[Désérable, François-Henri] Un certain M. Piekielny
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[Désérable, François-Henri] Un certain M. Piekielny
[Désérable, François-Henri] Un certain M. Piekielny
[Désérable, François-Henri]
Un certain M. Piekielny
Gallimard 18 août 2017
ISBN 978 2 0727 4141 8
259 pages
Présentation de l'éditeur
"Quand tu rencontreras de grands personnages, des hommes importants, promets-moi de leur dire : au n°16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny". Quand il fit la promesse à ce M. Piekielny, son voisin, qui ressemblait à "une souris triste", Roman Kacew était enfant. Devenu adulte, résistant, diplomate, écrivain sous le nom de Romain Gary, il s'en est toujours acquitté : "Des estrades de l'ONU à l'Ambassade de Londres, du Palais Fédéral de Berne à l'Elysée, devant Charles de Gaulle et Vichinsky, devant les hauts dignitaires et les bâtisseurs pour mille ans, je n'ai jamais manqué de mentionner l'existence du petit homme", raconte-t-il dans La promesse de l'aube, son autobiographie romancée. Un jour de mai, des hasards m'ont jeté devant le n° 16 de la rue Grande-Pohulanka. J'ai décidé, ce jour-là, de partir à la recherche d'un certain M. Piekielny".
Mon avis
C’est ce que fit François-Henri Désérable après avoir lu La promesse de l’aube et s’être trouvé par hasard devant le n° 16 de la rue Grande-Pohulanka à Wilno(Lituanie) ou habita M. Piekielny,(je me demande si ce personnage a existé, peut-être l’auteur s’est inspiré d’un personne réel )ce qui lui donne l’envie de remonter l’histoire de cet homme. Donc on sait qu’après cette requête Romain Gary respecta cette promesse faite à ce voisin ayant l’aspect d’une petite souris triste qui lui avait prédit un avenir brillant. Parlons un peu de la mère de Romain Gary qui avait beaucoup d’ambition pour son fils, qui clamait que son fils serait ambassadeur de France, en effet Romain Gary devint aviateur, diplomate et un grand écrivain et fut le seul écrivain à avoir reçu deux fois le prix Goncourt, pour Les racines du ciel et La vie devant soi. Revenons à l’écrivain Désérable qui fasciné par le personnage de M. Piekielny lui rend hommage et tente de remonter dans le passé de cet homme qui semblerait avoir terminé sa vie dans un camp de concentration. En hommage également à Romain Gary bien sûr, qui eut plusieurs noms dont Gary/Ajar, mais Il reste cependant du mystère dans la vie de celui-ci. Que dire d’autre ? Que cette belle littérature qui n’est ni historique, ni biographique incite le lecteur à poursuivre sa lecture, sert à quelque chose, car l’écrivain fait-il naître ? Renaître ? Ce M. Piekielny, peu importe après tout de savoir s’il avait réellement vécu, s’il n’était que d’encre ou de papier, c’est cela qui souligne le triomphe éclatant de la littérature via la fiction et qui mérite un gros coup de cœur…5/5
Un certain M. Piekielny
Gallimard 18 août 2017
ISBN 978 2 0727 4141 8
259 pages
Présentation de l'éditeur
"Quand tu rencontreras de grands personnages, des hommes importants, promets-moi de leur dire : au n°16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny". Quand il fit la promesse à ce M. Piekielny, son voisin, qui ressemblait à "une souris triste", Roman Kacew était enfant. Devenu adulte, résistant, diplomate, écrivain sous le nom de Romain Gary, il s'en est toujours acquitté : "Des estrades de l'ONU à l'Ambassade de Londres, du Palais Fédéral de Berne à l'Elysée, devant Charles de Gaulle et Vichinsky, devant les hauts dignitaires et les bâtisseurs pour mille ans, je n'ai jamais manqué de mentionner l'existence du petit homme", raconte-t-il dans La promesse de l'aube, son autobiographie romancée. Un jour de mai, des hasards m'ont jeté devant le n° 16 de la rue Grande-Pohulanka. J'ai décidé, ce jour-là, de partir à la recherche d'un certain M. Piekielny".
Mon avis
C’est ce que fit François-Henri Désérable après avoir lu La promesse de l’aube et s’être trouvé par hasard devant le n° 16 de la rue Grande-Pohulanka à Wilno(Lituanie) ou habita M. Piekielny,(je me demande si ce personnage a existé, peut-être l’auteur s’est inspiré d’un personne réel )ce qui lui donne l’envie de remonter l’histoire de cet homme. Donc on sait qu’après cette requête Romain Gary respecta cette promesse faite à ce voisin ayant l’aspect d’une petite souris triste qui lui avait prédit un avenir brillant. Parlons un peu de la mère de Romain Gary qui avait beaucoup d’ambition pour son fils, qui clamait que son fils serait ambassadeur de France, en effet Romain Gary devint aviateur, diplomate et un grand écrivain et fut le seul écrivain à avoir reçu deux fois le prix Goncourt, pour Les racines du ciel et La vie devant soi. Revenons à l’écrivain Désérable qui fasciné par le personnage de M. Piekielny lui rend hommage et tente de remonter dans le passé de cet homme qui semblerait avoir terminé sa vie dans un camp de concentration. En hommage également à Romain Gary bien sûr, qui eut plusieurs noms dont Gary/Ajar, mais Il reste cependant du mystère dans la vie de celui-ci. Que dire d’autre ? Que cette belle littérature qui n’est ni historique, ni biographique incite le lecteur à poursuivre sa lecture, sert à quelque chose, car l’écrivain fait-il naître ? Renaître ? Ce M. Piekielny, peu importe après tout de savoir s’il avait réellement vécu, s’il n’était que d’encre ou de papier, c’est cela qui souligne le triomphe éclatant de la littérature via la fiction et qui mérite un gros coup de cœur…5/5
lalyre- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : jardinage,lecture
Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
Re: [Désérable, François-Henri] Un certain M. Piekielny
Mené par les hasards de la vie au pied de l'immeuble de Romain Gary, il revient à la mémoire du narrateur l'existence d'une « petite souris triste », le voisin de Romain, j'ai nommé : M. Piekielny ! Il décide de partir à la recherche de cette petite souris.
Le narrateur nous balade à travers le temps (pour nous conter l'Histoire), les romans et la vie de Romain Gary.
C'est le premier roman que je lis de cet auteur, j'ai beaucoup aimé son écriture porté par un bel humour. J'ai moins apprécié le fait que le narrateur parle beaucoup de lui, il y a certes des points commun avec Romain Gary qui rendent intéressant le récit, mais ce n'est pas vraiment ce que j'attendais de ce roman.
Je vote apprécié.
Le narrateur nous balade à travers le temps (pour nous conter l'Histoire), les romans et la vie de Romain Gary.
C'est le premier roman que je lis de cet auteur, j'ai beaucoup aimé son écriture porté par un bel humour. J'ai moins apprécié le fait que le narrateur parle beaucoup de lui, il y a certes des points commun avec Romain Gary qui rendent intéressant le récit, mais ce n'est pas vraiment ce que j'attendais de ce roman.
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lili78- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : Bibliothécaire / lecture, cuisine, jardinage, balades
Genre littéraire préféré : un peu de tout suivant mes humeurs
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