[Perrin-Guillet, Gaëlle] Haut le choeur
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[Perrin-Guillet, Gaëlle] Haut le choeur
Titre: Haut le chœur
Auteur: Gaëlle Perrin-Guillet
Éditions: Taurnada
ISBN: 978-2-37258-052-6
Nombres de pages: 241
Quatrième de couverture:
" Quand je sortirai, tu seras la première prévenue ... Je saurai te retrouver. "
Depuis qu'Eloane Frezet, la tueuse en série la plus abjecte de ces dernières années, a prononcé ces mots, Alix Flament vit dans l'angoisse que la criminelle sanguinaire s’évade de prison ...
Alors, quand la journaliste reçoit un coup de téléphone d'Eloane en pleine nuit, elle comprend que la meurtrière va honorer sa promesse ...
Mon avis:
Et bien voilà, pour une énième fois avec les éditions Taurnada je ne suis pas déçue.
Voici un thriller rondement mené, ça part fort dés le début, et on est tenu en haleine jusqu'à la fin explosive.
Une tueuse sanguinaire, c'est le moins qu'on puisse dire, adepte de la scarification, s’évade de prison et appelle la journaliste qui l'avait interviewée " Quand je sortirai, tu seras la première prévenue ... je saurai te retrouver. " Une course poursuite haletante entraine les flics et la journaliste dans tout Chambery, qui se parsème de corps torturés.
Mais tout le monde sait que pour la trouver il faut trouver le mobile...
J'ai adoré le mobile, déjà jusqu'au trois quart on se pose milles questions, quand on voit se profiler le mobile, on se dit non ........... ben si ........... et c'est un mobile que je n'ai jamais lu dans tous les thrillers que j'ai lu.
Les personnages sont bien travaillés, le regard de la tueuse est angoissant à souhait, on ressent bien la peur chez la journaliste et son mari légiste, ainsi que chez les flics. Les lieux et le climat rendent le thrilller angoissant.
L’écriture est agréable à lire, c'est fluide pas de bla bla inutile, on s'y plonge tête première et on ne peux plus le lâcher.
Il y a juste un petit détail qui m'a un peu manqué, peut être sur la fin j'aurais bien lu une description des tortures faites par la tueuse du direct, surtout après avoir connu le mobile. C'est mon coté obscur qui parle.
Je remercie le forum Partage-Lecture et les éditions Taurnada de m'avoir fait découvrir cette auteure que je lirai avec plaisir.
Auteur: Gaëlle Perrin-Guillet
Éditions: Taurnada
ISBN: 978-2-37258-052-6
Nombres de pages: 241
Quatrième de couverture:
" Quand je sortirai, tu seras la première prévenue ... Je saurai te retrouver. "
Depuis qu'Eloane Frezet, la tueuse en série la plus abjecte de ces dernières années, a prononcé ces mots, Alix Flament vit dans l'angoisse que la criminelle sanguinaire s’évade de prison ...
Alors, quand la journaliste reçoit un coup de téléphone d'Eloane en pleine nuit, elle comprend que la meurtrière va honorer sa promesse ...
Mon avis:
Et bien voilà, pour une énième fois avec les éditions Taurnada je ne suis pas déçue.
Voici un thriller rondement mené, ça part fort dés le début, et on est tenu en haleine jusqu'à la fin explosive.
Une tueuse sanguinaire, c'est le moins qu'on puisse dire, adepte de la scarification, s’évade de prison et appelle la journaliste qui l'avait interviewée " Quand je sortirai, tu seras la première prévenue ... je saurai te retrouver. " Une course poursuite haletante entraine les flics et la journaliste dans tout Chambery, qui se parsème de corps torturés.
Mais tout le monde sait que pour la trouver il faut trouver le mobile...
J'ai adoré le mobile, déjà jusqu'au trois quart on se pose milles questions, quand on voit se profiler le mobile, on se dit non ........... ben si ........... et c'est un mobile que je n'ai jamais lu dans tous les thrillers que j'ai lu.
Les personnages sont bien travaillés, le regard de la tueuse est angoissant à souhait, on ressent bien la peur chez la journaliste et son mari légiste, ainsi que chez les flics. Les lieux et le climat rendent le thrilller angoissant.
L’écriture est agréable à lire, c'est fluide pas de bla bla inutile, on s'y plonge tête première et on ne peux plus le lâcher.
