[Rash, Ron] Le chant de la Tamassee
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[Rash, Ron] Le chant de la Tamassee
[Rash, Ron] Le chant de la Tamassee
[Rash, Ron]
Le chant de la Tamassee
Editions Seuil 14/01/2016
240 pages
Quatrième de couverture
La Tamassee, protégée par le Wild and Scenic Rivers Act, dessine une frontière entre la Caroline du Sud et la Géorgie. Ruth Kowalsky, 12 ans, venue pique-niquer en famille sur sa rive, fait le pari de poser un pied dans chaque État et se noie. Les plongeurs du cru ne parviennent pas à dégager son corps, coincé sous un rocher à proximité d’une chute. Inconscient des dangers encourus, son père décide de faire installer un barrage amovible qui permettra de détourner le cours de l’eau. Les environnementalistes locaux s’y opposent : l’opération perturbera l’état naturel de leur rivière, qui bénéficie du label « sauvage ». Les deux camps s'affrontent violemment tandis que le cirque médiatique se déchaîne de répugnante manière et que des enjeux plus importants que la digne sépulture d'une enfant apparaissent…
Mon avis
Elle a douze ans, elle descend le chemin qui longe la rivière, elle trouve un coin au-dessus d’une chute ou l’eau semble calme et peu profonde. Elle veut patauger et s’avance, l’eau est très froide, et rapidement plus profonde. Elle fait un pas et l’eau monte plus sur ses genoux, encore quatre pas et le fond sur lequel elle tente de poser le pied n’est plus là, et poussée vers l’aval……..La Tamassee, cette rivière dangereuse est la dernière rivière libre et pure de l’Etat et les habitants souhaitent la garder telle. Mais voilà les parents de la fillette souhaitent récupérer le corps de la fillette. Maggie, une journaliste-photographe est envoyée sur place pour couvrir ce qu’on nomme un fait divers qui est le fond du roman. Des personnages variés vont faire monter une tension très forte car les avis divergent, un architecte qui veut monter un barrage, des parents qui se sentent responsables, Luke Miller et son combat pour la Tamassee, sans oublier les forestiers interdits de coupe à proximité de la rivière, Hemphill journaliste, culpabilisant sur la mort de sa femme et sa fille , les frères Moseley plongeurs de métier et bien sûr Maggie avec son passé et la haine qu’elle a pour son père. Il faut aussi dire qu’une loi fédérale protège le caractère sauvage de la Tamassee, alors faut-il aller à l’encontre des décisions,, car avec des intérêts souvent divergents entre agriculteurs et commerçants, écologistes et exploitants forestiers et principalement un certain lotisseur l’on se demande s’il n’est pas encore question de gros sous ? Encore un très bon roman que j’ai vraiment apprécié. 4,5/5
Le chant de la Tamassee
Editions Seuil 14/01/2016
240 pages
Quatrième de couverture
La Tamassee, protégée par le Wild and Scenic Rivers Act, dessine une frontière entre la Caroline du Sud et la Géorgie. Ruth Kowalsky, 12 ans, venue pique-niquer en famille sur sa rive, fait le pari de poser un pied dans chaque État et se noie. Les plongeurs du cru ne parviennent pas à dégager son corps, coincé sous un rocher à proximité d’une chute. Inconscient des dangers encourus, son père décide de faire installer un barrage amovible qui permettra de détourner le cours de l’eau. Les environnementalistes locaux s’y opposent : l’opération perturbera l’état naturel de leur rivière, qui bénéficie du label « sauvage ». Les deux camps s'affrontent violemment tandis que le cirque médiatique se déchaîne de répugnante manière et que des enjeux plus importants que la digne sépulture d'une enfant apparaissent…
Mon avis
Elle a douze ans, elle descend le chemin qui longe la rivière, elle trouve un coin au-dessus d’une chute ou l’eau semble calme et peu profonde. Elle veut patauger et s’avance, l’eau est très froide, et rapidement plus profonde. Elle fait un pas et l’eau monte plus sur ses genoux, encore quatre pas et le fond sur lequel elle tente de poser le pied n’est plus là, et poussée vers l’aval……..La Tamassee, cette rivière dangereuse est la dernière rivière libre et pure de l’Etat et les habitants souhaitent la garder telle. Mais voilà les parents de la fillette souhaitent récupérer le corps de la fillette. Maggie, une journaliste-photographe est envoyée sur place pour couvrir ce qu’on nomme un fait divers qui est le fond du roman. Des personnages variés vont faire monter une tension très forte car les avis divergent, un architecte qui veut monter un barrage, des parents qui se sentent responsables, Luke Miller et son combat pour la Tamassee, sans oublier les forestiers interdits de coupe à proximité de la rivière, Hemphill journaliste, culpabilisant sur la mort de sa femme et sa fille , les frères Moseley plongeurs de métier et bien sûr Maggie avec son passé et la haine qu’elle a pour son père. Il faut aussi dire qu’une loi fédérale protège le caractère sauvage de la Tamassee, alors faut-il aller à l’encontre des décisions,, car avec des intérêts souvent divergents entre agriculteurs et commerçants, écologistes et exploitants forestiers et principalement un certain lotisseur l’on se demande s’il n’est pas encore question de gros sous ? Encore un très bon roman que j’ai vraiment apprécié. 4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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