[Josse, Gaëlle] L'ombre de nos nuits
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[Josse, Gaëlle] L'ombre de nos nuits
Gaëlle JOSSE
L’OMBRE DE NOS NUITS
Éditeur : Noir sur blanc
196 PAGES
JANVIER 2016
Quatrième de couverture :
Deux récits se dessinent dans L’ombre de nos nuits, avec au centre un tableau de Georges de La Tour. En 1639, plongé dans les tourments de la guerre de Trente Ans en Lorraine, le peintre crée son Saint Sébastien soigné par Irène. De nos jours, une femme, dont nous ne saurons pas le nom, déambule dans un musée et se trouve saisie par la tendresse et la compassion qui se dégagent de l’attitude d’Irène dans la toile. Elle va alors revivre son histoire avec un homme qu’elle a aimé, jusque dans tous ses errements, et lui adresser enfin les mots qu’elle n’a jamais pu lui dire. Que cherche-t-on qui se dérobe constamment derrière le désir et la passion ?
En croisant ces histoires qui se chevauchent et se complètent dans l’entrelacement de deux époques, Gaëlle Josse met au cœur de son roman l’aveuglement amoureux et ses jeux d’ombre qui varient à l’infini.
Après le succès du Dernier gardien d’Ellis Island, prix de littérature de l’Union européenne 2015, Gaëlle Josse poursuit avec ce cinquième roman son exploration des mystères que recèle le cœur.
Mon ressenti :
Le roman commence dans l’atelier du peintre Georges de LA TOUR, nous sommes à Lunéville, en Lorraine, en 1639. Le maître face à sa toile vierge, dans son atelier, très sombre, commence à rassembler et préparer ses pigments. Il est prêt pour la réalisation de sa nouvelle toile Il doit demander à sa fille Claude de poser pour prêter son visage à Irène, la femme qui a soigné et guéri ST SEBASTIEN.
C'est un roman à trois voix,Gaëlle JOSSE fait intervenir son apprenti, enfant recueilli par le peintre, qu’il forme à son art. Laurent nous fait part de ses réflexions sur sa vie personnelle et sur l’évolution de la composition.
Puis nous voilà basculé en 2014, à Rouen. Une jeune femme déambule dans le musée des beaux arts et s’arrête devant une copie du tableau de Georges de la Tour et, face au visage d’Irène se remémore son ancienne histoire d’amour destructrice, désormais révolue pour elle mais bien gravée dans sa mémoire.
Ce sont donc les tourments de l’amour, de la création, de l’art que nous décrit l’auteure au travers des paroles qu’elle accorde tour à tour à ces trois personnages.
Une fois de plus Gaëlle JOSSE m’a conquise par son écriture .
Dernière édition par Elyuna le Mar 5 Juil 2016 - 9:51, édité 4 fois (Raison : Mise aux normes du titre)
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