Il y a juste un petit détail qui m'a un peu manqué, peut être sur la fin j'aurais bien lu une description des tortures faites par la tueuse du direct, surtout après avoir connu le mobile. C'est mon coté obscur qui parle.
Je remercie le forum Partage-Lecture et les éditions Taurnada de m'avoir fait découvrir cette auteure que je lirai avec plaisir.
louloute- Grand sage du forum
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Re: [Perrin-Guillet, Gaëlle] Haut le choeur
Mon avis :
Que se passe-t-il après ? Après que le tueur a été jugé et condamné ? En l’occurrence, il s’agit d’une tueuse. Elle se nomme Eloane Frezet, elle est une femme tueuse en série, cas rare, et elle purge sa peine de prison depuis six ans. Eloane a fasciné, une journaliste, Alix Flament lui a même consacré un livre, basé sur leurs entretiens.
A force d’être gavé de séries télévisées mettant en scène des « psychopathes », l’on en oublie la véritable définition de ce mot. Oui, Eloane était parfaitement intégrée socialement, on peut même dire qu’elle menait une vie ordinaire. Il suffit d’une rencontre. Il suffit aussi de « sortir de sa zone de confort ». Oui, l’on ne saura pas dans le roman ce qui a poussé cette infirmière, au seuil de la trentaine, à vouloir travailler dans une prison, sortir de sa zone de confort n’est qu’une idée de ma part – presque une formule toute faite, un peu comme qualifier de « psychopathe » tout tueur.
Retourner aux origines, une base que l’on oublie souvent. Penser qu’avant Eloane, il y avait le tueur dont elle veut poursuivre l’oeuvre. Il a été un enfant invisible. Il a été un homme que l’on ne voyait pas vraiment, qui vivait là, à côté des autres et non avec les autres. Un homme qui semblait inoffensif. Un homme que l’on oublie un peu au cours de cette enquête parce qu’il est mort, de mort naturelle – pas de violence, pas d’évasion spectaculaire – et parce que ses motivations n’ont jamais été comprises. Enfin, si, elles l’ont été par Eloane, par elle seule, ce qui reste totalement opaque pour les enquêteurs.
Et l’après, me direz-vous ? L’après, c’est une route semée de violence après l’évasion d’Eloane, qui se plaît à semer des indices, difficiles à interpréter, pour le lecteur, pour la police, pour Alix aussi, qui se retrouve au coeur de l’enquête avec son mari, légiste de son état. Ce n’est pas faute d’enquêter, ce n’est pas faute de se replonger dans le passé – rien n’est facile au cours de cette intrigue menée tambour battant. Je me suis littéralement laissée emportée par cette course contre la montre pour qu’Eloane ne termine pas ce qu’elle a continué.
Un roman policier prenant.
Que se passe-t-il après ? Après que le tueur a été jugé et condamné ? En l’occurrence, il s’agit d’une tueuse. Elle se nomme Eloane Frezet, elle est une femme tueuse en série, cas rare, et elle purge sa peine de prison depuis six ans. Eloane a fasciné, une journaliste, Alix Flament lui a même consacré un livre, basé sur leurs entretiens.
A force d’être gavé de séries télévisées mettant en scène des « psychopathes », l’on en oublie la véritable définition de ce mot. Oui, Eloane était parfaitement intégrée socialement, on peut même dire qu’elle menait une vie ordinaire. Il suffit d’une rencontre. Il suffit aussi de « sortir de sa zone de confort ». Oui, l’on ne saura pas dans le roman ce qui a poussé cette infirmière, au seuil de la trentaine, à vouloir travailler dans une prison, sortir de sa zone de confort n’est qu’une idée de ma part – presque une formule toute faite, un peu comme qualifier de « psychopathe » tout tueur.
Retourner aux origines, une base que l’on oublie souvent. Penser qu’avant Eloane, il y avait le tueur dont elle veut poursuivre l’oeuvre. Il a été un enfant invisible. Il a été un homme que l’on ne voyait pas vraiment, qui vivait là, à côté des autres et non avec les autres. Un homme qui semblait inoffensif. Un homme que l’on oublie un peu au cours de cette enquête parce qu’il est mort, de mort naturelle – pas de violence, pas d’évasion spectaculaire – et parce que ses motivations n’ont jamais été comprises. Enfin, si, elles l’ont été par Eloane, par elle seule, ce qui reste totalement opaque pour les enquêteurs.
