[Anseaume, Camille] Quatre murs et un toit

[Anseaume, Camille]
Quatre murs et un toit
Editions Calmann-Levy 2 mars 2018
ISBN 978 2 7021 6322 1
161 pages
Quatrième de couverture
Camille apprend que ses parents ont mis en vente la maison de son enfance, où elle a grandi avec ses frères et sœurs. Elle décide de s’y installer pour la semaine afin de s’imprégner du lieu. Chaque pièce résonne encore de l’écho des joies et des peines passées et la replonge dans les souvenirs : les manies de sa mère, les blagues de son père, les amis du grand-frère dont elle est un peu amoureuse, les disputes entre sœurs… des cris, des rires, des larmes, mais surtout beaucoup d’amour.

Mon avis
Camille revient à la maison et la revisite en notre compagnie, la clé est sous le paillasson comme convenu avec ses parents en vacances. Il y a le banc d’entrée qui pourrait en raconter des histoires de ceux qui se sont assis dessus, le salon ou l’on recevait les amis, c’est la pièce des paradoxes et des contradictions.. Je laisse le lecteur continuer la visite avec Camille. Elle a passé sa dernière nuit dans la maison de son enfance, en s’éveillant, elle a dans la bouche comme un goût de rupture, celui des dernières heures que l’on vole à l’autre avant de la quitter pour de bon. Un petit livre facile à lire, j’y ai ressenti la nostalgie de Camille, cependant comme elle sait ce qu’est la vie, l’auteure lors de sa visite lâche parfois un brin d’humour et comme elle dit : Si partir, c’est mourir un peu, écrire, c’est aussi partir un peu et c’est cela qui nous donne à lire ce très beau récit.. 4,5/5

Merci Lalyre pour cet avis qui me donne envie de me plonger dans ce nouveau roman de C. Anseaume que j'aime beaucoup

Merci Lalyre, j'inscris immédiatement ce roman dans ma liste LAL et je vais l'acheter car il m'attire vraiment. Il se trouve qu'actuellement je suis très peinée car je vais quitter la maison de ma jeunesse (mon déménagement est pour le printemps) et je suis mortifiée... Ce livre est donc pour moi !

Lalyre une très belle lecture, pleine de nostalgie.

Lorsque l'on a eu la chance  de vivre dans une maison de famille il est difficile même douloureux de devoir quitter ce lieu, bâti par nos ancêtres,  où toutes les pièces renferment les joies, les tristesses de plusieurs générations...

on a tous en nous quelque chose de Camille  Anseaume ...
son titre rappelle celui de la chanson de Benabar : autant de tendresse de nostalgie.
J'ai beaucoup aimé