[Ducret, Diane] L'homme idéal existe. Il est québécois
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[Ducret, Diane] L'homme idéal existe. Il est québécois
[Ducret, Diane] L'homme idéal existe. Il est québécois
L’homme idéal existe. Il est québécois
Diane Ducret
Editions Albin Michel
Octobre 2015
192 pages
ISBN : 9782226319388[/center]
4ème de couverture :
Bonne nouvelle : l’homme idéal existe !
Il ne parle pas : il jase. Il n’embrasse pas : il frenche.
Il ne se déshabille pas : il se criss à poèlle.
Vous l’aurez deviné : il est Québécois.
Diane Ducret rhabille le mythe du Prince Charmant.
L’homme idéal ? Satisfaite ou remboursée !
L’auteur (site de l’éditeur) :
Diane Ducret est écrivain et essayiste. Après son premier livre Femmes de dictateur (Perrin, 2011), best-seller traduit dans vingt langues, elle publiera Femmes de dictateur 2 (Perrin, 2012) et La chair interdite (Albin Michel, 2014). Avec L'homme idéal existe. Il est québécois, elle change de registre où elle ose tout et dit tout haut ce que les autres pensent tout bas, sans censure ni tabous.
================
Vous pensez bien qu’avec un tel titre, je ne pouvais qu’être curieuse de découvrir ce prince charmant. Après plusieurs livres « sérieux », je je me suis amusée à lire en « mettant le ton ».
Après ces tribulations d’une célibataire cérébrale au pays de la séduction, notre héroïne s’amourache du beau Gabriel, peintre, mais pas en bâtiment, avec un accent canadien très prononcé. Notre Apollon québécois ne manie pas très bien le madrigal. Pour lui, un chat est un chat, pas de circonvolutions oiseuses. C’est ce que l’héroïne va découvrir en passant 8 jours chez lui au Canada en plein hiver, sinon cela aurait moins de « charme ».
Cette lecture me fait penser à ces pièces de théâtre comique où tout est quiproquo. Ici, le vecteur de la drôlerie c’est le vocabulaire. Imaginez être reçue pas votre amoureux, après huit heures d’avion de s’écouter dire : « ça fesse dans le dash de te voir ici ! ». Le reste du livre est à l’avenant et la donzelle a des réflexions bien torchées, mais en voix off.
Les expressions québécoises sont un ravissement. Si l’on vous dit « t’excite pas le poil des jambes, ça va bien se passer », ce n’est pas qu’il a remarqué que vous ne vous étiez pas épilé, mais qu’il ne faut pas se presser le citron, que tout va bien !
Tous les deux m’on fait passer deux heures de lecture-détente avec rire en prime. L’écriture de Diane Ducret, vive, malicieuse, légère, a donné beaucoup de charme, de chaleur à ce livre. Un livre d’amour humoristique, cela manquait à mon panel !
Un livre drôle, bien écrit : de quoi passer deux bonnes heures de lecture le soir sous la couette, profitez-en !
Dernière édition par Cassiopée le Ven 1 Jan 2016 - 21:02, édité 3 fois (Raison : Correction sondage, suppression image non hébergée (Cassiopée) + ajout image hébergée (Nisa))
Re: [Ducret, Diane] L'homme idéal existe. Il est québécois
Remplacement de l'image non hébergée par une image hébergée
Re: [Ducret, Diane] L'homme idéal existe. Il est québécois
Notre héroïne tombe sous le charme d’un artiste québécois. Quand il lui propose de la rejoindre pour une semaine de l’autre côté de l’Atlantique elle y va sans vraiment réfléchir. Car avant lui elle a connu des « connard » pour reprendre son expression et là elle a l’impression que c’est le bon. Mais entre ses règles, le mioche, l’ex, le rhume et les problèmes linguistiques ce séjour ne sera pas de tout repos.
Ce qui importe dans ce livre ce n’est pas l’histoire, au mieux classique au pire fade, d’ailleurs je n’ai pas aimé la fin. En effet une trentenaire, déçu des hommes qu’elle a rencontré jusque là, décide de sauté dans le premier avion pour rejoindre celui qu’elle pense être le bon. Elle passe par le doute, l’espoir , les peurs ( avec appel en pleine nuit à son meilleur ami, la peur de la comparaison avec l’ex en cherchant son profil facebook). Banal donc mais l’auteur joue sur la différence de langage entre le français et le québécois et ça c’est très très drôle.