Et l’après, me direz-vous ? L’après, c’est une route semée de violence après l’évasion d’Eloane, qui se plaît à semer des indices, difficiles à interpréter, pour le lecteur, pour la police, pour Alix aussi, qui se retrouve au coeur de l’enquête avec son mari, légiste de son état. Ce n’est pas faute d’enquêter, ce n’est pas faute de se replonger dans le passé – rien n’est facile au cours de cette intrigue menée tambour battant. Je me suis littéralement laissée emportée par cette course contre la montre pour qu’Eloane ne termine pas ce qu’elle a continué.
Un roman policier prenant.
Sharon- Modérateur
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Re: [Perrin-Guillet, Gaëlle] Haut le choeur
Merci les filles, je viens de le commencer, mais les tortures pour moi merci, je n'en raffole pas ))
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Re: [Perrin-Guillet, Gaëlle] Haut le choeur
Alix Flament enquêtrice durant des années croyait avoir tout vu durant cette période ou elle arpentait les rues de Chambéry la nuit, la noirceur de l’âme humaine arrivait à son apogée, elle se croyait immunisée
Pourtant lorsque sa route croise une tueuse en série abjecte mais célèbre par ses atrocités et qu’elle décide de l’interviewer pour écrire un livre qui devrait la propulser sur le devant de la scène, quand elle commence à recueillir les propos d’Eloane Frézet , lorsque cette tueuse ne lâche rien de son mobile et de ses meurtres apparemment gratuits elle se sent submergée par l’horreur et décide d’en finir avec le rôle d’enquêtrice pour devenir journaliste politique.
Il faut savoir que les derniers mots de cette enragée sanguinaire seront pour Alix « Quand je sortirai, tu seras la première prévenue… Je saurai te retrouver »
Extrait de « Haut le chœur. »
Durant six ans Alix l'attendra avec angoisse, sachant qu’elle réapparaîtra.
Eloane Frézet est une énigme pour tous, police, justice, profileurs, enquêteurs, elle a un parcours de bonne élève, étudie la médecine, devient infirmière, certainement nommée à l’infirmerie d’une prison très sécurisée, c’est là qu’elle rencontre son grand amour un assassin qui mourra en prison.
C’est l’amour de la musique qui les rapproche, elle va vouloir continuer « par amour » son œuvre, mais laquelle?
Lorsqu’elle s’évade semant l’horreur sur son passage par un carnage sans précédant Alix Flament sait qu’Eloane prendra contact avec elle, elle lui a promis et elle n’oublie pas ses promesses. Le mobile l’amour pour son assassin décédé, la promesse faite de continuer cette œuvre folle dont on ignore tout est la seule piste pour arrêter le massacre, Eloane mêne le jeu en semant des pistes après chaque assassinat.
J’ai beaucoup aimé l’écriture de Gaëlle Perrin-Guillet, les chapitres qui se succèdent sans temps mort, l’absence d’étalage de tortures faites aux victimes, le suspense car qui s’en tirera Alix ou Eloane? Et l’horreur lorsqu’on comprend forcément à quoi va aboutir l’enquête car Eloane est en cavale plus dangereuse que jamais, et le mobile incompréhensible pour toute l’équipe qui s’affaire.
Le point d’orgue est dans les dernières lignes.
Je remercie Partage-Lecture et les Éditions Taurnada de m’avoir permis de lire ce livre et découvrir une auteure que je ne connaissais pas.
Pourtant lorsque sa route croise une tueuse en série abjecte mais célèbre par ses atrocités et qu’elle décide de l’interviewer pour écrire un livre qui devrait la propulser sur le devant de la scène, quand elle commence à recueillir les propos d’Eloane Frézet , lorsque cette tueuse ne lâche rien de son mobile et de ses meurtres apparemment gratuits elle se sent submergée par l’horreur et décide d’en finir avec le rôle d’enquêtrice pour devenir journaliste politique.
Il faut savoir que les derniers mots de cette enragée sanguinaire seront pour Alix « Quand je sortirai, tu seras la première prévenue… Je saurai te retrouver »
Extrait de « Haut le chœur. »
Durant six ans Alix l'attendra avec angoisse, sachant qu’elle réapparaîtra.
Eloane Frézet est une énigme pour tous, police, justice, profileurs, enquêteurs, elle a un parcours de bonne élève, étudie la médecine, devient infirmière, certainement nommée à l’infirmerie d’une prison très sécurisée, c’est là qu’elle rencontre son grand amour un assassin qui mourra en prison.
