle-même, et cette durée quand elle finissait par s’enrouler sur elle-même et s’estomper, disparaître dans une béatitude. Des heures flottantes et pleines à la fois.
lalyre- Grand sage du forum
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