Là où nous utilisons le mot « gosses » pour parler d’enfants le Québécois comprend « testicules » et là où le Québécois dit « bonjour » il faut comprendre « au revoir ». Et oui car si les Québécois parlent le français , nos cousins ont fait évoluer la langue de leur côté comme nous nous l’avons fait ici.
Loin de se moquer de leur façon de parler , c’est un jeu de quiproquo linguistique que l’auteure nous propose . Ce n’est pas de rire au dépend d’une culture que l’auteure nous propose c’est de jouer avec la saveur des mots et de leur évolution.
Contrairement à l’héroïne, qui était complètement perdue lorsque son cher et tendre lui parlait , moi je comprenais mais cela ne m’a pas fait perdre la saveur de ces échanges.
L’écriture simple et claire de l’auteur et l’humour m’ont fait lire ce livre très (trop?) vite et exploser de rire à de nombreuse reprise. Mon week end finit je refermais la page et je n’avais qu’une envie débarquer au Québec.
Bref le livre a rempli son rôle de lecture-détente et joyeuse.
Ce qui importe dans ce livre ce n’est pas l’histoire, au mieux classique au pire fade, d’ailleurs je n’ai pas aimé la fin. En effet une trentenaire, déçu des hommes qu’elle a rencontré jusque là, décide de sauté dans le premier avion pour rejoindre celui qu’elle pense être le bon. Elle passe par le doute, l’espoir , les peurs ( avec appel en pleine nuit à son meilleur ami, la peur de la comparaison avec l’ex en cherchant son profil facebook). Banal donc mais l’auteur joue sur la différence de langage entre le français et le québécois et ça c’est très très drôle.
Là où nous utilisons le mot « gosses » pour parler d’enfants le Québécois comprend « testicules » et là où le Québécois dit « bonjour » il faut comprendre « au revoir ». Et oui car si les Québécois parlent le français , nos cousins ont fait évoluer la langue de leur côté comme nous nous l’avons fait ici.
Loin de se moquer de leur façon de parler , c’est un jeu de quiproquo linguistique que l’auteure nous propose . Ce n’est pas de rire au dépend d’une culture que l’auteure nous propose c’est de jouer avec la saveur des mots et de leur évolution.
Contrairement à l’héroïne, qui était complètement perdue lorsque son cher et tendre lui parlait , moi je comprenais mais cela ne m’a pas fait perdre la saveur de ces échanges.
L’écriture simple et claire de l’auteur et l’humour m’ont fait lire ce livre très (trop?) vite et exploser de rire à de nombreuse reprise. Mon week end finit je refermais la page et je n’avais qu’une envie débarquer au Québec.
Bref le livre a rempli son rôle de lecture-détente et joyeuse.
– Je crois que je vais tomber dans les pommes.
-Ca veut dire quoi chez toi?
– Que je vais m’évanouir.
-Ah, super, comme chez nous!
Tandis que je me réjouis d’enfin trouver une expression en commun, lui devient blanc comme un linge
Re: [Ducret, Diane] L'homme idéal existe. Il est québécois
Merci pour vos avis, j'en entends beaucoup parler, je tenterai peut-être!
Invité- Invité
Re: [Ducret, Diane] L'homme idéal existe. Il est québécois
J'ai découvert ce livre il y a peu en tombant sur des critiques ici et ailleurs et je l'ai mis sur ma liste pour le Père Noël. Il a été super généreux parce qu'il me l'a apporté au milieu d'autres livres (Surtout j'ai été hyper sage )
Bref, je l'ai lu très rapidement et j'ai adoré ce livre avec quelques bémols cependant!!
Commençons par les points positifs (il faut toujours commencer par le positif, tous les livres de développement personnel le disent ).
J'ai beaucoup rigolé en lisant ce livre!! Des éclats de rire au vu de certaines tournures de phrases, certaines expressions, voire certaines situations vécues par l'héroïne. La plume de l'auteur est légère, incisive par moment, avec beaucoup d'autodérision!!
C'est un livre qui fait du bien, qui est sans prise de tête, qui se lit rapidement et qui fait sourire tout simplement. Je crois que c'est le genre de livres que j'aime bien généralement lire en été (pourquoi? Je ne sais pas du tout mais c'est comme ça namého ) mais j'ai trouvé que dans le contexte de Noël c'était super!! Ca allège cette période un peu lourde!!
Dans les points positifs, il faut que je cite les personnages également qui sont vraiment marrants et bien trouvés!! L'héroïne, fausse parisienne qui fait tout pour être acceptée dans les cercles très fermés et qui va d'homme en homme sans jamais trouver le bon jusqu'à son Québécois.