C’est l’amour de la musique qui les rapproche, elle va vouloir continuer « par amour » son œuvre, mais laquelle?
Lorsqu’elle s’évade semant l’horreur sur son passage par un carnage sans précédant Alix Flament sait qu’Eloane prendra contact avec elle, elle lui a promis et elle n’oublie pas ses promesses. Le mobile l’amour pour son assassin décédé, la promesse faite de continuer cette œuvre folle dont on ignore tout est la seule piste pour arrêter le massacre, Eloane mêne le jeu en semant des pistes après chaque assassinat.
J’ai beaucoup aimé l’écriture de Gaëlle Perrin-Guillet, les chapitres qui se succèdent sans temps mort, l’absence d’étalage de tortures faites aux victimes, le suspense car qui s’en tirera Alix ou Eloane? Et l’horreur lorsqu’on comprend forcément à quoi va aboutir l’enquête car Eloane est en cavale plus dangereuse que jamais, et le mobile incompréhensible pour toute l’équipe qui s’affaire.
Le point d’orgue est dans les dernières lignes.
Je remercie Partage-Lecture et les Éditions Taurnada de m’avoir permis de lire ce livre et découvrir une auteure que je ne connaissais pas.
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Re: [Perrin-Guillet, Gaëlle] Haut le choeur
Alix est une journaliste dont la réputation et la renommée s’est principalement faite grâce à son livre traitant des échanges qu’elle a pu avoir avec la plus grande tueuse en série : Eloane Frezet.
Cette dernière lui ayant fait la promesse qu’elle se vengerait le jour où elle sortirait de prison.
Et c’est par un petit appel téléphonique que notre tueuse fait savoir à Alix bien des années plus tard qu’elle compte tenir sa promesse et qu’elle s’est échappée de prison.
Va se lancer alors avec la police un jeu de chasse poursuite où ils suivront les faibles indices que laisse Eloane mais en ayant toujours un train de retard.
Mais ce sera sans oublier la participation d’Alix qui reste la personne à connaître le mieux la tueuse et qui elle aussi tentera tout pour mettre fin à son projet sanglant.
Ayant par période lu énormément de roman policier, j’en arrivais à y trouver moins de plaisir en cernant assez vite le scénario ou trouvant qu’il manquait d’originalité.
Cette histoire m’a fait tout l’effet inverse. Je n’y ai pour ma part jamais rencontré de longueur, j’ai découvert une histoire très originale où la femme est cette fois-ci mis en avant comme tueuse là où l’on rencontre plus souvent des hommes. L’intrigue est très bien menée et la personnalité de chacun des personnages m’a plu avec aussi la participation du mari d’Alix sur l’affaire lui aussi.
Chaque nouveau meurtre amène parfois plus de questions que de réponses à l’enquête. Et bien qu’on ait un indice bien spécial depuis le début, chaque policier a du mal à en comprendre le sens.
Je remercie énormément les éditions Taurnada et notre staff pour m’avoir permis de lire ce livre.
Ce sera un livre très apprécié.
Cette dernière lui ayant fait la promesse qu’elle se vengerait le jour où elle sortirait de prison.
Et c’est par un petit appel téléphonique que notre tueuse fait savoir à Alix bien des années plus tard qu’elle compte tenir sa promesse et qu’elle s’est échappée de prison.
Va se lancer alors avec la police un jeu de chasse poursuite où ils suivront les faibles indices que laisse Eloane mais en ayant toujours un train de retard.
Mais ce sera sans oublier la participation d’Alix qui reste la personne à connaître le mieux la tueuse et qui elle aussi tentera tout pour mettre fin à son projet sanglant.
Ayant par période lu énormément de roman policier, j’en arrivais à y trouver moins de plaisir en cernant assez vite le scénario ou trouvant qu’il manquait d’originalité.
Cette histoire m’a fait tout l’effet inverse. Je n’y ai pour ma part jamais rencontré de longueur, j’ai découvert une histoire très originale où la femme est cette fois-ci mis en avant comme tueuse là où l’on rencontre plus souvent des hommes. L’intrigue est très bien menée et la personnalité de chacun des personnages m’a plu avec aussi la participation du mari d’Alix sur l’affaire lui aussi.
