[Garat, Anne-Marie] Le grand Nord-Ouest
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[Garart, Anne_Marie] Le grand Nord-Ouest
[Garat, Anne-Marie] Le grand Nord-Ouest
[Garat, Anne-Marie]
Le grand Nord-Ouest
Actes Sud 22 août 2018
Quatrième de couverture
Fin des années 1930. Lorna del Rio quitte précipitamment les beaux quartiers d’Hollywood avec la petite Jessie et fonce vers le Grand Nord-Ouest du Yukon et de l’Alaska, sur les routes, par mer et jusque sur les anciennes pistes indiennes. Son périple croise les légendes de l’épopée de l’or et des trappeurs d’antan, avec pour seul guide une mystérieuse carte folle et ses munitions de première nécessité : son étole de vison, sa trousse à maquillage, son colt, une fortune volée dans le coffre d’Oswald Campbell, feu l’obèse papa de Jessie ; et surtout une sacoche pleine de vilains secrets. D’où vient-elle, que fuit-elle ? Que cherche l’intrépide pin-up, qui change de nom à tout bout de champ et ment comme elle respire ?
L’histoire de cette cavale, c’est Jessie qui, quinze ans plus tard, un soir d’avril 1954, la raconte à Bud Cooper, dans la banlieue d’Anchorage. Car qui d’autre que Bud tendrait l’oreille pour comprendre ce qu’a vécu Jessie, l’année de ses six ans, protégée par Kaska, l’Indienne gwich’in, puis réfugiée dans une autre tribu, et enfin exfiltrée par l’homme que le FBI a payé pour “délivrer” la fillette ?
Roman de la mémoire et des dernières frontières, des légendes et des mythes amérindiens, Le Grand Nord-Ouest invite également en filigrane entre ses pages, où plane l’ombre de Jack London, toute une galaxie de figures de fiction où l’Alice de Lewis Carroll rencontrerait le Petit Chaperon Rouge, Peau d’Âne ou Ali Baba, mais aussi le Kid de Chaplin et Citizen Kane. Avec ce magistral nouveau roman, Anne-Marie Garat convie une fois de plus le lecteur à un éblouissant voyage.
Mon avis
Cette aventure est racontée à Bud Cooper quinze ans plus tard par Jessie, âgée de six ans à l’époque, bien obligée de suivre sa mère qui se lance à la poursuite de ses fantômes sur les pistes du territoire amérindien du grand Nord. Bud nous avoue transcrire de son mieux le récit de cette équipée, en s’y tenant, jour après jour, car dit-il certaines des phases de Jessie persistent telles quelles, mot pour mot semble t-il, à défaut il en forge certaines qui y ressemblent, du moins à ses yeux car qui viendra le démentir ? Jessie n’étant plus là pour l’autoriser ou lui défendre d’écrire ce qu’elle lui a raconté à sa façon,ce que la sienne qu’il a vécue avec elle et dont il se souvient. Car c’est au prix de mille dangers que sa mère un peu folle au volant de sa Dodge cabossée entame sa cavale qui est sans doute une poursuite au trésor jusqu’à ce qu’elle-même soit poursuivie, mais comme cette femme ne recule devant rien, surtout lorsque toutes les deux réfugiées dans les rochers une meute de loups Ouf les voici au Canada, traversant la forêt c’est une vieille indienne de la tribu Titchone d’Avèsh, elle s’appelle Kaska, elle a la jambe prise dans un piège, ses amis les corbeaux n’ont rien pu faire pour elle cependant Loma la fiblustière l’a délivrée et Kaska devient la protectrice de Jessie lorsque le FBI est à sa recherche. Un roman-récit, western sans doute fiction et légendes dans le grand Far-West canadien que j’ai aimé bien que l’ai trouvé assez long avec ses 315 pages bien remplies….4,5/5
Le grand Nord-Ouest
Actes Sud 22 août 2018
Quatrième de couverture
Fin des années 1930. Lorna del Rio quitte précipitamment les beaux quartiers d’Hollywood avec la petite Jessie et fonce vers le Grand Nord-Ouest du Yukon et de l’Alaska, sur les routes, par mer et jusque sur les anciennes pistes indiennes. Son périple croise les légendes de l’épopée de l’or et des trappeurs d’antan, avec pour seul guide une mystérieuse carte folle et ses munitions de première nécessité : son étole de vison, sa trousse à maquillage, son colt, une fortune volée dans le coffre d’Oswald Campbell, feu l’obèse papa de Jessie ; et surtout une sacoche pleine de vilains secrets. D’où vient-elle, que fuit-elle ? Que cherche l’intrépide pin-up, qui change de nom à tout bout de champ et ment comme elle respire ?
L’histoire de cette cavale, c’est Jessie qui, quinze ans plus tard, un soir d’avril 1954, la raconte à Bud Cooper, dans la banlieue d’Anchorage. Car qui d’autre que Bud tendrait l’oreille pour comprendre ce qu’a vécu Jessie, l’année de ses six ans, protégée par Kaska, l’Indienne gwich’in, puis réfugiée dans une autre tribu, et enfin exfiltrée par l’homme que le FBI a payé pour “délivrer” la fillette ?
Roman de la mémoire et des dernières frontières, des légendes et des mythes amérindiens, Le Grand Nord-Ouest invite également en filigrane entre ses pages, où plane l’ombre de Jack London, toute une galaxie de figures de fiction où l’Alice de Lewis Carroll rencontrerait le Petit Chaperon Rouge, Peau d’Âne ou Ali Baba, mais aussi le Kid de Chaplin et Citizen Kane. Avec ce magistral nouveau roman, Anne-Marie Garat convie une fois de plus le lecteur à un éblouissant voyage.
Mon avis
Cette aventure est racontée à Bud Cooper quinze ans plus tard par Jessie, âgée de six ans à l’époque, bien obligée de suivre sa mère qui se lance à la poursuite de ses fantômes sur les pistes du territoire amérindien du grand Nord. Bud nous avoue transcrire de son mieux le récit de cette équipée, en s’y tenant, jour après jour, car dit-il certaines des phases de Jessie persistent telles quelles, mot pour mot semble t-il, à défaut il en forge certaines qui y ressemblent, du moins à ses yeux car qui viendra le démentir ? Jessie n’étant plus là pour l’autoriser ou lui défendre d’écrire ce qu’elle lui a raconté à sa façon,ce que la sienne qu’il a vécue avec elle et dont il se souvient. Car c’est au prix de mille dangers que sa mère un peu folle au volant de sa Dodge cabossée entame sa cavale qui est sans doute une poursuite au trésor jusqu’à ce qu’elle-même soit poursuivie, mais comme cette femme ne recule devant rien, surtout lorsque toutes les deux réfugiées dans les rochers une meute de loups Ouf les voici au Canada, traversant la forêt c’est une vieille indienne de la tribu Titchone d’Avèsh, elle s’appelle Kaska, elle a la jambe prise dans un piège, ses amis les corbeaux n’ont rien pu faire pour elle cependant Loma la fiblustière l’a délivrée et Kaska devient la protectrice de Jessie lorsque le FBI est à sa recherche. Un roman-récit, western sans doute fiction et légendes dans le grand Far-West canadien que j’ai aimé bien que l’ai trouvé assez long avec ses 315 pages bien remplies….4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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