Québécois d'ailleurs que j'ai trouvé très drôle, peut-être un peu caricatural mais nous sommes dans les points positifs là donc j'en parlerai plus tard!! Il a réponse à tout, des expressions incompréhensibles mais qui ont pour mérite de m'avoir fait rire!!!
Bref, beaucoup de joie et de bonne humeur dans ce livre là... Mais (oui il y a toujours un mais, c'est dommage ).
Il y a de petits détails qui m'ont gêné dans ce livre... Notamment le québécois!! Alors oui, c'est le principe du livre ne pas comprendre ce qu'il dit avec ses expressions à coucher dehors notre caribou mais voilà, j'aurais quand même aimé avoir la traduction ou pouvoir comprendre ce qu'il dit!! Parce que finalement, je ne suis pas sûre d'avoir compris grand chose!!!
Il y a même certaines expressions françaises que je ne connaissais pas et n'ai pas compris... (J'ai oublié de les noter, c'est dommage...).
Les personnages sont trop caricaturaux avouons-le!! Certes, cela les rend très drôle (cf les points positifs) mais malgré tout, c'est un peu fort de café tout ça ( ). Le Québécois qui vit au milieu de nulle part et qui a une tête de cerf empaillé... La parisienne qui n'est pas vraiment parisienne mais qui semble relativement superficiel pour rentrer dans le moule alors que pas du tout, c'est une artiste, une auteur que dis-je, genre bobo... Bref, trop de caricature... (Je passerai sur le meilleur ami gay...)
Dernier point négatif: la fin... Je n'ai pas du tout aimé la fin!!! Je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler ceux qui veulent lire ce livre mais j'ai été déçue, dégoûtée, et finalement c'est ce qui rend mon avis plus négatif que positif!!
La fin m'aurait plu, je crois que les points négatifs n'auraient pas autant d'importance...
Bref, un bon moment de lecture, de bons fous rires (ça ne m'arrive pas souvent, contrairement aux larmes que je verse facilement), un livre que je regrette pas d'avoir lu
Désolée si ma critique est fouillis, j'ai l'impression qu'elle n'a ni queue ni tête
Bref, je l'ai lu très rapidement et j'ai adoré ce livre avec quelques bémols cependant!!
Commençons par les points positifs (il faut toujours commencer par le positif, tous les livres de développement personnel le disent ).
J'ai beaucoup rigolé en lisant ce livre!! Des éclats de rire au vu de certaines tournures de phrases, certaines expressions, voire certaines situations vécues par l'héroïne. La plume de l'auteur est légère, incisive par moment, avec beaucoup d'autodérision!!
C'est un livre qui fait du bien, qui est sans prise de tête, qui se lit rapidement et qui fait sourire tout simplement. Je crois que c'est le genre de livres que j'aime bien généralement lire en été (pourquoi? Je ne sais pas du tout mais c'est comme ça namého ) mais j'ai trouvé que dans le contexte de Noël c'était super!! Ca allège cette période un peu lourde!!
Dans les points positifs, il faut que je cite les personnages également qui sont vraiment marrants et bien trouvés!! L'héroïne, fausse parisienne qui fait tout pour être acceptée dans les cercles très fermés et qui va d'homme en homme sans jamais trouver le bon jusqu'à son Québécois.
Québécois d'ailleurs que j'ai trouvé très drôle, peut-être un peu caricatural mais nous sommes dans les points positifs là donc j'en parlerai plus tard!! Il a réponse à tout, des expressions incompréhensibles mais qui ont pour mérite de m'avoir fait rire!!!
Bref, beaucoup de joie et de bonne humeur dans ce livre là... Mais (oui il y a toujours un mais, c'est dommage ).
Il y a de petits détails qui m'ont gêné dans ce livre... Notamment le québécois!! Alors oui, c'est le principe du livre ne pas comprendre ce qu'il dit avec ses expressions à coucher dehors notre caribou mais voilà, j'aurais quand même aimé avoir la traduction ou pouvoir comprendre ce qu'il dit!! Parce que finalement, je ne suis pas sûre d'avoir compris grand chose!!!
Il y a même certaines expressions françaises que je ne connaissais pas et n'ai pas compris... (J'ai oublié de les noter, c'est dommage...).
Les personnages sont trop caricaturaux avouons-le!! Certes, cela les rend très drôle (cf les points positifs) mais malgré tout, c'est un peu fort de café tout ça ( ). Le Québécois qui vit au milieu de nulle part et qui a une tête de cerf empaillé... La parisienne qui n'est pas vraiment parisienne mais qui semble relativement superficiel pour rentrer dans le moule alors que pas du tout, c'est une artiste, une auteur que dis-je, genre bobo... Bref, trop de caricature... (Je passerai sur le meilleur ami gay...)
