[Marchal, Eric] Là où rêvent les étoiles
Page 1 sur 1
Votre avis :
[Marchal, Eric] Là où rêvent les étoiles
Là ou rêvent les étoiles / Eric Marchal, Ed. Anne Carrière, 733 p.
Présentation de l'éditeur : Au XIXe siècle, il y eut une nouvelle génération de bâtisseurs de cathédrales. Ils travaillaient l'acier, le fer et le cuivre aussi bien que la pierre, partaient à l'assaut du ciel comme on ne l'avait jamais rêvé avant eux. Leur magie s'appelait " ingénierie ", et leurs réalisations prenaient la forme de ponts et viaducs impossibles, d'usines, de gares, de charpentes aux dimensions prodigieuses, de statues et de tours métalliques géantes. Ces hommes vénéraient tous le même Dieu, et le nommaient Progrès. C'est à eux qu'Éric Marchal rend aujourd'hui hommage dans cette époustouflante histoire de famille, d'amitié et de génie humain.
Juin 1863. Dans l'immensité désertique de la plaine d'Andalousie, deux hommes aux tempéraments opposés mais unis par la passion du progrès vont se rencontrer. L'un, Clément Delhorme, pionnier des vols d'altitude en ballon, est à l'origine des premiers modèles de prévision météorologique. L'autre, Gustave Eiffel, jeune ingénieur ambitieux, qui vient de se marier, rêve de s'établir à son compte comme constructeur. À partir de ce jour, les deux génies vont lier leurs destins et leurs rêves de records.
Delhorme intègre le monde dans une immense équation dont il tente de résoudre toutes les inconnues pendant qu'Alicia, sa femme, s'occupe de la rénovation des palais à l'abandon de l'Alhambra. La naissance de leurs trois enfants aux caractères si différents façonnera la destinée de cette famille singulière, pendant qu'Eiffel forgera la sienne comme un mythe, du pont Maria Pia à la tour qui portera son nom, ainsi qu'à la statue de la Liberté.
Entre Paris et Grenade se déploient les destins croisés de ces deux familles qui vont connaître l'enchantement du progrès, dans un tourbillon de découvertes et d'inventions qui ont fait de cette période le socle de notre modernité, où les seules limites étaient celles de l'imagination.
Ma critique : Le dernier roman historique d’Eric Marchal nous conte deux histoires parallèles qui se croisent parfois, celle de Clément Delhorme et celle de Gustave Eiffel. On est en 1863 quand ces deux personnages se rencontrent. Clément Delhorme est un aventurier, il teste les cols en ballon et s’exerce aux prévisions météorologiques, tandis que Gustave Eiffel est ingénieur. On suit alors ces deux familles. Clément Delhorme a une épouse qu’il adore avec qui il a eu des « tri jumeaux ». Ses enfants passent beaucoup de temps avec deux autres enfants du même âge dont les mères ont été leurs nourrices. Clement poursuit ces expériences dans le ciel mais aussi sur terre. Gustave Eiffel est marié, ce qui ne l’empêche pas d’avoir une liaison avec une femme dont il est aussi amoureux. Après avoir été employé dans une entreprise, il monte la sienne et a très de nouveaux chantiers grâce à une démarche visionnaire.
Le récit est construit avec l’alternance de chaque personnage et dans certains chapitres on suit Nyssia, une des filles de Clément Delhorme, qui, en 1918, se lance à la recherche de son père disparu. Cette construction donne un certain suspens au roman. C’est une vraie saga familiale qui permet de s’imprégner de l’époque et qui mélange faits réels et faits romancés. D’ailleurs à la fin, l’auteur nous précise quels personnages ont réellement existé. L’écriture est agréable mais ça manque parfois un peu de rythme et c’est un peu long…
A découvrir pour l’époque !
