[Katuka, Mitsuyo] La cigale du huitième jour
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[Katuka, Mitsuyo] La cigale du huitième jour
[Katuka, Mitsuyo] La cigale du huitième jour
[Katuka, Mitsuyo]
La cigale du huitième jour
Actes/Sud 1 avril 2015
ISBN 978 2 330 04819 8
344 pages
Quatrième de couverture
Une jeune femme court dans les rues de Tokyo, un bébé dans les bras. Cette enfant n’est pas la sienne ; sans préméditation, elle vient de la voler.
Dès lors, la vie de Kiwako n’est plus qu’une longue cavale à travers l’Archipel. Paniquée à l’idée de se faire repérer, elle change toujours plus vite d’endroit et d’identité, emportant l’enfant dans l’instant, la déracinant chaque fois plus violemment.
Et pourtant, tout demeure absolument doux entre la jeune femme et la petite. Étrangement, la complicité qui s’installe entre elles ne cesse de s’intensifier, la peur et l’insécurité n’entament pas ce bloc de tendresse, cette harmonie dans laquelle nul témoin ne peut déceler la moindre faille.
D’une efficacité au suspens remarquable, ce livre a immédiatement été adapté au cinéma tant l’intrigue et la force de ses personnages semblaient faites pour l’image. Mais au-delà de la tension et de l’angoisse, derrière ce road-movie d’une jeune femme en quête de bonheur filial s’éploie une indéniable poésie.
Mon avis
Deux voix intéressantes, Kiwako la voleuse d’enfant et celle de la jeune femme Kaoru pour nous narrer leurs deux années de fuite. Ce roman ensorcelant nous emmène à Tokio, ensuite la fugitive se sentant en danger d’être reconnue, trouvera refuge avec l’enfant dans une espèce de secte, ou les hommes ne sont admis. Cela ajouté à la quatrième de couverture nous donne une idée de l’atmosphère du roman. J’ai aimé la relation étonnante et fascinante entre la femme essayant de créer un havre tranquillité et l’enfant qui se sent en sécurité et l’on se demande ce qui pourrait bien troubler leur relation. Mais voilà ce serait trop simple, c’est alors que la voix de Kaoru devenue adolescente se fait entendre pour nous dévoiler ce que fut son enfance et son adolescence car forcément, on sait qu’elle a des parents.. Situation singulière, situation de victime et de frustration ? Qui sait ? Car très difficile de se faire une opinion, d’autant plus que la fin m’a laissée pantelante. Un roman qui pourrait être un coup de cœur. 4,5/5
La cigale du huitième jour
Actes/Sud 1 avril 2015
ISBN 978 2 330 04819 8
344 pages
Quatrième de couverture
Une jeune femme court dans les rues de Tokyo, un bébé dans les bras. Cette enfant n’est pas la sienne ; sans préméditation, elle vient de la voler.
Dès lors, la vie de Kiwako n’est plus qu’une longue cavale à travers l’Archipel. Paniquée à l’idée de se faire repérer, elle change toujours plus vite d’endroit et d’identité, emportant l’enfant dans l’instant, la déracinant chaque fois plus violemment.
Et pourtant, tout demeure absolument doux entre la jeune femme et la petite. Étrangement, la complicité qui s’installe entre elles ne cesse de s’intensifier, la peur et l’insécurité n’entament pas ce bloc de tendresse, cette harmonie dans laquelle nul témoin ne peut déceler la moindre faille.
D’une efficacité au suspens remarquable, ce livre a immédiatement été adapté au cinéma tant l’intrigue et la force de ses personnages semblaient faites pour l’image. Mais au-delà de la tension et de l’angoisse, derrière ce road-movie d’une jeune femme en quête de bonheur filial s’éploie une indéniable poésie.
Mon avis
Deux voix intéressantes, Kiwako la voleuse d’enfant et celle de la jeune femme Kaoru pour nous narrer leurs deux années de fuite. Ce roman ensorcelant nous emmène à Tokio, ensuite la fugitive se sentant en danger d’être reconnue, trouvera refuge avec l’enfant dans une espèce de secte, ou les hommes ne sont admis. Cela ajouté à la quatrième de couverture nous donne une idée de l’atmosphère du roman. J’ai aimé la relation étonnante et fascinante entre la femme essayant de créer un havre tranquillité et l’enfant qui se sent en sécurité et l’on se demande ce qui pourrait bien troubler leur relation. Mais voilà ce serait trop simple, c’est alors que la voix de Kaoru devenue adolescente se fait entendre pour nous dévoiler ce que fut son enfance et son adolescence car forcément, on sait qu’elle a des parents.. Situation singulière, situation de victime et de frustration ? Qui sait ? Car très difficile de se faire une opinion, d’autant plus que la fin m’a laissée pantelante. Un roman qui pourrait être un coup de cœur. 4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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