[Cook, Robin] Fièvre
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[Cook, Robin] Fièvre
348 pages
Edition Le livre de poche
Quatrième de couverture :
Lorsque Charles Carlin apprend que sa fille Michelle, huit ans, est atteinte d'un cancer myéloblastique, sa vie familiale et professionnelle tourne au cauchemar. Cancérologue, il sait que cette forme de leucémie est souvent due à la pollution. Or, en amont de sa maison, une usine de recyclage de caoutchouc vomit ses résidus dans la rivière... Alors qu'il essaie d'en savoir plus, Charles Carlin se heurte à la méfiance et à l'hostilité de tous - médecins traitants de Michelle, pouvoirs publics, supérieurs, collègues -, et même de sa femme Cathryn. Sa fille va mourir, assassinée par le pouvoir médico-industriel. Alors cet homme tranquille se transforme en hors-la-loi et en justicier. Mais, seul contre tous, devant l'indifférence des uns et des autres, que peut faire Charles Carlin pour son enfant ? Comme Vertiges, ce roman bouleversant a pour cadre le milieu médical que l'auteur, chirurgien, connaît parfaitement.
Mon avis :
Très émouvante cette histoire mais la fin est un peu invraisemblable en si peu de temps (un peu tiré par les cheveux). Les sujets de l'histoire sont la leucémie et la pollution de l'eau du à des entreprises qui rejettent leurs déchets dans la nature. Au fil des pages on se sent vite concerné.
Edition Le livre de poche
Quatrième de couverture :
Lorsque Charles Carlin apprend que sa fille Michelle, huit ans, est atteinte d'un cancer myéloblastique, sa vie familiale et professionnelle tourne au cauchemar. Cancérologue, il sait que cette forme de leucémie est souvent due à la pollution. Or, en amont de sa maison, une usine de recyclage de caoutchouc vomit ses résidus dans la rivière... Alors qu'il essaie d'en savoir plus, Charles Carlin se heurte à la méfiance et à l'hostilité de tous - médecins traitants de Michelle, pouvoirs publics, supérieurs, collègues -, et même de sa femme Cathryn. Sa fille va mourir, assassinée par le pouvoir médico-industriel. Alors cet homme tranquille se transforme en hors-la-loi et en justicier. Mais, seul contre tous, devant l'indifférence des uns et des autres, que peut faire Charles Carlin pour son enfant ? Comme Vertiges, ce roman bouleversant a pour cadre le milieu médical que l'auteur, chirurgien, connaît parfaitement.
Mon avis :
Très émouvante cette histoire mais la fin est un peu invraisemblable en si peu de temps (un peu tiré par les cheveux). Les sujets de l'histoire sont la leucémie et la pollution de l'eau du à des entreprises qui rejettent leurs déchets dans la nature. Au fil des pages on se sent vite concerné.
Invité- Invité
Re: [Cook, Robin] Fièvre
Effectivement, si il y a de l'action, du suspens, et tout et tout, la fin est fort décevante, et tombe dans un méli-mélo totalement invraisemblable, ce qui gache beaucoup le livre...
Invité- Invité
Re: [Cook, Robin] Fièvre
J'ai adoré !
J'avoue que 40 ans après ce roman, j'aurais aimé que les théories révolutionnaires du Dr Carlin fonctionnent...
En effet, plutôt que d'injecter des médicaments qui détruisent non seulement les cellules cancéreuses, ce chercheur veut booster l'immunité et que le malade fasse lui-même le travail. Une solution bien plus saine. Et certainement bien moins rentable...
Ce roman a un petit air d'Erin Brockovich. Seul, le Dr Carlin suspecte une usine de rendre malade mortellement des enfants. Seulement, quand l'écologie n'est encore qu'un concept flou, qu'une contrée doit sa survie à l'usine, qui va l'écouter ? D'autant qu'il a beau être un chercheur reconnu, il semble devenu fou en apprenant l'état dramatique de sa fille. De quoi lui retirer tout crédit.
Très clairement, malgré ses emportements et son caractère irascible, j'ai été du côté de Charles du début à la fin. Fin peu crédible et qui part un peu trop loin pour moi, mais qui ne m'a cependant pas gâché mon plaisir de lecture.
Je vote très apprécié.
Citations :
"Au cours des dernières vingt-quatre heures il avait appris à ses dépens qu'il ne pouvait compter que sur lui-même. La famille, les collègues, les institutions gouvernementales étaient soient inutiles et récalcitrants, soit carrément hostiles. Et il fallait une bonne dose de courage et de détermination pour rester seul contre tous."
"Charles descendit lentement l'escalier en luttant contre la colère et le désespoir qui l'envahissaient. Quel était donc ce monde qui faisait passer les considérations matérielles avant les considérations morales, surtout quand il s'agissait de médecine ?"
"L'idée d’ajouter aux souffrances de Michelle était pour lui une torture mais il ne pouvait pas non plus se résoudre à la laisser mourir sans essayer de la sauver. Et il n'avait aucune autre possibilité."
J'avoue que 40 ans après ce roman, j'aurais aimé que les théories révolutionnaires du Dr Carlin fonctionnent...
En effet, plutôt que d'injecter des médicaments qui détruisent non seulement les cellules cancéreuses, ce chercheur veut booster l'immunité et que le malade fasse lui-même le travail. Une solution bien plus saine. Et certainement bien moins rentable...
Ce roman a un petit air d'Erin Brockovich. Seul, le Dr Carlin suspecte une usine de rendre malade mortellement des enfants. Seulement, quand l'écologie n'est encore qu'un concept flou, qu'une contrée doit sa survie à l'usine, qui va l'écouter ? D'autant qu'il a beau être un chercheur reconnu, il semble devenu fou en apprenant l'état dramatique de sa fille. De quoi lui retirer tout crédit.
Très clairement, malgré ses emportements et son caractère irascible, j'ai été du côté de Charles du début à la fin. Fin peu crédible et qui part un peu trop loin pour moi, mais qui ne m'a cependant pas gâché mon plaisir de lecture.
Je vote très apprécié.
Citations :
"Au cours des dernières vingt-quatre heures il avait appris à ses dépens qu'il ne pouvait compter que sur lui-même. La famille, les collègues, les institutions gouvernementales étaient soient inutiles et récalcitrants, soit carrément hostiles. Et il fallait une bonne dose de courage et de détermination pour rester seul contre tous."
"Charles descendit lentement l'escalier en luttant contre la colère et le désespoir qui l'envahissaient. Quel était donc ce monde qui faisait passer les considérations matérielles avant les considérations morales, surtout quand il s'agissait de médecine ?"
"L'idée d’ajouter aux souffrances de Michelle était pour lui une torture mais il ne pouvait pas non plus se résoudre à la laisser mourir sans essayer de la sauver. Et il n'avait aucune autre possibilité."
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