[Noort, Saskia] Petits meurtres entre voisins

Petits meutres entre voisins

Auteur : Saskia Noort
Edition : France Loisirs
Nombre de pages : 338

Quatriéme de couverture :

Imaginez Desperate housewives revu et corrigé par Patricia Highsmith, et vous aurez une idée de l’atmosphère décapante de ce thriller décalé dans lequel Saskia Noort fait grincer la mécanique bien huilée de la bonne société hollandaise.
Résumé
Membres d’un “club” constitué de leurs voisins et amis, Karen et Michel apprécient la vie dans la petite communauté hollandaise dans laquelle ils viennent de s’installer. C’est agréable de se sentir entouré et en confiance. Cependant, lorsque la villa de leur ami Evert flambe et que celui-ci trouve la mort, et qu’une autre membre de leur club se défenestre, ils sont sous le choc. Il n’y a alors plus de doute possible : un assassin sévit au sein de leur petit cercle...

Appréciation :

J'ai bien aimé mais c'est vrai c'est pas du grand polar mais j'ai passé un agréable moment.
J'ai trouvé que cette bande de copains était chaud comme la braise ouh là là tout le monde couche avec tout le monde et chacun cache son petit secret.
J'ai plutôt eu l'impression d'avoir à faire à une bonne bande de psychopathes qui n'ont rien d'autre à faire que de dire du mal de son voisin.
Sympa une bonne lecture pour l'été sur la plage pour ne pas trop réfléchir.

Ma note : 8/10

faudrait rectifier le titre c'est petits meurtres entre voisins

moi lu en une journée
on retrouve les mêmes types de personnages que Desespered Wifes !
ça se lit mais on n'est pas accroché à chaque page afin de connaitre la suite

ma note : 6/10

Tiens je me le note, ca peut être "sympa"

Bizarrement j'ai eu une impression de "déjà lue" en parcourant ce roman. Je n'ai pas beaucoup apprécié, j'ai trouvé les personnages très hypocrites, et contrairement aux desperates houssewives, il n'y a pas d'humour. C'est le premier livre de cet auteur que je lis, je me laisserai surement tenté par ses autres romans.

La reine hollandaise du roman noir, qui caracole en tête des meilleures ventes, nous plonge dans un huis clos féminin angoissant et sexy. Un portrait décapant de la banlieue chic d'Amsterdam où l'hédonisme vire à l'aigre sous la vertigineuse mécanique du mensonge et de la trahison. Karen et Michel ne regrettent pas d'avoir quitté la capitale pour le petit village où ils viennent de s'installer. En plus d'un rythme de vie apaisé, ils ont trouvé un cercle social des plus grisants : un groupe d'urbains convertis aux bienfaits de la campagne qui partagent comme eux le goût de ta bonne chère, des boissons et de l'argent. Ensemble, ils fondent un club et passent leur vie les uns chez les autres. Subrepticement, pourtant, l'équilibre vacille. Un violent incendie éclate en pleine nuit chez un des couples, tuant le mari. Autour de cette mort brutale, les jalousies et les rancoeurs commencent à affleurer : adultère, soupçons de malversations. Et lorsque, quelques jours plus tard, un autre membre se défenestre depuis une chambre d'hôtel, le doute s'installe pour de bon. Puis la peur. Puis l'angoisse : un assassin se cache-t-il parmi eux ?... Je ne dirai rien de plus, lisez-le !

La Reine Hollandaise du roman noir... hum...hum..... je n'ai ressenti aucun suspense, aucune angoisse... c'est un livre qui se lit vite, facilement, et ne vous empêchera pas de faire de beaux rêves!

Un couple bon chic, bon genre, quitte Amsterdam avec leurs deux enfants pour s'installer dans un village "huppé" de la proche banlieue, espérant y trouver la tranquillité et plus de sécurité.

L'épouse, Karen, va rapidement s’ennuyer et intriguer pour intégrer un groupe d'ex-citadins qui ont pour uniques soucis les toilettes, les belles voitures, un niveau de vie très élevé, l'alcool(qui coule à flot), et les ragots "genre qui couche avec qui".

De plus en créant "le club des dineurs" ils finissent par passer leur temps les uns chez les autres! Jusque là pourquoi pas!

Mais lorsqu'une maison flambe en pleine nuit et qu'un des amis est tué, quand une autre se jette d'un balcon il y a problème!!!!!

Que devient la belle amitié, la belle entente superficielle, les langues se délient! C'est le procès de l'amitié qui est tout sauf sincère!!

Ce qui m'a étonné dans ce roman après le coté superficiel, c'est l'absence de réaction des enfants, chacun en a, mais on en parle pas, des pions qu'on emmène chez l'un ou l'autre couple tout simplement.

Pas désagréable à lire, j'ai passé un bon moment sans plus, je vote moyen.

Saskia Noort nous offre la vie d'une petite communauté d'amis où le paraître doit être ostentatoire... jusqu'à ce que le verni s'écaille !

La mise en situation m'a fait penser à la mode bcbg, voir même plus si affinité -et ils en ont !- Il en ressort que le paraître ce n'est pas être. Cela se lit très facilement jusqu'à la pierre d'achoppement et là, chapeau, pour le rebondissement final.