[Orban, Christine] Charmer, s'égarer et mourir
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[Orban, Christine] Charmer, s'égarer et mourir
Editions : Albin Michel
Date de parution : 30 mars 2016
Nombre de pages : 230 pages
ISBN : 978-2226325839
La 4ème de couverture :
" C'est Marie-Antoinette que je voulais écouter. L'écouter comme si j'avais été sa confidente. Sa voix résonne dans sa correspondance, dans ses silences, dans les mots effacés et retrouvés. Je l'ai entendu. Les lignes tracées de sa main sont comme des notes sur une partition de musique. Je perçois l'incertitude de son timbre, sa sensualité, je perçois des sons graves et légers comme l'eau d'une rivière, une rivière de larmes. "
Mon avis :
J'ai eu du mal à classer ce roman comme une biographie car l'auteure parle d'elle et de "M-A" (comprenez Marie-Antoinette) dans une même mesure ; ce qui m'a déstabilisé.
Christine Orban a, sans le moindre doute, énormément lu pour en arriver à une telle "proximité" avec le personnage de son roman. Et quel personnage : la grande et méconnue -mal-connue- Marie-Antoinette. Antoine pour les intimes. Le résultat est intéressant mais parfois déroutant puisque cela relève, parfois, du journal intime.
Si l'on s'en tient à Marie-Antoinette, le sujet du roman, c'est fort intéressant d'aborder l'Histoire -et son histoire- de façon moins factuelle, plus psychologique.
Je ne saurai si je conseillerai ce roman à quelqu'un qui "n'aime" pas Marie-Antoinette, ou qui a des forts a-priori sur ce qu'elle fût.
C'est une lecture intelligente de ce haut personnage de l'Histoire mais trop personnelle à mon goût.
Pour information, le titre vient d'une citation de Lamartine dans son Cours familier de littérature.
Date de parution : 30 mars 2016
Nombre de pages : 230 pages
ISBN : 978-2226325839
La 4ème de couverture :
" C'est Marie-Antoinette que je voulais écouter. L'écouter comme si j'avais été sa confidente. Sa voix résonne dans sa correspondance, dans ses silences, dans les mots effacés et retrouvés. Je l'ai entendu. Les lignes tracées de sa main sont comme des notes sur une partition de musique. Je perçois l'incertitude de son timbre, sa sensualité, je perçois des sons graves et légers comme l'eau d'une rivière, une rivière de larmes. "
Mon avis :
J'ai eu du mal à classer ce roman comme une biographie car l'auteure parle d'elle et de "M-A" (comprenez Marie-Antoinette) dans une même mesure ; ce qui m'a déstabilisé.
Christine Orban a, sans le moindre doute, énormément lu pour en arriver à une telle "proximité" avec le personnage de son roman. Et quel personnage : la grande et méconnue -mal-connue- Marie-Antoinette. Antoine pour les intimes. Le résultat est intéressant mais parfois déroutant puisque cela relève, parfois, du journal intime.
Si l'on s'en tient à Marie-Antoinette, le sujet du roman, c'est fort intéressant d'aborder l'Histoire -et son histoire- de façon moins factuelle, plus psychologique.
Je ne saurai si je conseillerai ce roman à quelqu'un qui "n'aime" pas Marie-Antoinette, ou qui a des forts a-priori sur ce qu'elle fût.
C'est une lecture intelligente de ce haut personnage de l'Histoire mais trop personnelle à mon goût.
Pour information, le titre vient d'une citation de Lamartine dans son Cours familier de littérature.
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