[Aillon, Jean d'] Série Guilhem d'Ussel - Férir ou périr

•  Broché: 580 pages
•  Editeur : Presses de la Cité (7 mai 2014)
•  Collection : Hors collection
•  Langue : Français
•  ISBN-10: 2258110211
•  ISBN-13: 978-2258110212




4ème de couverture :

XIIe siècle. Entre Paris et la Normandie, le chevalier et troubadour Guilhem d'Ussel se trouve, malgré lui, impliqué dans les rivalités de pouvoir de la couronne d'Angleterre.
Mai 1193. En l'absence de Richard Cœur de Lion, emprisonné, et avec la complicité du prince Jean, éternel félon, Philippe Auguste, roi de France, tente de s'approprier la Normandie. Au même moment, deux de ses plus proches chevaliers sont assassinés avec des carreaux d'arbalète gravés d'une licorne.

Sur ces entrefaites, Guilhem d'Ussel arrive dans Paris qui foisonne de jolies dames... Pour les beaux yeux de l'une d'entre elles, le jeune chevalier troubadour se retrouve embrigadé dans une course-poursuite à la recherche du meurtrier, archer d'excellence qui, dans l'ombre, sévit.
A la solde de qui ?

Passions et trahisons, quête de justice et luttes de pouvoir : la grande saga du chevalier troubadour Guilhem d'Ussel continue...


Mon avis :

J’ai peut-être lu trop d’épisodes de cette saga, je commence à m’ennuyer un peu. Je n’apprends plus grand-chose, ça doit être pour cela que j’ai trouvé cet opus un peu trop long. Heureusement, le tournoi en fin d’ouvrage a réveillé mon intérêt.

Comme tous les autres romans de Jean d’Aillon, voilà un beau roman d’aventures avec pour toile de fond la Grande Histoire, tellement détaillée qu’on s’y croirait. J’éprouve toujours un peu de regret à quitter Guilhem. Heureusement, je sais que je peux le retrouver quand je le souhaite : il me reste quelques tomes à lire. Dès que l’envie s’en fera sentir, je repartirai à la découverte de l’Europe au Moyen-Age.

Prochaine étape pour moi, Rome en 1202. Pas tout de suite, tout de même !

Je ne peux pas résister à l'envie de poster un preux chevalier. Pour vous, qui sait, Guilhem ?


Et le tournoi organisé par l'infââââme Prince Jean : (enfin, presque) (pas presque infââââme, presque le tournoi...)