[Pavloff, Franck] Haute est la tour
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[Pavloff, Franck] Haute est la tour
HAUTE EST LA TOUR
Auteur : Franck Pavloff
Edition : Albin Michel
Nombre de pages : 140
Année : 2003
Quatrième de couverture :
«La barbarie n’est pas tapageuse, elle se niche tout doucement entre vos fibres, se distille seconde après seconde dans vos veines selon de savants rouages qui échappent à votre raison, elle vous dicte les actes les plus intimes, les plus ignobles, elle sait étouffer jusqu’aux dernières palpitations de l’amour. Le monstre est tapi en nous tout autant que dans les charniers des révolutions, la bête immonde c’est notre visage de tous les jours dans le miroir de la salle de bain. »
Dans un château d’eau menaçant ruine, deux hommes et deux femmes s’affrontent. De la rencontre inattendue de ces quatre destins vont jaillir les secrets enfouis de vies en apparence ordinaires.
Franck Pavloff, l’auteur de Matin Brun, surprend dans ce huis-clos désespéré la tragédie que dissimule la lisse surface sociale des êtres.
Mon avis :
Les quatre personnages de l’histoire se rencontrent par hasard dans un château d’eau, et après s’être affrontés dans cet espace clos et confiné, petit à petit, chacun va dévoiler ses secrets les plus profonds, ses blessures, ses faiblesses…
C’est le deuxième roman de cet auteur que je lis, et je n’accroche vraiment pas à son style, trop compliqué. L’auteur utilise trop de figures de style ce qui donne l’impression que les personnages parlent par énigmes : on a beaucoup de phrases sans queue ni tête, les dialogues entre les protagonistes semblent désaccordés…
Bref, ce livre est loin d’être un coup de cœur pour moi.
Ma note : 06/20
Auteur : Franck Pavloff
Edition : Albin Michel
Nombre de pages : 140
Année : 2003
Quatrième de couverture :
«La barbarie n’est pas tapageuse, elle se niche tout doucement entre vos fibres, se distille seconde après seconde dans vos veines selon de savants rouages qui échappent à votre raison, elle vous dicte les actes les plus intimes, les plus ignobles, elle sait étouffer jusqu’aux dernières palpitations de l’amour. Le monstre est tapi en nous tout autant que dans les charniers des révolutions, la bête immonde c’est notre visage de tous les jours dans le miroir de la salle de bain. »
Dans un château d’eau menaçant ruine, deux hommes et deux femmes s’affrontent. De la rencontre inattendue de ces quatre destins vont jaillir les secrets enfouis de vies en apparence ordinaires.
Franck Pavloff, l’auteur de Matin Brun, surprend dans ce huis-clos désespéré la tragédie que dissimule la lisse surface sociale des êtres.
Mon avis :
Les quatre personnages de l’histoire se rencontrent par hasard dans un château d’eau, et après s’être affrontés dans cet espace clos et confiné, petit à petit, chacun va dévoiler ses secrets les plus profonds, ses blessures, ses faiblesses…
C’est le deuxième roman de cet auteur que je lis, et je n’accroche vraiment pas à son style, trop compliqué. L’auteur utilise trop de figures de style ce qui donne l’impression que les personnages parlent par énigmes : on a beaucoup de phrases sans queue ni tête, les dialogues entre les protagonistes semblent désaccordés…
Bref, ce livre est loin d’être un coup de cœur pour moi.
Ma note : 06/20
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