[Upfield, Arthur] Napoléon Bonaparte - Tome 17 : Le meurtre est secondaire
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[Upfield, Arthur] Napoléon Bonaparte - Tome 17 : Le meurtre est secondaire
Titre : Le meurtre est secondaire.
Auteur : Arthur Upfield
Edition : 10/18
Nombe de pages : 319 pages.
Mon résumé :
L’inspecteur Bony n’a jamais perdu une seule affaire, il a toujours résolu les crimes qu’on lui soumettait. C’est ce que l’on va voir : quatre nouveaux-nés ont été enlevés en quatre mois, et personne n’a trouvé aucune trace. Bony arrive sur les lieux quand un cinquième enlèvement a lieu : la mère du nourrisson, voulant empêcher l’enlèvement de son bébé, a été assassiné. Bony enquête, et demande à être secondée par Alice, une jeune femme policier.
Mon avis :
« Le bras cassé, un torticolis, une commotion quelconque et une cheville foulée », p. 101. Plaignons cette victime, qui séjournera un certain temps à l’hôpital. Plaignons cette jeune policière. Elle le dit elle-même, elle a été forcée de mettre son agresseur dans cet état !
Alice est l’auxiliaire efficace de Bony dans cette enquête. Là où des hommes ont échoué, notamment à poser les bonnes questions, une femme, qui a élevé ses frères et soeur orphelins, remarque des détails, s’interroge sur des faits qui sont passés totalement inaperçus. Quatre nourrissons ont été enlevés, pensez aux jeunes mamans éplorées !
Et bien justement non, et c’est ce qu’Alice remarque en premier. Les jeunes mamans ne sont pas éplorées, certaines ne se donnent même pas la peine de faire semblant, une autre en fait bien trop, la troisième n’est même pas interrogée, elle qui était plus préoccupée (comme plusieurs autres mères) par l’ingestion de sa dose quotidienne d’alcool. Les points communs entre ses enfants ? Ils étaient bien soignés, mais négligés. Après tout, quand une femme a un bébé, que peut-elle souhaiter de mieux ? Ce n’est pas de moi, ni de Bony et Alice, mais d’un chercheur un peu doux-dingue, qui hante les pages de ce roman et, dépourvu d’enfants, a cependant des idées bien arrêtées sur la maternité. Qui d’autres partage son avis ?
Autre indice, et pas des moindres : tous les enfants enlevés sont des garçons. Et si le kidnappeur n’est pas un proche, vous avouerez qu’il faut avoir l’oeil pour distinguer un garçon d’une fille à cet âge-là ! Ce « choix » paraît d’autant plus inquiétant à Bony, et permet – un temps – aux langues de se délier.
Mais ce n’est pas une enquête facile pour Bony même si sa réputation ne sera pas prise en défaut. Et ce n’est pas Alice qui dira le contraire : il est bon de suivre les conseils de Bony.
Auteur : Arthur Upfield
Edition : 10/18
Nombe de pages : 319 pages.
Mon résumé :
L’inspecteur Bony n’a jamais perdu une seule affaire, il a toujours résolu les crimes qu’on lui soumettait. C’est ce que l’on va voir : quatre nouveaux-nés ont été enlevés en quatre mois, et personne n’a trouvé aucune trace. Bony arrive sur les lieux quand un cinquième enlèvement a lieu : la mère du nourrisson, voulant empêcher l’enlèvement de son bébé, a été assassiné. Bony enquête, et demande à être secondée par Alice, une jeune femme policier.
Mon avis :
« Le bras cassé, un torticolis, une commotion quelconque et une cheville foulée », p. 101. Plaignons cette victime, qui séjournera un certain temps à l’hôpital. Plaignons cette jeune policière. Elle le dit elle-même, elle a été forcée de mettre son agresseur dans cet état !
Alice est l’auxiliaire efficace de Bony dans cette enquête. Là où des hommes ont échoué, notamment à poser les bonnes questions, une femme, qui a élevé ses frères et soeur orphelins, remarque des détails, s’interroge sur des faits qui sont passés totalement inaperçus. Quatre nourrissons ont été enlevés, pensez aux jeunes mamans éplorées !
Et bien justement non, et c’est ce qu’Alice remarque en premier. Les jeunes mamans ne sont pas éplorées, certaines ne se donnent même pas la peine de faire semblant, une autre en fait bien trop, la troisième n’est même pas interrogée, elle qui était plus préoccupée (comme plusieurs autres mères) par l’ingestion de sa dose quotidienne d’alcool. Les points communs entre ses enfants ? Ils étaient bien soignés, mais négligés. Après tout, quand une femme a un bébé, que peut-elle souhaiter de mieux ? Ce n’est pas de moi, ni de Bony et Alice, mais d’un chercheur un peu doux-dingue, qui hante les pages de ce roman et, dépourvu d’enfants, a cependant des idées bien arrêtées sur la maternité. Qui d’autres partage son avis ?
Autre indice, et pas des moindres : tous les enfants enlevés sont des garçons. Et si le kidnappeur n’est pas un proche, vous avouerez qu’il faut avoir l’oeil pour distinguer un garçon d’une fille à cet âge-là ! Ce « choix » paraît d’autant plus inquiétant à Bony, et permet – un temps – aux langues de se délier.
Mais ce n’est pas une enquête facile pour Bony même si sa réputation ne sera pas prise en défaut. Et ce n’est pas Alice qui dira le contraire : il est bon de suivre les conseils de Bony.
Sharon- Modérateur
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Localisation : Normandie
Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
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