Présentation de l'éditeur : Au XIXe siècle, il y eut une nouvelle génération de bâtisseurs de cathédrales. Ils travaillaient l'acier, le fer et le cuivre aussi bien que la pierre, partaient à l'assaut du ciel comme on ne l'avait jamais rêvé avant eux. Leur magie s'appelait " ingénierie ", et leurs réalisations prenaient la forme de ponts et viaducs impossibles, d'usines, de gares, de charpentes aux dimensions prodigieuses, de statues et de tours métalliques géantes. Ces hommes vénéraient tous le même Dieu, et le nommaient Progrès. C'est à eux qu'Éric Marchal rend aujourd'hui hommage dans cette époustouflante histoire de famille, d'amitié et de génie humain.
Juin 1863. Dans l'immensité désertique de la plaine d'Andalousie, deux hommes aux tempéraments opposés mais unis par la passion du progrès vont se rencontrer. L'un, Clément Delhorme, pionnier des vols d'altitude en ballon, est à l'origine des premiers modèles de prévision météorologique. L'autre, Gustave Eiffel, jeune ingénieur ambitieux, qui vient de se marier, rêve de s'établir à son compte comme constructeur. À partir de ce jour, les deux génies vont lier leurs destins et leurs rêves de records.
Delhorme intègre le monde dans une immense équation dont il tente de résoudre toutes les inconnues pendant qu'Alicia, sa femme, s'occupe de la rénovation des palais à l'abandon de l'Alhambra. La naissance de leurs trois enfants aux caractères si différents façonnera la destinée de cette famille singulière, pendant qu'Eiffel forgera la sienne comme un mythe, du pont Maria Pia à la tour qui portera son nom, ainsi qu'à la statue de la Liberté.
Entre Paris et Grenade se déploient les destins croisés de ces deux familles qui vont connaître l'enchantement du progrès, dans un tourbillon de découvertes et d'inventions qui ont fait de cette période le socle de notre modernité, où les seules limites étaient celles de l'imagination.
Ma critique : Le dernier roman historique d’Eric Marchal nous conte deux histoires parallèles qui se croisent parfois, celle de Clément Delhorme et celle de Gustave Eiffel. On est en 1863 quand ces deux personnages se rencontrent. Clément Delhorme est un aventurier, il teste les cols en ballon et s’exerce aux prévisions météorologiques, tandis que Gustave Eiffel est ingénieur. On suit alors ces deux familles. Clément Delhorme a une épouse qu’il adore avec qui il a eu des « tri jumeaux ». Ses enfants passent beaucoup de temps avec deux autres enfants du même âge dont les mères ont été leurs nourrices. Clement poursuit ces expériences dans le ciel mais aussi sur terre. Gustave Eiffel est marié, ce qui ne l’empêche pas d’avoir une liaison avec une femme dont il est aussi amoureux. Après avoir été employé dans une entreprise, il monte la sienne et a très de nouveaux chantiers grâce à une démarche visionnaire.
Le récit est construit avec l’alternance de chaque personnage et dans certains chapitres on suit Nyssia, une des filles de Clément Delhorme, qui, en 1918, se lance à la recherche de son père disparu. Cette construction donne un certain suspens au roman. C’est une vraie saga familiale qui permet de s’imprégner de l’époque et qui mélange faits réels et faits romancés. D’ailleurs à la fin, l’auteur nous précise quels personnages ont réellement existé. L’écriture est agréable mais ça manque parfois un peu de rythme et c’est un peu long…
A découvrir pour l’époque !
yaki- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 1611
Age : 47
Localisation : Yvelines
Emploi/loisirs : Lecture, scrapbooking, balades,...
Genre littéraire préféré : Romans contemporains
Date d'inscription : 10/06/2008
Sujets similaires
» MARCHAL Eric
» [Marchal, Carole-Lyse] L'inconnu
» [Brucher, Eric] La blancheur des étoiles
» [ Marchal, Sylvie ] Socoa
» [Ahmad, Rana] Ici, les femmes ne rêvent pas
» [Marchal, Carole-Lyse] L'inconnu
» [Brucher, Eric] La blancheur des étoiles
» [ Marchal, Sylvie ] Socoa
» [Ahmad, Rana] Ici, les femmes ne rêvent pas
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum