[Valognes, Aurélie] Mémé dans les orties

Valognes Aurélie - Mémé dans les orties
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Quatrième de couverture : Ferdinand Brun est atypique. Le genre de vieux monsieur qui boude la vie et s’ennuie à (ne pas) mourir. Tel un parasite, il occupe ses journées en planifiant les pires coups possibles qui pourraient nuire et agacer son voisinage. Il suffit d’un nœud qui se relâche et laisse partir son seul compagnon de vie, Daisy sa chienne, pour que tout s’écroule.
Quand Juliette, une fillette de dix ans, et Béatrice, la plus geek des grands-mères, forcent littéralement sa porte pour entrer dans sa vie, Ferdinand va être contraint de se métamorphoser et de sortir de sa chrysalide, découvrant qu’il n’est jamais trop tard pour commencer à vivre …

Mon avis : L’irascible Ferdinand vit dans un immeuble avec son adorable chienne Daisy, un dogue allemand. Le jour où Daisy disparaît, la vie, si bien organisée, de Ferdinand s’écroule. Vont alors s’enchaîner tout un tas d’événements déconcertants, et des rencontres inattendues.
En dépit de son mauvais caractère, Ferdinand est un personnage extrêmement attachant. Il n’est pas sans rappeler Ove de « Vieux, râleur et suicidaire : la vie selon Ove de Fredrik Backman » et Jean-Pierre de « Bon rétablissement de Marie-Sabine Roger ».
Mémé dans les orties est un roman drôle et émouvant, un roman court, qui se lit très vite.
Pour moi, c’est un coup de cœur , et je vous invite à le découvrir.


« Ferdinand se met lentement à rêver, rêvasser, divaguer. La vie lui semble si douce tout d’un coup, de ces moments où l’on se dit que l’on ferait bien une pause ici, que l’on arrêterait le marque-page de sa vie à cet instant précis. »

Merci pour ta critique!

Lili78 ça donne envie, je vais voir si je le trouve!

C'est une histoire très amusante à lire, même si le départ rebute par l'aspect aigri du personnage de Ferdinand, un vieux Monsieur octogénaire qui occupe un grand appartement de 4pièces dans une résidence dont sa fille, aux Etats-Unis, lui laisse la jouissance.
Il est à la croisée des chemins ce vieux Monsieur, enfermé  en lui, n'ayant plus aucune envie de faire un effort pour se rapprocher de ses voisins, tous pourtant à peu près de son age... Une foule de personnages tous bien campés, dont la redoutable Madame Suarez, la concierge, qui l'a pris en grippe et n'a qu'une envie: qu'il s'en aille! c'est pourtant une petite fille qui la première lui tendra la main et l'aidera à reprendre pied dans la vie et devenir l'homme aimable qu'il aurait pu toujours être.

Après son grand chagrin, la perte de sa chienne Daisy, son désespoir est à son comble et on a envie de savoir si il prendra la direction d'une maison de retraite ou aura le sursaut nécessaire pour reprendre pied dans la vie.

La vie des personnes âgés nous est bien décrites: scrabble, bridge, les jeux de télé, les repas à heure fixe et la découverte du numérique!

Un livre tendre qui se lit très rapidement. Un petite incursion chez ses personnes du 4ème age qui ont choisi de rester chez elle plutôt qu'une vie infantilisante.

Ce livre vaut la peine d'être lu, je vote très apprécié.

Mon avis : J'aime la Chik-Lit drôle, un brin décalée et complètement déjantée. Il m'a manqué quelque chose avec ce roman basé sur la solitude et la vieillesse mais j'ai quand même passé un bon moment avec ce grand-père ronchon, une tatie Danielle au masculin.

Ferdinand, 83 ans, habite l'appartement de sa fille dans un immeuble et son loisir favori est de déranger les voisins. Un brin acariâtre, râleur, profondément sale, Il fait tout en dépit du bon sens et est constamment en conflit avec Mme Suarez la concierge.

La mort de sa chienne Daisy le plonge dans le désespoir et il tente de se suicider. Quand les faits remontent aux oreilles de sa fille qui vit maintenant au Japon, elle le menace de la maison de retraite. Pour le surveiller, elle demande à Mme Suarez sa pire ennemie de lui faire un rapport toutes les semaines.

Ferdinand voit rouge mais c'est compter sans l'arrivée de Juliette, une fillette de 10 ans qui va tout doucement le métamorphoser.

Une lecture sympathique avec des personnages attachants, une happy end un peu convenue mais une lecture idéale pour l'été.

Est-ce vraiment de la Chik-lit ? Ce livre n'en développe pas vraiment tous les ingrédients, il est même quelquefois réellement triste.... La solitude, la vieillesse, les maisons de retraite! On est loin de Central Park et de la 5e avenue!!!!

Un livre drôle, divertissant sur la vieillesse tout au plus....C'est ainsi que je l'ai ressenti.

Quelques mots sur l’auteure :
 
Aurélie Valognoes est une auteure française. Diplômée de l’École Supérieure de Commerce NEOMA Business School (ESC Reims) en 2007, Aurélie Valognes est spécialisée en communication et en marketing, et a exercé au sein de diverses entreprises (Mars, Procter & Gamble) et pays (Italie, Suisse, France, Belgique, Pays-Bas).

Site de l'auteure: http://www.aurelie-valognes.com/
[Source Babélio]
 
Maintenant, place au livre !
 
C’est l’histoire de Ferdinand BRUN, 83 ans, qui vit dans une résidence qui date des années cinquante, au 8 rue Bonaparte. Il est aigri, méchant et seul ! Enfin non, pas exactement … Il a sa chienne Daisy pour lui tenir compagnie. En dehors de cette dogue allemand, il ne veut la compagnie de personne, fuit tous ceux qu’il croise et va même jusqu’à être méchant envers les personnes qui s’adressent à lui …
Voilà qu’un beau jour, Daisy lui échappe … Elle disparaît … Mme Claudel (Béatrice pour les intime), une nonagénaire geek vient sonner chez lui pour lui apprendre la triste nouvelle que vient de lui apprendre la concierge, Mme Suarez ! Daisy s’est faite renverser, elle n’a pas survécu !
 
Mme Suarez une quinquagénaire qui déteste Ferdinand par-dessus tout ! Son vœu le plus cher ? Qu’il dégage de sa résidence !
 
Ferdinand, sans sa chienne n’a plus de raison de vivre ! Il décide alors d’aller embrasser un bus … Cela aura pour effet de le rendre à l’hôpital et de mettre sa fille Marion sur les nerfs.
Marion décide alors que son père est en danger et elle veut le placer en maison de retraite, sauf si Ferdinand accepte de faire des efforts …
 
Ces efforts : faire le ménage, tenir son appartement propre, le frigo plein, être aimable avec les autres personnes ou tout du moins ne pas causer de tort à personne … Mais en sera-t-il capable ?
Le pire c’est que l’inspecteur des travaux fini c’est Mme Suarez !!!! Qui enverra un rapport à sa fille chaque mois ! Vous imaginez, qu’elle horreur !
 
Ferdinand va faire ce qu’il peut, mais ce n’est pas gagné ! La vieille geek vient lui parler, une jeune fillette Juliette vient s’incruster chez elle … Aïe aïe aïe !!!!
 
Pour la suite, je vous laisse découvrir le livre !
Rire garanti ! C’est sympa, c’est léger, c’est drôle, on passe un bon moment.
On s’attache même aux différents personnages. On a tous connu ou imaginé ces histoires. Alors allez-y ouvrez la première page et laissez-vous glisser au 8 rue Bonaparte !

Ferdinand, un vieux bougon acariâtre, vit cloitré dans son appartement, déteste ses voisins, les épie et mène une petite guéguerre avec sa concierge, la terrible Mme Suarez. Son seul rayon de soleil : sa chienne Daisy. Mais un jour elle lui échappe et tout son univers s'écroule, la vie n'est plus aucun sens.

Mais un jour, c'est un tsunami de jeunesse qui envahit sa vie en la personne de Juliette, petite fille de dix ans, qui vient de s'installer dans l'immeuble.

Un roman drôle et frais, à l'humour parfois noir et sarcastique (j'ai adoré). Mais c'est également un roman qui parle du vieillissement, de la solitude, des relations difficiles avec les enfants et petits-enfants.

Les personnages sont très attachants, même Ferdinand le grincheux.
La relation qu'il noue avec Juliette est touchante et elle va l'aider à s'ouvrir aux autres et reprendre goût peu à peu à la vie.

Une belle découverte de la plume de Aurélie Valognes. Comme j'ai offert ce livre à Mémé-Pia (sans la pousser dans les orties !), j'espère qu'elle trouvera autant de plaisir à cette lecture que moi.


Note : 4.5/5

Ferdinand est bougon, aigri il ne supporte personne et surtout pas ses voisines,  il est désespéré quand il perd Daisy sa chienne, sa seule compagnie.
Mais un jour apparait Juliette petit rayon de soleil de dix ans....
Une lecture légère et agréable, un moment de bonne humeur et un peu d'émotion aussi.
Une lecture appréciée.

Mon ressenti

J’ai adoré cette histoire où les personnages sont venus me toucher. Histoire de rencontre et de solitude, où les impressions sont toujours très importantes dans un équilibre relationnel. C’est en dialoguant un minimum que les impressions changent et qu’elles ne se transforment pas en ressentiment.

Ferdinand n’attend plus grand-chose de la vie, il se montre sous son plus mauvais jour et n’hésite pas à en vouloir à tous… il a enfilé son « son costume de bougon pour ne pas dire autre chose… ». Il ne dit plus rien, ne fait plus rien, la routine le guide et encore. Pourtant, derrière ces grincements de dent ou ses piques, l’homme est tapi et attend une main tendue. Ce qu’il attend, c’est peut-être mourir mais au fond ce lui, brille encore une petite étincelle de vie. Cet espoir, lui est rendu un jour sous les traits d’une petite fillette qui arrive à lui rabaisser le caquet.

C’est une belle leçon de vie, quel que soit notre âge, nous espérons toujours vivre et être aimé. Ne pas perdre de vue cela, car parfois la solitude, l’âge, l’isolement réduisent notre lorgnette ou obscurcissent nos lunettes pour voir d’autres champs possibles.

Beaucoup d’humour, de tendresse et d’amour, des personnages bien définis et chatoyants, font de ce livre un très bon moment de lecture et de plaisir.

A découvrir

Merci Pinky et les autres pour votre critique, titre qui me fait pensé à l'expression " faut pas pousser la mémé dans les orties " 

merci Louloute de ta visite

Si dès le commencement j'ai trouvé ce héros triste, pathétique, s'il m'a agacée avec ses rancunes et ses rancoeurs…
très vite je me suis attachée à lui…La solitude a parfois ces effets néfastes.
Il suffit d'une petite fille en quête de tendresse, d'une vieille dame exubérante et très active, et Ferdinand, malgré tous ses défauts devient ce que sans doute il était vraiment…
J'ai ri parfois, je l'ai aidé à se débarrasser de Mme Suarez… J'ai adoré lorsque l'énergique Béatrice le conduit à l'hôpital!




Les lectures de Joëlle

ça a l'air rigolo, rien que le titre. merci à vous toutes pour ces avis.

J'ai moyennement apprécié.C'est une lecture legere et facile à lire.Ilfaut aimé ce style d'humour et malheureusement ce n'est pas mon cas

Je rejoins Angele, c'est une lecture facile que j'ai moyennement apprécié.

Il est vrai que le début est moins léger que le milieu et la fin, car il est tout de même question d'un vieil homme, seul, rongé par les remords qui perd toute envie de vivre suite la disparition de sa chienne adorée.
Mais le reste est un peu cliché (la voisine d'en face qui est super géniale, la gamine de l'étage du dessus, surdouée, attentionnée envers lui, en CM2 donc elle a environ 10 ans et fait la morale à Ferdinand sur le comportement qu'il avait avec se femme et son discours ne correspond pas du tout à son âge oh et sans oublier la vilaine concierge, Mme Suarez et ses acolytes soumises...) Bref, une lecture facile oui et presque quelconque, pour moi .
Je ne me suis attachée aux personnages, je n'étais pas forcément réceptive à l'humour présent, je n'ai pas non plus trouvé la plume remarquable. Je ne lirai rien d'autre de cette auteure.

J'ai voté : moyennement apprécié.

Fini à l'instant et j'ai passé un excellent moment avec ce loufoque de Ferdinand!
Au début du livre j'ai détesté ce personnage j'ai aussi bien ri et puis après au fur et à mesure de l'histoire qui avance on s'attache à lui on est dans l'empathie!
Finalement un gentil bougre à qui la vie donne de belles leçons.
Et une fin toujours si sympathique et touchante!
Aurélie Valognes est un auteur qui fait du bien au coeur au moral alors tout simplement merci pour ca!
Et j'adore ses remerciements à la fin qui sont toujours si personnalisés!
Commenter J’apprécie

Ferdinand, un grand père ronchon qui n'aime en apparence que sa chienne Daisy va progressivement s'attendrir grace à sa voisine Juliette, une enfant vive et perspicace et Béatrice, son autre voisine de 92 ans qui va lui offrir son amitié et son soutien.

J'ai été un peu déçu par ce roman d'Aurélie Valognes 

L'auteure dans ces romans réussit toujours à tirer du positif dans toutes les situations , même les pires tout en ayant de l'humour, je n'ai pas retrouvé cela dans ce livre . 
J'ai trouvé la vie de Ferdinand triste, alors bien sûr c'est la réalité parfois, personne qui vieillit seul , se renferme,le mauvais caractère ressort et les tendances suicidaires mais justement  l'auteure n'a pas su exploiter le thème de manière à me toucher. Je n'ai pas trop accroché avec Ferdinand, j'ai eu du mal à avoir de la sympathie pour lui . 

Dommage !

J'ai bien aimé la plume fluide.
Les personnages et l'histoire sont bien travaillés.
Mais je m'attendais à du léger, du frais. Pas un vieil homme méchant qui tente de se suicider.
Peut-être cette histoire m'a-t-elle renvoyée à des blessures trop profondes ?
Le fait que tout le monde n'attendait que son changement d'attitude pour l'accueillir à bras ouverts me laisse un goût amer.
La vie, ce n'est pas comme ça. On ne peut pas faire du mal pendant 80 ans aux autres, et d'un coup ne vivre que des belles choses (enfin, façon de parler car oui, il a pas mal de problèmes).

A plusieurs occasions, il y a aussi des "actions mystérieuses", et je n'ai pas compris à la fin qui les avaient faites. Si quelqu'un a pigé, je veux bien l'info en MP, j'ai l'impression de rester sur ma faim.

Je vote apprécié car ça reste un livre qui se lit facilement et qui m'a fait réagir