[Waal de, Kit] Je m'appelle Léon
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[Waal de, Kit] Je m'appelle Léon
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[Waal de, Kit]
Je m’appelle Léon
Editions Kèro 25 août 2016
ISBN 978 2 36658 202 4
347 pages
Quatrième de couverture
Leon, 9 ans, est un garçon courageux. Quand un jour sa mère n’arrive plus à se lever le matin, il s’occupe de son demi-frère Jake. Quand l’assistante sociale emmène les deux garçons chez Maureen au gros ventre et aux bras de boxeur, c’est lui qui sait de quoi le bébé a besoin. Mais quand on lui enlève son frère et qu’on lui dit que chez ses nouveaux parents il n’y a pas de place pour un grand garçon à la peau sombre, c’en est trop.
Heureusement Leon rencontre Tufty, qui est grand et fort, qui fait du vélo comme lui et qui, dans son jardin, lui apprend comment prendre soin d’une petite plante fragile. Mais Leon n’oublie pas sa promesse de retrouver Jake et de réunir les siens comme avant. Le jour où il entend une conversation qui ne lui était pas destinée, il décide de passer à l’action
Émouvant, dramatique mais aussi jubilatoire, Je m’appelle Leon évoque de façon éloquente la force de l’amour, le lien indéchirable entre frères, et ce qui, en fin de compte, fait une famille.
Mon avis
Ce que j’ai aimé dans ce roman, les personnages de Maureen dévouée, s’attachant à faire le bonheur de Léon hélas sans grand résultat, la charmant Sylvia et bien évidemment le jeune Léon, un petit garçon attachant, l’amour qu’il voue à sa mère et à son petit frère Jack. Je fus fortement émue par sa candeur, sa naïveté mais aussi sa souffrance. Je n’ai pas aimé la froideur de certaines personnes des services sociaux et par-dessus tout j’ai détesté la séparation des deux frères, j’ai pu imaginer le désarroi et le désespoir du jeune garçon auquel on arrache le bébé qu’il adorait sans qu’il sache l’endroit ou il se trouve, j’ai trouvé cela atroce pour Léon, d’ailleurs on ressent bien sa souffrance. La mère je n’en dirai rien puisqu’on en parle dans la quatrième de couverture et que j’estime qu’il n’y a rien à y ajouter. Je me suis ennuyée lors des discussions du jardinier avec son ami Carlos, je pense que çà n’avait rien à voir avec l’histoire. Il n’empêche que c’est un bon roman avec des personnages attachants cependant la fin m’a laissée sur un sentiment de non-dit….
Je m’appelle Léon
Editions Kèro 25 août 2016
ISBN 978 2 36658 202 4
347 pages
Quatrième de couverture
Leon, 9 ans, est un garçon courageux. Quand un jour sa mère n’arrive plus à se lever le matin, il s’occupe de son demi-frère Jake. Quand l’assistante sociale emmène les deux garçons chez Maureen au gros ventre et aux bras de boxeur, c’est lui qui sait de quoi le bébé a besoin. Mais quand on lui enlève son frère et qu’on lui dit que chez ses nouveaux parents il n’y a pas de place pour un grand garçon à la peau sombre, c’en est trop.
Heureusement Leon rencontre Tufty, qui est grand et fort, qui fait du vélo comme lui et qui, dans son jardin, lui apprend comment prendre soin d’une petite plante fragile. Mais Leon n’oublie pas sa promesse de retrouver Jake et de réunir les siens comme avant. Le jour où il entend une conversation qui ne lui était pas destinée, il décide de passer à l’action
Émouvant, dramatique mais aussi jubilatoire, Je m’appelle Leon évoque de façon éloquente la force de l’amour, le lien indéchirable entre frères, et ce qui, en fin de compte, fait une famille.
Mon avis
Ce que j’ai aimé dans ce roman, les personnages de Maureen dévouée, s’attachant à faire le bonheur de Léon hélas sans grand résultat, la charmant Sylvia et bien évidemment le jeune Léon, un petit garçon attachant, l’amour qu’il voue à sa mère et à son petit frère Jack. Je fus fortement émue par sa candeur, sa naïveté mais aussi sa souffrance. Je n’ai pas aimé la froideur de certaines personnes des services sociaux et par-dessus tout j’ai détesté la séparation des deux frères, j’ai pu imaginer le désarroi et le désespoir du jeune garçon auquel on arrache le bébé qu’il adorait sans qu’il sache l’endroit ou il se trouve, j’ai trouvé cela atroce pour Léon, d’ailleurs on ressent bien sa souffrance. La mère je n’en dirai rien puisqu’on en parle dans la quatrième de couverture et que j’estime qu’il n’y a rien à y ajouter. Je me suis ennuyée lors des discussions du jardinier avec son ami Carlos, je pense que çà n’avait rien à voir avec l’histoire. Il n’empêche que c’est un bon roman avec des personnages attachants cependant la fin m’a laissée sur un sentiment de non-dit….
lalyre- Grand sage du forum
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