Dernier point négatif: la fin... Je n'ai pas du tout aimé la fin!!! Je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler ceux qui veulent lire ce livre mais j'ai été déçue, dégoûtée, et finalement c'est ce qui rend mon avis plus négatif que positif!!
La fin m'aurait plu, je crois que les points négatifs n'auraient pas autant d'importance...
Bref, un bon moment de lecture, de bons fous rires (ça ne m'arrive pas souvent, contrairement aux larmes que je verse facilement), un livre que je regrette pas d'avoir lu
Désolée si ma critique est fouillis, j'ai l'impression qu'elle n'a ni queue ni tête
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Re: [Ducret, Diane] L'homme idéal existe. Il est québécois
Mon avis
Caribou des alpages….
« J’étais trop occupée à le regarder, j’ai pas dû l’écouter .»
Et voilà ce que c’est de tomber amoureuse d’un beau gosse aux yeux bleus de surcroit en ne s’occupant que du physique! On oublie de l’écouter et on le suit là-bas, dans son lointain Canada. Coin du monde avec des idiomes, des expressions bien particulières et pas toujours compréhensibles pour « l’étranger ».
C’est principalement sur ces conflits de vocabulaire, d’habitudes et de coutumes que l’auteur s’est basé pour écrire son court et amusant roman car le reste est assez convenu et plutôt plat.
J’ai souri malgré les clichés, imaginé les situations cocasses et trouvé que parfois le « trait » est un peu exagéré. Cela restera une lecture détente, un jour de brouillard et je n’en demandais pas plus.
Caribou des alpages….
« J’étais trop occupée à le regarder, j’ai pas dû l’écouter .»
Et voilà ce que c’est de tomber amoureuse d’un beau gosse aux yeux bleus de surcroit en ne s’occupant que du physique! On oublie de l’écouter et on le suit là-bas, dans son lointain Canada. Coin du monde avec des idiomes, des expressions bien particulières et pas toujours compréhensibles pour « l’étranger ».
C’est principalement sur ces conflits de vocabulaire, d’habitudes et de coutumes que l’auteur s’est basé pour écrire son court et amusant roman car le reste est assez convenu et plutôt plat.
J’ai souri malgré les clichés, imaginé les situations cocasses et trouvé que parfois le « trait » est un peu exagéré. Cela restera une lecture détente, un jour de brouillard et je n’en demandais pas plus.
Cassiopée- Admin
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Re: [Ducret, Diane] L'homme idéal existe. Il est québécois
Au hasard d’une rencontre parisienne, notre narratrice rencontre un séduisant québécois, et se décide à aller passer huit jours au pays des caribous et du sirop d’érable.
Le début du roman est très drôle, mais j’ai trouvé qu’on tombait vite dans la caricature. Le personnage de Gabriel est une montagne de gentillesse et de prévenance, mais la narratrice m’a agacé à force de trop se torturer les méninges.
L’humour repose sur la communication entre québécois et français parce qu’on utilise les mêmes mots, mais ils n’ont pas la même signification, c’est assez désopilant, croyez-moi, j’en ai fait l’expérience.
L’auteur nous offre aussi un petit tour culturel et culinaire canadien.
Pour résumé je mettrai 20/20 à Gabriel et à son accueillant Québec et 2/20 à la narratrice. Donc moyennement apprécié.
Le début du roman est très drôle, mais j’ai trouvé qu’on tombait vite dans la caricature. Le personnage de Gabriel est une montagne de gentillesse et de prévenance, mais la narratrice m’a agacé à force de trop se torturer les méninges.
L’humour repose sur la communication entre québécois et français parce qu’on utilise les mêmes mots, mais ils n’ont pas la même signification, c’est assez désopilant, croyez-moi, j’en ai fait l’expérience.
L’auteur nous offre aussi un petit tour culturel et culinaire canadien.
Pour résumé je mettrai 20/20 à Gabriel et à son accueillant Québec et 2/20 à la narratrice. Donc moyennement apprécié.
lili78- Grand sage du forum
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Re: [Ducret, Diane] L'homme idéal existe. Il est québécois
J’avais envie de passer un bon moment et de rire un peu… ok, c’est fait !
De là, à dire que c’est un chef d’œuvre ? Non, non, il ne faut pas exagérer… Mais je ne pense pas que ça ait été le but de Diane Ducret.
Dans ce livre, on s’envole avec elle, notre héroïne Parisiano-basque, écrivain… Lui n’est pas du pays ! Il est peintre, de là-bas où les Caribous dansent dans la neige et où les gens jasent bizarre.
