[Benameur, Jeanne] Les mains libres
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[Benameur, Jeanne] Les mains libres
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BENAMEUR Jeanne
« LES MAINS LIBRES »
EDITION DENOEL
148 PAGES
JANVIER 2004
Quatrième de couverture :
«Y a-t-il un signe dans le ciel qui indique que quelque part, dans une ville, au milieu de tant et tant de gens, deux êtres sont en train de vivre quelque chose qui ne tient à rien, quelque chose de frêle comme un feu de fortune?»
Madame Lure est une vieille femme comme on en croise sans les remarquer. Dans l'appartement de son mari disparu, elle maintient chaque chose à sa place, tranquille et pour toujours. Elle évite tout souvenir, mais rêve grâce aux brochures de voyages qu'elle étale sur la table de la cuisine. Yvonne Lure entre dans les photographies, y sourit, y vit.
Un jour, surprenant les doigts voleurs d'un jeune homme dans le grand magasin, elle se met à le suivre de façon irréfléchie jusqu'à son campement, sous l'arche d'un pont.
Qu'ont-ils en commun, Yvonne, celle qui garde, et Vargas, l'errant ?
D'une écriture forte et lumineuse, Jeanne Benameur capte comme jamais les destins obscurs de deux parias innocents, tissant entre eux des liens intenses. Ressuscitant des pans de mémoire palpitante, elle aiguise le vide en chacun de nous.
Mon résumé,
Yvonne va déposer un livre au pied de la roulotte du jeune homme et petit à petit un lien va se créer entre ces deux êtres, visites chez Luce, balades le long du canal.
On retrouve dans ce roman la magie des mots, de la lecture, des silences.
Ces êtres détiennent leur secret que nous ne découvrirons qu’à la fin du roman. Un roman profond, plein d’émotion que j’ai beaucoup aimé.
Une auteur que je continue à découvrir avec bonheur.
BENAMEUR Jeanne
« LES MAINS LIBRES »
EDITION DENOEL
148 PAGES
JANVIER 2004
Quatrième de couverture :
«Y a-t-il un signe dans le ciel qui indique que quelque part, dans une ville, au milieu de tant et tant de gens, deux êtres sont en train de vivre quelque chose qui ne tient à rien, quelque chose de frêle comme un feu de fortune?»
Madame Lure est une vieille femme comme on en croise sans les remarquer. Dans l'appartement de son mari disparu, elle maintient chaque chose à sa place, tranquille et pour toujours. Elle évite tout souvenir, mais rêve grâce aux brochures de voyages qu'elle étale sur la table de la cuisine. Yvonne Lure entre dans les photographies, y sourit, y vit.
Un jour, surprenant les doigts voleurs d'un jeune homme dans le grand magasin, elle se met à le suivre de façon irréfléchie jusqu'à son campement, sous l'arche d'un pont.
Qu'ont-ils en commun, Yvonne, celle qui garde, et Vargas, l'errant ?
D'une écriture forte et lumineuse, Jeanne Benameur capte comme jamais les destins obscurs de deux parias innocents, tissant entre eux des liens intenses. Ressuscitant des pans de mémoire palpitante, elle aiguise le vide en chacun de nous.
Mon résumé,
Yvonne va déposer un livre au pied de la roulotte du jeune homme et petit à petit un lien va se créer entre ces deux êtres, visites chez Luce, balades le long du canal.
On retrouve dans ce roman la magie des mots, de la lecture, des silences.
Ces êtres détiennent leur secret que nous ne découvrirons qu’à la fin du roman. Un roman profond, plein d’émotion que j’ai beaucoup aimé.
Une auteur que je continue à découvrir avec bonheur.
Dernière édition par Cassiopée le Jeu 14 Jan 2016 - 20:45, édité 1 fois (Raison : Correction titre)
Invité- Invité
Re: [Benameur, Jeanne] Les mains libres
Cette critique tombe à pic : je me disais justement hier que Jeanne Benameur est un auteur que j'aimerais relire (je réfléchissais pour participer éventuellement au challenge Bis repetita). J'avais beaucoup aimé Profanes.
Je notre donc ce livre. Merci creuse.
Je notre donc ce livre. Merci creuse.
Invité- Invité
Re: [Benameur, Jeanne] Les mains libres
C'est un roman étrange, une sorte de long poème, où l'écriture ciselée de Jeanne Benameur cherche à lire dans la vie et le cœur des gens. La vie d'Yvonne qui est vieille et veuve, et la vie de Vargas qui est jeune et errant. Deux êtres qui vont apprendre doucement à se connaitre.
Lu dans le cadre du challenge Bis repetita.
J'avais beaucoup apprécié Profanes, cette rencontre entre quatre personnes et un vieil homme qui cherche de la compagnie.
Ici, j'ai retrouvé l'écriture douce et poétique de Jeanne Benameur.
Mais il me semble que la rencontre n'a pas eu lieu.
Je n'ai pas vraiment compris qui étaient Yvonne et Vargas.
Je me suis laissée bercée par les mots, ce qui n'est pas désagréable, mais l'histoire m'a échappée.
Toutefois, pour ceux qui aiment la poésie, la douceur et les mots qui vibrent pour parler de solitude, de vies étranges (ou étrangères), d'êtres un peu perdus, ce livre peut être une source d'inspiration.
***
Lu dans le cadre du challenge Bis repetita.
J'avais beaucoup apprécié Profanes, cette rencontre entre quatre personnes et un vieil homme qui cherche de la compagnie.
Ici, j'ai retrouvé l'écriture douce et poétique de Jeanne Benameur.
Mais il me semble que la rencontre n'a pas eu lieu.
Je n'ai pas vraiment compris qui étaient Yvonne et Vargas.
Je me suis laissée bercée par les mots, ce qui n'est pas désagréable, mais l'histoire m'a échappée.
Toutefois, pour ceux qui aiment la poésie, la douceur et les mots qui vibrent pour parler de solitude, de vies étranges (ou étrangères), d'êtres un peu perdus, ce livre peut être une source d'inspiration.
Le silence prend sa place.
Ce n'est pas le même que celui qu'elle connait, le silence d'elle toute seule. C'est un silence d'entre-deux. Autre. Précieux.
Elle le goûte.
Puis elle reprendre sa lecture.
Et elle avait fait ce que plus personne n'avait fait pour lui depuis sa mère. Elle lui avait lu l'histoire.
Il ne sait pas qui est le plus vieux des deux, eux que le sommeil ne visite pas de façon égale.
C'est toujours celui qui se souvient qui vieillit le plus vite.
L'âge n'est rien.
Il y a dans le monde des jardiniers invisibles qui cultivent les rêves des autres.
Les choses ne bougent pas. Les humains les déplacent. Parce qu'ils sont vivants. Quand ils sont morts, ils deviennent des choses aussi. On les déplace. On les range.
Dans la tête d'Yvonne rien n'est rangé.
Les morts sont vivants. Les vivants parfois sont des choses.
Elle aussi était une chose. Devenue.
Invité- Invité
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