Chaque nouveau meurtre amène parfois plus de questions que de réponses à l’enquête. Et bien qu’on ait un indice bien spécial depuis le début, chaque policier a du mal à en comprendre le sens.
Je remercie énormément les éditions Taurnada et notre staff pour m’avoir permis de lire ce livre.
Ce sera un livre très apprécié.
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Lecture en cours :
Silo de Hugh Howey
La Princesse des glaces de Camilla Läckberg
Re: [Perrin-Guillet, Gaëlle] Haut le choeur
C’est toujours un plaisir pour moi de découvrir un roman publié par les éditions Taurnada, car à chaque fois, elles parviennent à me surprendre. L’histoire racontée par Gaëlle Perrin-Guillet ne fait pas exception.
Ce roman nous raconte l’histoire de deux femmes qui se tournent autour : Eloane Frezet et Alix Flament. Deux femmes différentes qui s’attirent et essaient de se comprendre l’une l’autre, de se déchiffrer.
Le rythme s’accélère assez rapidement et les cadavres s’entassent sur le chemin d’Eloane. L’auteure ne laissent pas beaucoup de place à l’imagination dans sa description des scènes de crime qui sont très détaillées et relativement sordides. Âmes sensibles, fuyez ! Ce livre n’est pas pour vous…
J’ai tourné les pages sans prendre le temps de reprendre mon souffle, dans cette course contre la montre entre Alix et Eloane. J’ai aimé me plonger dans l’histoire d’Eloane et ses entretiens avec Alix. Le changement de narration ne m’a pas dérangé.
Mais au fil de la lecture, peu après le meurtre de la boulangère, j’ai eu un flash et j’ai compris où l’auteure voulait en venir. J’ai quand même pensé que j’avais l’esprit bien trop mal tourné pour penser à ça et que l’auteure ne pouvait pas avoir eu une idée aussi effroyable. Et bien, lisez le livre et vous saurez !
Par contre, ma lecture des derniers chapitres m’a estomaquée car je n’avais pas du tout envisagé que cela puisse se terminer ainsi. Il m’a fallu un peu de temps pour me convaincre que la fin était brillante et pas uniquement frustrante.
Mon seul regret est que le livre soit aussi court. J’aurais aimé que le personnage d’Eloane soit un peu plus creusé et aussi que le récit ralentisse un peu, pour maintenir le suspense, qu'on ressente plus les sensations des protagonistes, mais je vais suivre attentivement les prochaines publications de Gaëlle Perrin-Guillet.
Un tout grand merci à Taurnada pour cet envoi !
Je vote beaucoup apprécié
Ce roman nous raconte l’histoire de deux femmes qui se tournent autour : Eloane Frezet et Alix Flament. Deux femmes différentes qui s’attirent et essaient de se comprendre l’une l’autre, de se déchiffrer.
Le rythme s’accélère assez rapidement et les cadavres s’entassent sur le chemin d’Eloane. L’auteure ne laissent pas beaucoup de place à l’imagination dans sa description des scènes de crime qui sont très détaillées et relativement sordides. Âmes sensibles, fuyez ! Ce livre n’est pas pour vous…
J’ai tourné les pages sans prendre le temps de reprendre mon souffle, dans cette course contre la montre entre Alix et Eloane. J’ai aimé me plonger dans l’histoire d’Eloane et ses entretiens avec Alix. Le changement de narration ne m’a pas dérangé.
Mais au fil de la lecture, peu après le meurtre de la boulangère, j’ai eu un flash et j’ai compris où l’auteure voulait en venir. J’ai quand même pensé que j’avais l’esprit bien trop mal tourné pour penser à ça et que l’auteure ne pouvait pas avoir eu une idée aussi effroyable. Et bien, lisez le livre et vous saurez !
Par contre, ma lecture des derniers chapitres m’a estomaquée car je n’avais pas du tout envisagé que cela puisse se terminer ainsi. Il m’a fallu un peu de temps pour me convaincre que la fin était brillante et pas uniquement frustrante.
Mon seul regret est que le livre soit aussi court. J’aurais aimé que le personnage d’Eloane soit un peu plus creusé et aussi que le récit ralentisse un peu, pour maintenir le suspense, qu'on ressente plus les sensations des protagonistes, mais je vais suivre attentivement les prochaines publications de Gaëlle Perrin-Guillet.
Un tout grand merci à Taurnada pour cet envoi !
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