[Monfils, Nadine] Les enquêtes du commissaire Léon - Tome 7 : Les bonbons de Bruxelles
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[Monfils, Nadine] Les enquêtes du commissaire Léon - Tome 7 : Les bonbons de Bruxelles
Titre : Les enquêtes du commissaire Léon - Tome 7 : les bonbons de Bruxelles
Auteur : Nadine Monfils
Editions : Belfond
Nombre de pages : 219 pages
Présentation de l'éditeur :
Le commissaire Léon se rend à Bruxelles, pour l'enterrement de son oncle Jef.
Dans le train, il rencontre Madeleine, une vieille dame étrange qui semble provenir d'une autre époque. Elle parle un peu avec lui et lui montre une lettre d'amour qu'Augustin, l'homme de sa vie " partit au ciel ", lui a écrite dans les années quarante. Puis elle offre un bonbon à Léon avant de disparaître mystérieusement. C'est en se baladant sur le marché aux puces des Marolles, que Léon découvre une valise remplie de lettres de 1940, adressées à Madeleine et signées Augustin. Convaincu que le hasard n'existe pas, le commissaire Léon décide de se mettre à la recherche de Madeleine.
Mais il apprend qu'elle est morte depuis longtemps...
Mon avis :
Non, le commissaire Léon ne prend pas de vacances. Il semble que ses deux précédentes excursions (voir les tomes 4 et 6) lui aient servi de leçons. Il accompagne sa mère à l'enterrement de son oncle Jef, et cela lui permet de se rendre à Bruxelles. Surtout, il rencontre une vieille dame, qui lui parle de son défunt amour, dont elle a été séparée. Vieille dame qui, apparemment, enfin, selon ses proches, serait morte dans l'incendie de l'asile où elle avait été enfermée à la demande de sa famille, parce qu'elle avait eu le tort d'aimer un homme marié. Morte, brûlée vive, comme Zelda Fitzgerald.
Où est la réalité, où est le merveilleux ? Comme dans le silence des canaux, la frontière est fine entre les deux, sans que l'on sache jamais si les indices qui parsèment le chemin du commissaire Léon ne sont pas de simples coïncidences.
Comme dans ses précédents volumes, l'autrice nous montre les violences qui sont faites aux plus vulnérables, et la quasi-impossibilité de s'en protéger. Elle montre aussi la fascination que les tueurs en série exercent sur certaines femmes, leur capacité à les manipuler.
Un roman qui, pour une fois, ne se termine pas à Montmartre.
Auteur : Nadine Monfils
Editions : Belfond
Nombre de pages : 219 pages
Présentation de l'éditeur :
Le commissaire Léon se rend à Bruxelles, pour l'enterrement de son oncle Jef.
Dans le train, il rencontre Madeleine, une vieille dame étrange qui semble provenir d'une autre époque. Elle parle un peu avec lui et lui montre une lettre d'amour qu'Augustin, l'homme de sa vie " partit au ciel ", lui a écrite dans les années quarante. Puis elle offre un bonbon à Léon avant de disparaître mystérieusement. C'est en se baladant sur le marché aux puces des Marolles, que Léon découvre une valise remplie de lettres de 1940, adressées à Madeleine et signées Augustin. Convaincu que le hasard n'existe pas, le commissaire Léon décide de se mettre à la recherche de Madeleine.
Mais il apprend qu'elle est morte depuis longtemps...
Mon avis :
Non, le commissaire Léon ne prend pas de vacances. Il semble que ses deux précédentes excursions (voir les tomes 4 et 6) lui aient servi de leçons. Il accompagne sa mère à l'enterrement de son oncle Jef, et cela lui permet de se rendre à Bruxelles. Surtout, il rencontre une vieille dame, qui lui parle de son défunt amour, dont elle a été séparée. Vieille dame qui, apparemment, enfin, selon ses proches, serait morte dans l'incendie de l'asile où elle avait été enfermée à la demande de sa famille, parce qu'elle avait eu le tort d'aimer un homme marié. Morte, brûlée vive, comme Zelda Fitzgerald.
Où est la réalité, où est le merveilleux ? Comme dans le silence des canaux, la frontière est fine entre les deux, sans que l'on sache jamais si les indices qui parsèment le chemin du commissaire Léon ne sont pas de simples coïncidences.
Comme dans ses précédents volumes, l'autrice nous montre les violences qui sont faites aux plus vulnérables, et la quasi-impossibilité de s'en protéger. Elle montre aussi la fascination que les tueurs en série exercent sur certaines femmes, leur capacité à les manipuler.
Un roman qui, pour une fois, ne se termine pas à Montmartre.
Sharon- Modérateur
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Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
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