[Bonvicini, Caterina] Le pays que j'aime
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[Bonvicini, Caterina] Le pays que j'aime
[Bonvicini, Caterina] Le pays que j'aime
[Bonvicini, Caterina]
Le pays que j’aime
Editions Gallimard Octobre 2016
ISBN 978 2 07 014315 3
311 pages
Quatrième de couverture
Valerio et Olivia grandissent ensemble dans la magnifique villa de la famille Morganti, à Bologne : Olivia est l’héritière des Morganti, de riches entrepreneurs du bâtiment, et Valerio est le fils du jardinier. Après avoir partagé une enfance de rêve, ils ne cessent de se séparer, de se retrouver, puis de se perdre de nouveau. Valerio suit d’abord sa mère à Rome quand celle-ci quitte son père. Plus tard, alors qu’ils sont étudiants, c’est Olivia qui part à Paris pour échapper aux disputes de son clan. Chacun d’eux est animé de forces centrifuges qui les empêchent de poursuivre leur relation, aussi sincère que burlesque. Valerio est ambitieux et poursuit le rêve de devenir magistrat, Olivia, elle, tente désespérément de trouver son chemin. Autour d’eux, c’est toute l’Italie berlusconienne qui tangue comme un bateau ivre et avance inexorablement vers un naufrage tragicomique.
Mon avis
Le pays que j’aime parcourt l’histoire italienne récente, de 1975 à 2013, à travers le destin d’un couple, d’une famille et de toute une société. Les répliques fusent dans cette cruelle comédie à l’italienne, menée tambour battant grâce au talent de Caterina Bonvicini. Voici Manon la grand-mère régnant sur la famille, Olivia et Valério qui se voit et se revoit après s’être perdu de vue, un roman caricatural, facile à lire, la période est intéressante, les retrouvailles de Olivia et Valério m’ont paru ennuyeuses par leurs répétitions. C’est l’époque hallucinante de Berlusconi, Falcone et Borsellino meurent assassinés ou tous les fantasmes, les idéaux et les enthousiasmes des jeunes, se concentraient sur une seule profession très convoitée : magistrat. Ce n’est pas seulement une histoire d’amour, mais aussi le blanchiment d’argent sale, les affaires frauduleuses et les abus de biens sociaux, une société qui évolue avec ses magouilles qui permet des fêtes fastueuses au champagne, dans l’ensemble Valério y joue un rôle important, il faut ajouter que c’est lui le narrateur qui ne pense qu’à avoir sa revanche sur la famille d’Olivia.
Le pays que j’aime
Editions Gallimard Octobre 2016
ISBN 978 2 07 014315 3
311 pages
Quatrième de couverture
Valerio et Olivia grandissent ensemble dans la magnifique villa de la famille Morganti, à Bologne : Olivia est l’héritière des Morganti, de riches entrepreneurs du bâtiment, et Valerio est le fils du jardinier. Après avoir partagé une enfance de rêve, ils ne cessent de se séparer, de se retrouver, puis de se perdre de nouveau. Valerio suit d’abord sa mère à Rome quand celle-ci quitte son père. Plus tard, alors qu’ils sont étudiants, c’est Olivia qui part à Paris pour échapper aux disputes de son clan. Chacun d’eux est animé de forces centrifuges qui les empêchent de poursuivre leur relation, aussi sincère que burlesque. Valerio est ambitieux et poursuit le rêve de devenir magistrat, Olivia, elle, tente désespérément de trouver son chemin. Autour d’eux, c’est toute l’Italie berlusconienne qui tangue comme un bateau ivre et avance inexorablement vers un naufrage tragicomique.
Mon avis
Le pays que j’aime parcourt l’histoire italienne récente, de 1975 à 2013, à travers le destin d’un couple, d’une famille et de toute une société. Les répliques fusent dans cette cruelle comédie à l’italienne, menée tambour battant grâce au talent de Caterina Bonvicini. Voici Manon la grand-mère régnant sur la famille, Olivia et Valério qui se voit et se revoit après s’être perdu de vue, un roman caricatural, facile à lire, la période est intéressante, les retrouvailles de Olivia et Valério m’ont paru ennuyeuses par leurs répétitions. C’est l’époque hallucinante de Berlusconi, Falcone et Borsellino meurent assassinés ou tous les fantasmes, les idéaux et les enthousiasmes des jeunes, se concentraient sur une seule profession très convoitée : magistrat. Ce n’est pas seulement une histoire d’amour, mais aussi le blanchiment d’argent sale, les affaires frauduleuses et les abus de biens sociaux, une société qui évolue avec ses magouilles qui permet des fêtes fastueuses au champagne, dans l’ensemble Valério y joue un rôle important, il faut ajouter que c’est lui le narrateur qui ne pense qu’à avoir sa revanche sur la famille d’Olivia.
lalyre- Grand sage du forum
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