[Eliot, George] Silas Marner
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[Eliot, Georges] Silas Marner
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[Eliot, George]
Silas Marner
Folio classique avril 2012
ISBN 978 2 07 037191 4
314 pages
Présentation de l’éditeur
Après avoir été trompé par son meilleur ami et accusé à tort de vol, le tisserand Silas Marner a quitté la ville et abandonné sa communauté religieuse pour s'établir dans la petite localité de Raveloe, dans la campagne anglaise.
Objet de suspicion en raison de son talent et de sa foi, il sombre dans la routine d'un travail solitaire. La rumeur court qu'il serait guérisseur, activité qui ne lui coûte rien. Devenu misanthrope, Marner ne trouve de consolation que dans la contemplation nocturne de ses écus...
Quinze ans après, une nouvelle affaire défraie la chronique de Raveloe. Le fils d'une riche famille, Dunsey Cass, jeune homme dissolu, fait du chantage à son frère aîné, Godfrey. Celui-ci, amoureux de la vertueuse Nancy, préfère payer la rançon plutôt que de voir révéler son mariage avec l'opiomane Molly Farren. Non content de cette mauvaise action, Dunsey se rend bientôt coupable du vol de l'or de Silas Marner. Mais Molly est décidée à faire éclater la vérité. Sur le chemin du bal du nouvel an chez les Cass, elle perd conscience. Et c'est sa fille, la petite Eppie, qui se rend jusqu'au cottage du vieux Marner pour quérir un remède...
Mon avis
Ce roman est une peinture très réaliste de l’Angleterre du XlXème siècle, assez désuet et intrigant, il faut dire que durant les 238 premières pages, des passages très longs comme dans tous les romans de cette époque. J’ai détesté le personnage de Godfrey Cass, un homme menteur, sans volonté, dompté par son frère Dunsey, un homme joueur et voleur lui soutirant de l’argent par un chantage. J’ai aimé Silas, le brave tisserand pour son courage après avoir été accusé de vol, qui après des années de solitude, a accueilli et élevé une petite fille orpheline de mère, on sait relativement vite qui est le père de cette enfant, il y a aussi une brave paysanne et son fils. J’ai approuvé la fin terriblement morale, dans ce monde rural malgré l’alcool et les riches irresponsables et égoïstes, j’ai ressenti la force de l’homme racheté par l’amour d’un enfant et l’amour pur de deux jeunes gens du monde rural, beaucoup de douceur dans la relation père-fille, ce qui fait de ce classique un roman chargé d’émotions diverses.
Silas Marner
Folio classique avril 2012
ISBN 978 2 07 037191 4
314 pages
Présentation de l’éditeur
Après avoir été trompé par son meilleur ami et accusé à tort de vol, le tisserand Silas Marner a quitté la ville et abandonné sa communauté religieuse pour s'établir dans la petite localité de Raveloe, dans la campagne anglaise.
Objet de suspicion en raison de son talent et de sa foi, il sombre dans la routine d'un travail solitaire. La rumeur court qu'il serait guérisseur, activité qui ne lui coûte rien. Devenu misanthrope, Marner ne trouve de consolation que dans la contemplation nocturne de ses écus...
Quinze ans après, une nouvelle affaire défraie la chronique de Raveloe. Le fils d'une riche famille, Dunsey Cass, jeune homme dissolu, fait du chantage à son frère aîné, Godfrey. Celui-ci, amoureux de la vertueuse Nancy, préfère payer la rançon plutôt que de voir révéler son mariage avec l'opiomane Molly Farren. Non content de cette mauvaise action, Dunsey se rend bientôt coupable du vol de l'or de Silas Marner. Mais Molly est décidée à faire éclater la vérité. Sur le chemin du bal du nouvel an chez les Cass, elle perd conscience. Et c'est sa fille, la petite Eppie, qui se rend jusqu'au cottage du vieux Marner pour quérir un remède...
Mon avis
Ce roman est une peinture très réaliste de l’Angleterre du XlXème siècle, assez désuet et intrigant, il faut dire que durant les 238 premières pages, des passages très longs comme dans tous les romans de cette époque. J’ai détesté le personnage de Godfrey Cass, un homme menteur, sans volonté, dompté par son frère Dunsey, un homme joueur et voleur lui soutirant de l’argent par un chantage. J’ai aimé Silas, le brave tisserand pour son courage après avoir été accusé de vol, qui après des années de solitude, a accueilli et élevé une petite fille orpheline de mère, on sait relativement vite qui est le père de cette enfant, il y a aussi une brave paysanne et son fils. J’ai approuvé la fin terriblement morale, dans ce monde rural malgré l’alcool et les riches irresponsables et égoïstes, j’ai ressenti la force de l’homme racheté par l’amour d’un enfant et l’amour pur de deux jeunes gens du monde rural, beaucoup de douceur dans la relation père-fille, ce qui fait de ce classique un roman chargé d’émotions diverses.
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