Pourtant, ils se sont rencontré sur le parvis d’une maison d’édition et se fut une aubaine pour tous les deux. Ils se sont plu, ont mangé ensemble et la soirée a fait son œuvre…
Quand le bel Apollon lui propose de venir le rejoindre, elle ne met pas longtemps à accepter la proposition. Mais comment va-t-elle faire ? Elle qui ne supporte pas l’avion, qui ne peut imaginer vivre une relation durable et qui fuit tout ce qui est mâle une fois les ébats terminés ?
Et c’est partiiiiiii, nous voilà débarqué au pays du froid polaire et des lacs gelés. (Doudoune, boots et coiffure de chien mouillé de rigueur !) Notre bel énergumène est doté d'un sourire, d'un esprit qui ne s'embarrasse pas des conventions coincées de la séduction parisienne et d'un humour redoutable… enfin, est-ce son humour ou ses conventions canadiennes ?
Elle, nous raconte son incursion dans le pays de la nouvelle France… Elle découvre les mœurs et la langue, les distorsions qui en sont faites et bien sûr n’oublions pas les travers des hommes, peu importe d’où ils viennent… On repassera sur la féminité, hein, et puis sur le romantisme car avec le froid qui y règne, euh c’est compliqué ! Et puis voilà le mini Apollon qui se pointe et puis les potes, euh enfin, est-ce vraiment l’homme idéal ? Ou tout simplement un homme ? Où est le vice caché ?
Diane Ducret met l’accent sur les différences hommes-femmes. De ce que chacun attend d’une relation. Et comme vous pouvez l’imaginer, c’est un vaste débat.
Petit bémol, que je trouve dommage, j’aurais beaucoup apprécié avoir un répertoire ou un lexique qui compare les expressions québécoises et la traduction française…
Mais passons, c’est frais, c’est léger, c’est drôle et on ne s’attend pas à la fin.
Un petit livre qui se déguste entre deux pavés… le temps de se sortir d’une histoire et de passer à une autre, comme certaines relations humaines finalement !
De là, à dire que c’est un chef d’œuvre ? Non, non, il ne faut pas exagérer… Mais je ne pense pas que ça ait été le but de Diane Ducret.
Dans ce livre, on s’envole avec elle, notre héroïne Parisiano-basque, écrivain… Lui n’est pas du pays ! Il est peintre, de là-bas où les Caribous dansent dans la neige et où les gens jasent bizarre.
Pourtant, ils se sont rencontré sur le parvis d’une maison d’édition et se fut une aubaine pour tous les deux. Ils se sont plu, ont mangé ensemble et la soirée a fait son œuvre…
Quand le bel Apollon lui propose de venir le rejoindre, elle ne met pas longtemps à accepter la proposition. Mais comment va-t-elle faire ? Elle qui ne supporte pas l’avion, qui ne peut imaginer vivre une relation durable et qui fuit tout ce qui est mâle une fois les ébats terminés ?
Et c’est partiiiiiii, nous voilà débarqué au pays du froid polaire et des lacs gelés. (Doudoune, boots et coiffure de chien mouillé de rigueur !) Notre bel énergumène est doté d'un sourire, d'un esprit qui ne s'embarrasse pas des conventions coincées de la séduction parisienne et d'un humour redoutable… enfin, est-ce son humour ou ses conventions canadiennes ?
Elle, nous raconte son incursion dans le pays de la nouvelle France… Elle découvre les mœurs et la langue, les distorsions qui en sont faites et bien sûr n’oublions pas les travers des hommes, peu importe d’où ils viennent… On repassera sur la féminité, hein, et puis sur le romantisme car avec le froid qui y règne, euh c’est compliqué ! Et puis voilà le mini Apollon qui se pointe et puis les potes, euh enfin, est-ce vraiment l’homme idéal ? Ou tout simplement un homme ? Où est le vice caché ?
Diane Ducret met l’accent sur les différences hommes-femmes. De ce que chacun attend d’une relation. Et comme vous pouvez l’imaginer, c’est un vaste débat.
Petit bémol, que je trouve dommage, j’aurais beaucoup apprécié avoir un répertoire ou un lexique qui compare les expressions québécoises et la traduction française…
Mais passons, c’est frais, c’est léger, c’est drôle et on ne s’attend pas à la fin.
Un petit livre qui se déguste entre deux pavés… le temps de se sortir d’une histoire et de passer à une autre, comme certaines relations humaines finalement !
Eiger- Grand sage du forum
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