[Brutsche, Alphonse] le dieu lumière
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le dieu lumière
[Brutsche, Alphonse] le dieu lumière
LE DIEU LUMIÈRE
SF édité au fleuve noir en 1973
233 pages
Résumé
« A terre, le combat était terminé. Les nouveaux venus avaient immobilisé le dernier rapace et le maintenaient solidement.
Gio, encore étourdi, put contempler ceux qui l'avaient délivré de l'étreinte des volatiles. II ne pouvait discerner leurs traits ni la couleur de leur peau, mais les chasseurs étaient indiscutablement humanoïdes. Bouleversé par la présence d'êtres si proches de lui sur une planète inconnue, le jeune écologiste n'avait pas pris garde au verbiage qui se déversait de plusieurs bouches à la fois.
Et soudain, il sentit que sa raison s'effritait. Les humanoïdes avaient un accent déroutant et employaient des mots inconnus, mais il n'y avait aucun doute possible : ils parlaient anglais !
— Qui es-tu, et d'où viens-tu, Homme Vert ? lui disait celui qui paraissait être le chef ».
Mais lorsque Gio et ses compagnons découvrirent à leur tour d'où venaient les humanoïdes et pourquoi ils parlaient leur langue, il était trop tard... bien trop tard.
Mon ressenti
Une histoire qui n’est pas nouvelle et qui rappelle le thème de la planète des singes : jusqu’où l’homme peut-il aller en se niant, en écrasant et détruisant tout à sa convenance sur son passage ? Un équipage de 4 personnes, deux couples va le découvrir à ses dépens. Tous les 4 pris dans une boucle infernale du temps, vont comprendre mais trop tard ce qu’ils ont déclenché des siècles avant leur arrivée. Il leur faudra hélas, s’adapter ou mourir.
L’auteur aborde un sujet qui lui tient à cœur (tout comme moi) celui de la connaissance et de sa transmission : enrichissement ou appauvrissement ainsi que le pouvoir qui en découle, le débat est lancé…
Un bon moment de lecture
SF édité au fleuve noir en 1973
233 pages
Résumé
« A terre, le combat était terminé. Les nouveaux venus avaient immobilisé le dernier rapace et le maintenaient solidement.
Gio, encore étourdi, put contempler ceux qui l'avaient délivré de l'étreinte des volatiles. II ne pouvait discerner leurs traits ni la couleur de leur peau, mais les chasseurs étaient indiscutablement humanoïdes. Bouleversé par la présence d'êtres si proches de lui sur une planète inconnue, le jeune écologiste n'avait pas pris garde au verbiage qui se déversait de plusieurs bouches à la fois.
Et soudain, il sentit que sa raison s'effritait. Les humanoïdes avaient un accent déroutant et employaient des mots inconnus, mais il n'y avait aucun doute possible : ils parlaient anglais !
— Qui es-tu, et d'où viens-tu, Homme Vert ? lui disait celui qui paraissait être le chef ».
Mais lorsque Gio et ses compagnons découvrirent à leur tour d'où venaient les humanoïdes et pourquoi ils parlaient leur langue, il était trop tard... bien trop tard.
Mon ressenti
Une histoire qui n’est pas nouvelle et qui rappelle le thème de la planète des singes : jusqu’où l’homme peut-il aller en se niant, en écrasant et détruisant tout à sa convenance sur son passage ? Un équipage de 4 personnes, deux couples va le découvrir à ses dépens. Tous les 4 pris dans une boucle infernale du temps, vont comprendre mais trop tard ce qu’ils ont déclenché des siècles avant leur arrivée. Il leur faudra hélas, s’adapter ou mourir.
L’auteur aborde un sujet qui lui tient à cœur (tout comme moi) celui de la connaissance et de sa transmission : enrichissement ou appauvrissement ainsi que le pouvoir qui en découle, le débat est lancé…
Un bon moment de lecture
Pinky- Grand sage du forum
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Age : 61
Localisation : Les Sables d'Olonne (85)
Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
Genre littéraire préféré : Je lis de tout en littérature mais j'ai beaucoup de mal avec les policiers... j'en lis 1 ou 2 dans l
Date d'inscription : 04/06/2008
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